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British American Tobacco est en pleine forme. Ce n'est guère réjouissant ni moral car en raisons de la nocivité prouvé du tabac la lutte en Europe et en Amérique est intensive. Alors il faut s'adapter et pour ça le numéro deux mondial du tabac BAT s'adapte très bien et s'installe là où le marché est encore naissant et si loin de toute répressions ou lois contraignantes en Asie , en Amérique du Sud et vive les pays émérgents.
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Les ventes du fabricant de cigarettes progressent beaucoup en Amérique du Sud et en Asie.
Les pays émergents continuent de porter l'activité de British American Tobacco (BAT). Alors que la lutte anti-tabac redouble d'intensité sur le Vieux Continent, le numéro deux mondial du tabac a annoncé aujourd'hui une hausse de 7,3 % de ses profits en 2006, à 1,9 milliard de livres (2,8 milliards d'euros). Le bénéfice courant affiche une progression de 10% et le bénéfice par action ajusté s'est élevé à 98,12 pence, en ligne avec les attentes des analystes.
Le chiffre d'affaires net de taxes s'est inscrit en hausse de 4,7% à 9,8 milliards de livres. A périmètre comparable, la progression du volume des ventes s'élève à 2% contre 1 à 1,5% attendus.
Ces performances, saluées par le marché - le cours de l'action a progressé de 3,68% dans la matinée - résultent essentiellement de la croissance des ventes du fabricant de cigarettes (marques Lucky Strike, Dunhill, Pall Mal) en Asie et en Amérique du Sud alors qu'elles stagnent en Europe. Les revenus de BAT ont ainsi progressé de 4,6% dans la région Asie-Pacifique, de 5,9% en Afrique et au Moyen-Orient et surtout de 15,2% en Amérique Latine, contre une légère hausse de 1,4% en Europe.
"2006 a été une bonne année et nous pouvons regarder l'avenir avec confiance, sûrs de notre capacité à réaliser davantage de croissance et de valeur pour nos actionnaires", s'est félicité le président du groupe Jan du Plessis, dans un communiqué. BAT a d'ailleurs relevé son dividende de 55,9 pence par action et porté son programme de rachats d'action à 750 millions de livres pour 2007 contre 500 millions l'an dernier.
Cette action laisse supposer que le groupe britannique n'envisage pas, dans un avenir proche, de participer à la consolidation du secteur. En décembre dernier, le numéro trois mondial du tabac, Japan Tobacco, a accepté d'offrir 7,5 milliards de livres pour racheter le britannique Gallaher Group.
Par La Tribune
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Les ventes du fabricant de cigarettes progressent beaucoup en Amérique du Sud et en Asie.
Les pays émergents continuent de porter l'activité de British American Tobacco (BAT). Alors que la lutte anti-tabac redouble d'intensité sur le Vieux Continent, le numéro deux mondial du tabac a annoncé aujourd'hui une hausse de 7,3 % de ses profits en 2006, à 1,9 milliard de livres (2,8 milliards d'euros). Le bénéfice courant affiche une progression de 10% et le bénéfice par action ajusté s'est élevé à 98,12 pence, en ligne avec les attentes des analystes.
Le chiffre d'affaires net de taxes s'est inscrit en hausse de 4,7% à 9,8 milliards de livres. A périmètre comparable, la progression du volume des ventes s'élève à 2% contre 1 à 1,5% attendus.
Ces performances, saluées par le marché - le cours de l'action a progressé de 3,68% dans la matinée - résultent essentiellement de la croissance des ventes du fabricant de cigarettes (marques Lucky Strike, Dunhill, Pall Mal) en Asie et en Amérique du Sud alors qu'elles stagnent en Europe. Les revenus de BAT ont ainsi progressé de 4,6% dans la région Asie-Pacifique, de 5,9% en Afrique et au Moyen-Orient et surtout de 15,2% en Amérique Latine, contre une légère hausse de 1,4% en Europe.
"2006 a été une bonne année et nous pouvons regarder l'avenir avec confiance, sûrs de notre capacité à réaliser davantage de croissance et de valeur pour nos actionnaires", s'est félicité le président du groupe Jan du Plessis, dans un communiqué. BAT a d'ailleurs relevé son dividende de 55,9 pence par action et porté son programme de rachats d'action à 750 millions de livres pour 2007 contre 500 millions l'an dernier.
Cette action laisse supposer que le groupe britannique n'envisage pas, dans un avenir proche, de participer à la consolidation du secteur. En décembre dernier, le numéro trois mondial du tabac, Japan Tobacco, a accepté d'offrir 7,5 milliards de livres pour racheter le britannique Gallaher Group.
Par La Tribune
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