Stupide propagande italienne contre des goumiers qui avaient libérés l'Italie du fascisme.
- La distinction des troupes de goumiers marocains lors de la Seconde Guerre mondiale est souvent associée à une autre histoire, plus douloureuse, qui hante toujours plusieurs villes italiennes. Plusieurs écrivains et historiens se sont penchés sur cette période de l’histoire de l’Italie, que certains qualifient même de «noire et sombre».
Cette semaine, la littérature du pays de la Botte vient d’accueillir un nouvel ouvrage signé Emiliano Ciotti. Intitulé «Le Marocchinate, chronique d'un viol collectif», le livre (Editions Youcanprint, 2018) est un recueil de témoignages de familles italiennes, victimes présumées d’une série de viols, violences et pillages par les goumiers des Alliés.
Nous sommes au mois de novembre 1942. Après le débarquement des Alliés au Maroc, des goumiers marocains sont appelés à se joindre aux Britanniques et Américains. Quelque 85 000 Marocains prennent donc part à la guerre. Déjà en août 1914, soit en pleine Première Guerre mondiale, la France sommait ses résidents généraux de l’Afrique du Nord de lui fournir un plus grand nombre de soldats dans l’optique d’affronter l’Allemagne. Environ 40 000 soldats marocains serviront pendant la Première Guerre mondiale dont les deux tiers seront envoyés en France. Une expérience qui sera reproduite lors de la Seconde Guerre mondiale.
(...).
«Le 26 novembre 2004, des excuses officielles du président d’une association d’anciens combattants marocains, Ahmed Benrahhalate, ont été présentées au Monte Cassino», rapporte un reportage d’une chaîne italienne. Lui-même fils d’un goumier, Benrahhalate avait estimé avoir «un devoir moral de présenter [des] excuses aux Italiens pour les crimes des troupes marocaines».
https://www.youtube.com/watch?v=bO2RoB0quzs
Ya............bi
- La distinction des troupes de goumiers marocains lors de la Seconde Guerre mondiale est souvent associée à une autre histoire, plus douloureuse, qui hante toujours plusieurs villes italiennes. Plusieurs écrivains et historiens se sont penchés sur cette période de l’histoire de l’Italie, que certains qualifient même de «noire et sombre».
Cette semaine, la littérature du pays de la Botte vient d’accueillir un nouvel ouvrage signé Emiliano Ciotti. Intitulé «Le Marocchinate, chronique d'un viol collectif», le livre (Editions Youcanprint, 2018) est un recueil de témoignages de familles italiennes, victimes présumées d’une série de viols, violences et pillages par les goumiers des Alliés.
Nous sommes au mois de novembre 1942. Après le débarquement des Alliés au Maroc, des goumiers marocains sont appelés à se joindre aux Britanniques et Américains. Quelque 85 000 Marocains prennent donc part à la guerre. Déjà en août 1914, soit en pleine Première Guerre mondiale, la France sommait ses résidents généraux de l’Afrique du Nord de lui fournir un plus grand nombre de soldats dans l’optique d’affronter l’Allemagne. Environ 40 000 soldats marocains serviront pendant la Première Guerre mondiale dont les deux tiers seront envoyés en France. Une expérience qui sera reproduite lors de la Seconde Guerre mondiale.
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«Le 26 novembre 2004, des excuses officielles du président d’une association d’anciens combattants marocains, Ahmed Benrahhalate, ont été présentées au Monte Cassino», rapporte un reportage d’une chaîne italienne. Lui-même fils d’un goumier, Benrahhalate avait estimé avoir «un devoir moral de présenter [des] excuses aux Italiens pour les crimes des troupes marocaines».
https://www.youtube.com/watch?v=bO2RoB0quzs
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