Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le Maroc présentera en avril son plan d'autonomie du Sahara-Occidental a l'ONU

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le Maroc présentera en avril son plan d'autonomie du Sahara-Occidental a l'ONU

    Le Maroc présentera en avril son plan d'autonomie du Sahara-Occidental aux Nations unies

    AP | 02.03.2007 | 16:26





    Le Maroc présentera un plan d'autonomie pour le Sahara-Occidental aux Nations unies le mois prochain, a-t-on appris vendredi auprès du président du Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (Corcas) Khalihenna Ould Errachid.

    L'ancienne colonie espagnole a été cédée en 1975 au Maroc et à la Mauritanie, qui a depuis abandonné ses prétentions territoriales. Rabat estime que l'autonomie est le seul moyen de mettre un terme au conflit avec le Front Polisario. Le mouvement indépendantiste soutenu par Alger plaide pour l'organisation d'un référendum d'autodétermination, comme préconisé depuis 1992 par les Nations unies.

    Les seize années de conflit armé, entre 1975 et 1991, ont fait des milliers de morts dans cette vaste région, peu peuplée mais riche en minerais. La plupart des Sahraouis, des nomades, ont fui en Algérie, où 160.000 vivent toujours dans des camps de réfugiés installés dans le désert. Ils sont entre 50.000 et 90.000 à vivre dans le territoire, aux côtés d'environ 200.000 colons.

    Le Conseil de sécurité avait plaidé l'automne dernier pour de véritables progrès au Sahara-Occidental avant la fin du mandat de la mission de l'ONU dans la région, la Minurso, créée en 1991 pour faire respecter le cessez-le-feu entre le Maroc et le Front Polisario. La mission doit s'achever le 30 avril.

    Le plan d'autonomie devrait être présenté en avril aux Nations unies, a précisé Khalihenna Ould Errachid. Il a expliqué à l'Associated Press que ce projet accorderait au Sahara-Occidental un Parlement, un gouvernement et une autorité judiciaire autonome.

    "Nous avons deux options. L'une, c'est rester dans le statu quo, l'impasse", l'autre, c'est "aller vers une solution médiane, où il n'y a ni vainqueur, ni vaincu", a-t-il souligné, estimant que "la solution qui donne raison à tout le monde, (...) c'est l'autonomie".

    "Dans le cas où le Polisario n'accepte pas de négocier cette solution honorable et ne participera à son élaboration, à ce moment-là, le Maroc décidera d'aller tout seul", a ajouté le président du Corcas, précisant toutefois que le Maroc n'appliquerait pas son plan sans l'accord de l'ONU. Un Parlement saharien serait autorisé à entériner des lois, tant qu'elles ne violent pas la législation marocaine.

    Le gouvernement régional superviserait la vie quotidienne dans des domaines comme l'éducation, le tourisme et les services sociaux. Le Maroc conserverait toute autorité sur les relations étrangères, la défense, l'économie et le contrôle des frontières, a-t-il noté.

    Le Sahara-Occidental conserverait également les principaux emblèmes du Maroc, comme le drapeau, la monnaie et les timbres. Le roi Mohammed VI resterait la plus haute autorité religieuse de la région.

    Ces dernières semaines, des diplomates marocains se sont rendus dans plusieurs capitales occidentales, dont Paris, Washington et Londres, pour présenter le plan, qui n'a pas encore été dévoilé au public. Le 5 février, le président français Jacques Chirac avait qualifié de "constructif" son projet. AP

  • #2
    une autre extension de la minurso pour un autre 6 mois!!!!!

    quelle perte d argent et de temps et de souhait de millions d algeriens et marocains

    Commentaire


    • #3
      non pas cette fois, les sahraouis sur le territoire marocain (majoritaires) iront jusqu'au bout je pense. L'autonomie sera consacree quque soit la reponse du polisario. Je pense que l'interview parle de ca:

      "Dans le cas où le Polisario n'accepte pas de négocier cette solution honorable et ne participera à son élaboration, à ce moment-là, le Maroc décidera d'aller tout seul", a ajouté le président du Corcas.

      Commentaire


      • #4
        Sahaouis

        Depuis le début de l'année 2000, le peuple sahraoui est au bord de revivre la tragédie qui l'a précipité en exil en 1975(1) lorsque le Maroc a envahi illégalement le Sahara Occidental , en déclenchant un conflit militaire de 16 ans et la fuite de dizaine de milliers de réfugiés dans le sud-ouest algérien. Les parallèles avec la situation de 1975 sont les suivants : il est possible de tenir le référendum d'autodétermination, le Maroc sabote néanmoins le travail des Nations Unies et empêche la tenue du référendum, certains pays qui siègent au Conseil de Sécurité appuient le Maroc dans son désir de se soustraire à la légalité internationale- et la guerre se rapproche. L'histoire a commencé à se répéter en janvier 2000 : tandis que la MINURSO(2) achevait la pierre angulaire du Plan de Paix de l'ONU de 1991 en publiant les listes des électeurs du référendum d'autodétermination, promis au peuple sahraoui depuis le début des années soixante, le Maroc a alors entravé la prochaine tenue du référendum en logeant immédiatement 130 mille recours en appel, la plus part d'entre eux dénué de tout fondement légal ou pratique. Pire encore, des pays influents et membres du conseil de sécurité, parmi eux la France, et dans une moindre mesure les Etats Unis, ont soutenu les tentative du Maroc de se soustraire aux engagements qu'il a pourtant contracté quand il a accepté le Plan de Paix de l'ONU de 1991 et les accords de Houston de 1997.


        Il y a un lien direct entre le refus persistent du Maroc de respecter la légalité internationale au sujet de son occupation illégale du Sahara Occidental, et les graves violations des droits de l'homme que le régime commet quotidiennement contre la population sahraouie : les forces de sécurité qui en 1975 ont totalement violé le droit humanitaire international tel qu'il est représenté dans la Convention de Genève en bombardant au napalm les sahraouis, en les massacrant, et en détruisant leur possibilité de survie dans le désert en empoisonnant les points d'eau et tuant leur troupeau de chameau, sont les mêmes forces armées qui oppriment toujours dans l'impunité la plus totale, et sous supervision et cessez-le-feu de l'ONU, les sahraouis qui ont été suffisamment malchanceux pour se retrouver bloqués à l'ouest du mur militaire marocain qui tranche leur pays de part en part. Aujourd'hui encore, vivre sous occupation marocaine signifie vivre avec la crainte des arrestations arbitraires, de la torture, de la détention sans procès, des procès injustes, des disparitions, et des exécution sommaires- sans mentionner les discriminations sur le lieux de travail et le pillage des ressources naturelles du Sahara Occidental par le Maroc.

        Le vide légal qui a existé de facto suite à la situation d'occupation ainsi qu'aux réticences de l'ONU d'assumer pleinement ses responsabilités, a créé une situation ou les violations continues de la légalité internationale par le Maroc a facilité la mise en place d'une discrimination bureaucratique contre les sahraouis. Ces mesures discriminatoires ont à leur tour facilité les violations des droits de l'homme, libertés de mouvement, de parole, d'association et information fondamentaux des sahraouis par les forces de sécurité marocaines.

        La discrimination bureaucratique est la première façon par laquelle les Marocains exercent leur oppression et violent les droits des sahraouis.

        Les documents d'identité délivrés par le Maroc aux sahraouis portent un « S » qui identifie immédiatement le porteur de ce document pour les forces de sécurité. Ce genre de discrimination et ses conséquences sont malheureusement bien connues dans l'histoire : l'usage de l'étoile jaune contre les juifs sous le nazisme vient à l'esprit, ainsi que la situation plus récente de l'Afrique du sud de l'apartheid et ses tristement célèbres lois sur les passeports intérieurs contre les populations africaines. Cette discrimination bureaucratique contribue à un strict contrôle des populations sahraouies et aux sévères restrictions qui pèsent sur leur liberté de mouvement : légalement, les sahraouis n'ont pas le droit de quitter les territoires occupés . De nombreux cas de torture, détention, et lourdes peines de prison sont à mettre en relation avec l'arrestation de sahraouis qui tentaient de s'échapper du Maroc en passant la frontière pour se rendre en Algérie (particulièrement dans la région de Oujda). Tout sahraoui qui a ses papiers d'identité vérifiés hors des territoires occupés tout en étant domicilié dans ces mêmes territoires, courts le risque d'une arrestation arbitraire et de mauvais traitements immédiats s'il ne peut pas expliquer pourquoi il se trouve ailleurs. Les voyages à l'étranger des sahraouis sont aussi étroitement contrôlés. Les autorités marocaines ne leur délivre que très peu de passeports, et l'obtention de ce document est accompagné de pressions et menaces. Une famille ne peut pas voyager toute ensemble : un enfant ou un parent doit rester en tant qu'otage virtuel afin d'assurer le retour du/des voyageur(s) sans que celui ait non plus osé porter ombrage à la réputation du royaume par peur des représailles contre les proches qui ont dû rester dans les territoires occupés. De telles pratiques rappellent aussi tristement le contrôle bureaucratique et dictatorial que la RDA exerçait sur sa population.

        Un exemple particulièrement choquant de ceci a eu lieu le 24 mars de cette année : alors qu'ils se déplaçaient en vue de témoigner aux audiences de la 57ème commission des droits de l'homme de l'ONU à Genève, Brahim NOUMRI et Mahmoud ELHAMED3 ont été arrêtés à l'aéroport de Casablanca, et leur passeports et documents ont été confisqués. Malgré l'indignation internationale qui a suivi, ils n'ont pas été autorisé à continuer leur voyage jusque Genève, bien qu'ils aient quand-même été relâchés par les forces de sécurité. Il leur est toujours interdit de se rendre à l'étranger.

        L'histoire de l'occupation illégale et brutale du Maroc au Sahara Occidental s'illustre aussi par les violations perpétrées au cours de la répression contre toute opinion différente des vues officielles, et contre toute forme de protestation.

        Ainsi certains sujets relatifs au droits de l'Homme n'ont pas bonne presse : en dépit de la publicité faite autour de la « démocratisation » du Maroc, pour les sahraouis, les blessures du passé sont loin d'être guéries. Dans son Rapport 20014 , Amnesty International écrit, au chapitre « Maroc/Sahara Occidental » que « …les autorités [marocaines] n'ont pas pu éclaircir les cas de centaines de « disparus », la plus part d'entre eux sahraouis, ni reconnaître les morts de quelques 70 sahraouis qui ont « disparu » en détention secrète entre les années 70 et le début des années 90 ». Dans le même rapport, AI nomme Brahim LAGHZAL, Cheikh KHAYA, et Laarbi MASSOUDI comme étant tous adoptés par l'organisation en tant que prisonniers de conscience.

        Fin août, une campagne de grève de la faim de 48 heures par semaine a été lancé par le prisonnier politique vétéran Mohamed DADDACH, avec 25 autres détenus politiques eux aussi 5, afin de protester contre les conditions de détention inhumaines des prisons marocaines telles que celles de Marrakech, Kénitra, Sough El Arboua, Laayoune, et Inzegan.

        Depuis la mi-septembre, les territoires occupés du Sahara Occidental sont le théâtre de protestations non-violentes (marches et réunions pacifiques, ainsi que distribution de tracts du Polisario et de drapeaux de la République sahraouie) qui sont sujettes à une répression violente : ainsi, plusieurs sahraouis ont été blessés et d'autres, torturés, durant le seul premier week-end d'octobre6 . Tous ces événements sont organisés par les sahraouis pour protester contre l'occupation marocaine, le report indéfini du référendum d'autodétermination, et pour commémorer l'intifada de 1999 qui avait alors secoué les territoires occupés, mené à la chute de Driss Basri du ministère de l'intérieur, mais aussi mené à une répression accrues des forces de sécurité marocaines ainsi qu'à une accélération de l'envoi de colons marocains sur le terrain.

        Ces événements ont aussi lieu dans le sud marocain proprement dit où des communautés sahraouies vivent dans des villes telles que Goulimines, Assa et autres. Le FVJSS (Forum Vérité et Justice Section Sahara) documente depuis plusieurs années les exactions continuellement perpétrées contre les sahraouis et réclame « une enquête sur les violations des droits de l'homme commises au Sahara Occidental », tout en demandant aussi « le jugement des personnes responsables de telles violations, quelles que soient l'étendue de leurs responsabilités au sein du système de pouvoir7». Dans ce contexte, les conditions de travail, ainsi que l'accès à l'éducation et aux soins de santé des sahraouis, sont souvent compromis.

        La répression sans pitié du Maroc contre les droits fondamentaux du peuple sahraoui et ses aspirations à l'autodétermination n'a qu'un seul but : imposer le fait accompli de son occupation illégale du Sahara Occidental, imposer son pillage des ressources naturelles du territoire, et imposer la présence croissante de colons marocains, dans le but d'avoir les moyens économiques et humains de déstabiliser ce même territoire en cas de besoin.

        Commentaire


        • #5
          l'ONU reconnait deux parties , le Maroc et le polizario , pour que le plan soit adopté il faut qu'il soit accepté par les deux partie ;

          souvenez vous le plan Beker avait été accepté par les deux bélligérants et là une solution définitive aurait certainement vu le jour , sans la volte face du Maroc .
          Mr NOUBAT

          Commentaire


          • #6
            De bonne augure ! je pense que la solution de ce probleme viendra de ce coté là !!

            Commentaire


            • #7
              Le Mur De La Honte

              deux mur un en palestine un au maroc ?Genève a abrité vendredi 18 mars une journée internationale de protestation sur le thème 30 ans d'occupation marocaine au Sahara Occidenta l : ça suffit ! Le matin, devant l'ONU où se tient la session annuelle des droits de l'homme, des délégations de France, d'Italie, d'Espagne, de Hollande, de Belgique, d'Algérie, du Congo, de Suisse ont dénoncé le caractère illégal de l'occupation du Sahara Occidental et ont appelé l'ONU, l'Union Européenne et tous les Etats a faire pression sur le Maroc qui refuse systématiquement toute proposition de la Communauté internationale pour mettre fin au conflit qui l'oppose au Front Polisario.

              Dans l'après-midi, au siège de l'Organisation Météorologique Mondiale, s'est tenue une conférence-débat au cours de laquelle des experts des Etats-Unis d'Amérique, d'Espagne, de Suisse et du Sahara Occidental ont dénoncé le mur de 2700 kilomètres construit par le Maroc dès 1980 pour diviser le Sahara Occidental et tenter d'annexer le territoire. Ils ont dénoncé également les millions de mines qui font du Sahara Occidental un territoire dangereux qui tue et blesse ceux qui s'y aventurent et les nomades qui y vivent. Des vies gâchées, des familles décimées, un cheptel perdu, une catastrophe écologique et une interdiction de libre circulation des personnes telles sont quelques-unes des conséquences de ces mines et de ce mur.

              Jean Lamore, expert nord-américain résidant en France, a mis en exergue le scandale du silence qui entoure non seulement ce mur de la honte mais également le conflit du Sahara Occidental et le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Le mur a le triste record d'être le plus grand du monde, plus long de 300 km que la muraille de Chine.

              Elisabeth Reusse-Ducrey, Présidente de l'Appel de Genève contre les mines antipersonnel s'est dite satisfaite des relations établies avec le Front Polisario, disposé à entrer dans le processus proposé par l'Appel de Genève.

              Carlos Ruiz Miguel, professeur espagnol de droit constitutionnel à La Coruña a rappelé que, de même que la Cour internationale de Justice a déclaré illégal le mur érigé en Palestine, le mur édifié par le Maroc au Sahara viole lui aussi de nombreux points des dispositions du Droit International.

              Enfin, l'historien sahraoui Oubbi Bouchraya, chercheur à la Sorbonne, a détaillé la structure du mur et Boïbat Chej Abdelkhay, Président de la Campagne Sahraouie Anti-mines a révélé le bilan terrifiant de victimes causées par les mines dont est truffé le mur marocain. Un court documentaire particulièrement fort, a montré les ravages des mines antipersonnel à travers des portraits de Sahraouis lourdement handicapés. Après le débat et l'intervention de la délégation italienne, une bousculade a eu lieu autour d'une femme de nationalité suisse et d'origine marocaine, qui a cherché à perturber la Conférence, comme les services marocains le font dans toutes les manifestations de ce genre. La conférence internationale a conclu son travail avec l'approbation d'un programme d'activités de dénonciation du mur marocain au Sahara et des mines qui sèment la désolation et la mort au Sahara Occidental.

              Commentaire


              • #8
                "Dans le cas où le Polisario n'accepte pas de négocier cette solution honorable et ne participera à son élaboration, à ce moment-là, le Maroc décidera d'aller tout seul",
                Y aller tout seul ? C'est le cas depuis trente deux ans. rien de nouveau.

                Commentaire


                • #9
                  Sahaouis

                  je plaint de toutes mes forces le peuple sahaouis et palestiniens j espere q un jour la roue tourneras pour eux leurs soufrances depuis toutes ses decennies me degoutent

                  Commentaire


                  • #10
                    Sahaouis

                    zawia tu retiens que les sujets qui t interesse parle moi des autres cites ci dessus

                    Commentaire


                    • #11
                      Jawzia

                      slt repond moi plutot a ca ? deux mur un en palestine un au maroc ?Genève a abrité vendredi 18 mars une journée internationale de protestation sur le thème 30 ans d'occupation marocaine au Sahara Occidenta l : ça suffit ! Le matin, devant l'ONU où se tient la session annuelle des droits de l'homme, des délégations de France, d'Italie, d'Espagne, de Hollande, de Belgique, d'Algérie, du Congo, de Suisse ont dénoncé le caractère illégal de l'occupation du Sahara Occidental et ont appelé l'ONU, l'Union Européenne et tous les Etats a faire pression sur le Maroc qui refuse systématiquement toute proposition de la Communauté internationale pour mettre fin au conflit qui l'oppose au Front Polisario.

                      Dans l'après-midi, au siège de l'Organisation Météorologique Mondiale, s'est tenue une conférence-débat au cours de laquelle des experts des Etats-Unis d'Amérique, d'Espagne, de Suisse et du Sahara Occidental ont dénoncé le mur de 2700 kilomètres construit par le Maroc dès 1980 pour diviser le Sahara Occidental et tenter d'annexer le territoire. Ils ont dénoncé également les millions de mines qui font du Sahara Occidental un territoire dangereux qui tue et blesse ceux qui s'y aventurent et les nomades qui y vivent. Des vies gâchées, des familles décimées, un cheptel perdu, une catastrophe écologique et une interdiction de libre circulation des personnes telles sont quelques-unes des conséquences de ces mines et de ce mur.

                      Jean Lamore, expert nord-américain résidant en France, a mis en exergue le scandale du silence qui entoure non seulement ce mur de la honte mais également le conflit du Sahara Occidental et le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Le mur a le triste record d'être le plus grand du monde, plus long de 300 km que la muraille de Chine.

                      Commentaire


                      • #12
                        je plaint de toutes mes forces le peuple sahaouis et palestiniens j espere q un jour la roue tourneras pour eux leurs soufrances depuis toutes ses decennies me degoutent
                        mais on t'a déjà dit qu'ils sont mieu nantis que leurs correligionnaires du nord et de l'est, c'est parcequ'ils vivent mieux que cela te dégoute !

                        Commentaire


                        • #13
                          Sahaouis

                          slt maroc50 rien compris desole

                          Commentaire


                          • #14
                            bonsoir Montoya.
                            En fait j'ai entendu dire et lu à plusieurs reprises, ici meme et aussi ailleur, que dans l'ex sahara occidentale, les conditions de vie étaient nettement meilleur que celle de l'Algerie et du reste du Maroc, si cela s'avère vrai, pourquoi les plaindre dans ce cas.
                            Dernière modification par btp50, 02 mars 2007, 20h29.

                            Commentaire


                            • #15
                              Montoya 3tina tissa3 allah yer7am babak.
                              j'espere que ce plan sera adopté par le conseil de securité,et si jamais les mercenaires refusent, dans ce cas il faudrait qu'il y ait un referendum national pour adopter le projet d'autonomie apres ca des elections locale dans nos province du sud puis un gouvernement sahraoui avec a sa tete le chef de parti majoritaire. c'est comme ca qu'il faut faire,agir d'une maniere constructive.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X