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arrestation d'une espionne marocaine en Belgique

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  • arrestation d'une espionne marocaine en Belgique

    Une Marocaine, accusée d’espionnage, placée en centre fermé en Belgique



    Elle est marocaine, âgée de 32 ans, et s’est fait connaître à l’échelle internationale sous sa triple casquette de femme d’affaires, de présidente de plusieurs organisations et de journaliste ayant interviewé des chefs d’Etat, la très polyvalente Kaoutar Fal aurait-elle une autre corde à son arc plus clandestine et difficilement avouable : l’espionnage pour le compte de son pays ?

    Derrière cette personnalité multi-facettes se dissimulerait-il le vrai visage d’un agent des services de renseignement marocains ? La Belgique en a manifestement acquis la certitude, puisque Kaoutar Fal est détenue, depuis samedi, dans le centre fermé 127 bis à Steenokkerzeel où elle attend d’être expulsée vers le Maroc, après que son visa Schengen lui a été retiré.

    Selon l’agence de presse Belga qui fait état d’une note confidentielle émanant de la Sûreté de l’Etat : « l’Office des étrangers indique que la Sûreté de l’Etat a demandé à ce qu’elle soit arrêtée parce qu’elle représente un risque pour la sécurité nationale ».

    De son côté, un porte-parole du gouvernement belge a précisé : « Elle est maintenant détenue sur la base d’un autre article, selon lequel elle se trouve illégalement sur le territoire et parce qu’elle représente une menace pour la sécurité nationale », soulignant « l’importance de la renvoyer vers le Maroc le plus rapidement possible ».

    Si l’avocat de Kaoutar Fal réfute les graves accusations qui pèsent contre sa cliente, dénonçant « une privation illégale de liberté », tout en indiquant avoir déposé un « nouveau recours, tant auprès de la Chambre des mises en accusation que du Conseil du contentieux des étrangers (CCE)», ce n’est cependant pas la première fois que la touche-à-tout marocaine du monde des affaires et du lobbying voit son image écornée par le soupçon d’activités souterraines douteuses.

    Suspectée de nager dans les eaux troubles du renseignement par des médias internationaux, Kaoutar Fal entrera-t-elle dans les annales de la Belgique en tant que première femme à avoir été boutée hors de son territoire pour cause d’espionnage ? C’est ce qu’avance le site espagnol d’information El Confidentiel, en dressant le portrait d’une « femmes d’affaires et espionne ».

    Pour étayer ses dires, il reprend les extraits choisis de la note produite par les autorités belges qui ne laissent guère planer de doute sur la vraie nature de ses activités : « L’intéressée est connu de la Sûreté de l’Etat (…) pour ses activités d’ingérence et d’espionnage au service de renseignement étrangers. Kaoutar Fal, à travers ses organismes, participe activement à ces actions-là au nom du Maroc. Elle est également en contact avec des personnes connues de nos services pour leurs activités ou leurs liens avec des services de renseignement étrangers. Kaoutar Fal représente ainsi une menace pour la sécurité nationale.»



    taqadoum
    Dernière modification par oudjda, 18 juillet 2018, 15h02.
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    Rebondissements dans "l'affaire" de la Marocaine Kaoutar Fal, arrêtée en Belgique pour "espionnage"




    L'affaire de la ressortissante marocaine Kaoutar Fal détenue depuis quelques jours en Belgique pour espionnage présumé a été confiée à un avocat belge pour assurer ses droits, selon des informations concordantes recueillies mardi 17 juillet par le360.



    "Du point de vue de ses droits auprès des autorités, l'ambassade du Royaume du Maroc en Belgique suit de près cette affaire puisque l'ambassadeur et le consul ont rendu visite à Kaoutar Fal", soulignent les sources de le360, précisant que les interventions des services consulaires "s'arrêtent là" parce que la prévenue a des problèmes qui sont "totalement étrangers à la partie marocaine".

    La ressortissante marocaine est actuellement incarcérée à Bruxelles où elle attend que la justice se fixe sur son sort. La date de son procès n'a pas encore été arrêtée.

    L'ambassadeur du Maroc en Belgique, Mohamed Ameur, a rendu visite la semaine dernière à l'intéressée à la prison centrale de Bruxelles.

    Pour précision, Kaoutar Fal est présidente de Globe's Forum au Parlement européen. Ses soucis ont commencé il y a quinze jours quand les services sécuritaires belges ont confisqué son passeport marocain et annulé son visa de séjour belge sans "motifs convaincants", selon la défense de la ressortissante marocaine...


    .lesinfos.ma
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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    • #3
      Au moins les renseignements marocains sont actifs !

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      • #4
        Elle espionner la communauté marocaine de Belgique

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        • #5
          Au moins les renseignements marocains sont actifs !
          le propre d'un service de renseignement c’est d'être discret.
          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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          • #6
            Elle espionner la communauté marocaine de Belgique
            Tu n'en sais absolument rien ! Tu n'es pas dans les secret de ces services. Si les belges en font tout un foin ce n'est surement pas pour l'espionnage de quelques ressortissants marocains récalcitrants à la monarchie. Pour ce genre d'espionnage il est fait de concert entre les service maricains et étrangers sous le prétexte du renseignement anti-terroriste.

            le propre d'un service de renseignement c’est d'être discret.
            Oui mais aucun service d'espionnage au monde n'est parfait, quelques un finissent toujours par se faire prendre. Les seuls qui ne se font pas prendre sont ceux qui n'espionnent pas.

            Il y a un an ou deux un responsable francais des douanes francaises à Orly (PAF) avait été arrêté et demis de ses fonction pour avoir communiqué aux services de renseignement marocain des informations sur les fichiers S des ressortissants marocains et algériens que la DGSI refusait de communiquer aux services marocains. L'espion a pu s'en tirer depuis bien longtemps !

            Les autres cas connu concernent l'espionnage anti sahraoui et le noyautage de parti politique en Europe comme ce fut le cas de Mohamed Baghdad ou Ziani en Espagne !
            Dernière modification par LockDown, 18 juillet 2018, 19h08.

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            • #7
              .
              Espionnage en utilisant des femmes " P*** et ceux des cabarets , methode révolu
              Actuellement se fait directement en achetant l informateur en OSEILLE ..
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

              Commentaire


              • #8
                Espionnage en utilisant des femmes " P*** et ceux des cabarets , methode révolu*
                Actuellement se fait directement en achetant l informateur en OSEILLE ..
                Un peu de respect ! L'amertume de pousse vers l'insulte et le dénigrement.

                Le Maroc a-t-il vraiment espionné l'Algérie depuis l'aéroport d'Orly ?6 Sep 2017 | 6 sept. 2017

                Après l'arrestation d'un capitaine de police français de l'aéroport d'Orly, accusé d'avoir fourni des renseignements issus de fichiers S à des services marocains, les médias s'interrogent... Le Maroc espionne-t-il l'Algérie grâce à la France ?

                Le Maroc espionne-t-il vraiment des dignitaires algériens ? Le quotidien français*Libération,*dans son édition du 4 septembre, a relaté le premier*cette affaire digne d'une scène de polar*: un capitaine de la police aux frontières exerçant à l'aéroport d'Orly aurait fait du trafic de fichiers S pour le Maroc.

                Le policier, dénommé Charles D. dans l'article de*Libération, a pris la direction de l'Unité information de la police aux frontières d'Orly en septembre 2014.

                La principale mission de cette structure est*la suivante : se renseigner sur des cas éventuels de radicalisation au sein des équipes travaillant à l'aéroport et rédiger des notes lorsque des personnes fichées S passent les frontières (terroristes, espions étrangers et militants politiques).

                La*carrière de Charles D. se trouvait alors, selon l'article, dans une mauvaise passe. Il avait donc pour ambition de mener son action au mieux afin d'impressionner sa hiérarchie.

                Espion malgré lui

                C'est dans ce but qu'il s'est approché de Driss A., directeur d'une société de sûreté,*basé à l'aéroport. Cet homme connaissait très bien Orly et paraissait à même d'aider le policier à faire avancer son unité.

                Mais, bientôt, les attentats de 2015, puis de 2016 allaient frapper la France. Charles D. ne s'est alors plus contenté de recevoir des informations, il en a également fourni. Car Driss A. lui a dit être en communication avec les services de renseignements marocains qui auraient du mal à communiquer avec leurs homologues français. Driss A., lui-même, était originaire du Maroc... Entre temps, une autre personne est entrée dans le jeu : Mohammed B. qui officiait «dans le domaine du renseignement» selon*Libération.

                Le fonctionnaire pensait bien faire en confiant à Driss A. ses rapports sur les fichés S transitant par l'aéroport. Il imaginait, selon ses dires, participer à la lutte antiterroriste.

                Il semblerait cependant qu'il ait en fait été retourné par les services secrets du royaume du Maroc. Parmi les informations qu'il fournissait à son contact marocain se trouvaient également des signalements sur des ressortissants algériens sans lien avec le terrorisme... A la clé pour lui, des voyages tous frais payés au Maroc pour lui et sa famille.

                Agent double ou victime de sa hiérarchie ?

                Il aurait ainsi confié des documents consignant les allées et venues*d’un ancien haut responsable algérien, ainsi que deux notes de l’ambassade algérienne à propos des passages de deux ministres en exercice.

                Il n'en fallait pas plus pour que certains médias algériens s'emballent.*«Le Maroc a espionné des ministres algériens», s'insurge ainsi TSA...

                Interpellé par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), le policier, qui était proche de la retraite, a été inculpé le 31 mai pour corruption et violation du secret professionnel, et a été placé en détention provisoire. Tout comme Driss A. dont l'avocat déplore cette action en justice qui détruirait, selon lui, un «canal très efficace entre deux états amis dans la lutte contre le terrorisme».

                Charles D. a 59 ans. Il reconnaît tout et dit avoir agi dans l'intérêt de la nation française, pays qu'il a rejoint dans les années 1980, en tant que demandeur d'asile,*après avoir grandi au Congo. Il affirmerait même que sa hiérarchie était au courant.*

                Mais il peine à expliquer les voyages au Maroc tous frais payés, ainsi que l'origine des 10 000 euros qui auraient été déposés sur son compte en 2015... Celui qui se rêvait peut-être en héros anonyme trinquerait donc pour un conflit entre*les services de renseignements français et marocains.

                L'instruction est toujours en cours au tribunal de grande instance de Créteil.

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                • #9
                  Heureusement pour les bulahya terroristes et les trafiquants, maintenant plus rien à craindre pour leurs secrets high tech dans l'intelligence artificielle, Nano, fusion nucléaire.

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                  • #10
                    Bizarrement ont retrouvent cette espionne pour la communauté marocaine de Belgique Kaoutar Badah parmis les prostituées accusatrice dans le procès du journaliste Bouachrine Touafik un montage fictif pour la répression de Mohamed 6

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