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Les dictatures tunisienne, algérienne, marocaine, libyenne et mauritanienne mettent la main dans la main afin de porter le maximum de préjudice aux relations fraternelles et séculaires liant les peuples du Maghreb.
Après la bestialité policière réservée au public algérien frère au stade M’hiri de Sfax lors de la coupe d’Afrique des nations de football (CAN 2004) et en contrepartie l’accueil affligeant réservé aux athlètes tunisiens lors des derniers jeux panarabes d’Alger, voilà que la dictature tunisienne de Zine El Abidine Ben Ali porte un énième coup à cette utopie nommée "Édifice du Grand Maghreb".
Cette coopération tout azimuts entre nos dictateurs dans les domaines des violations des droits de l’homme et de la répression commence déjà à porter ses fruits, la haine et le désir de vengeance entre les peuples du Maghreb, composés en grande partie d’illettrés, ne fait que se répandre comme tâche d’huile.
Les conséquences dans le moyen et le long terme sont assez prévisibles d’autant qu’il est impossible d’ores et déjà d’organiser la moindre rencontre sportive intermaghrébine sans un dispositif sécuritaire impressionnant.
La colonel Kadhafi qui ne cherche plus qu’à plaire aux pays occidentaux n’oppose aucune réserve à ce que des milliers de demandeurs d’asile soient refoulés de l’Italie vers son enfer sans s’assurer même de leurs nationalités. Le général Zine El Abidine quant à lui fait plus fort et accepte que des navires interceptés aux portes de l’eldorado européen soient dirigés vers ses centres de torture et de mauvais traitements...
D’autre part, la solution de la crise du Sahara Occidental que les régimes autoritaires de l’Algérie et du Maroc renvoient aux calendes grecques et l’ingérence de la Libye dans les affaires internes de la Mauritanie risquent de plonger toute la région du Maghreb dans un chaos jamais connu auparavant.
Après la bestialité policière réservée au public algérien frère au stade M’hiri de Sfax lors de la coupe d’Afrique des nations de football (CAN 2004) et en contrepartie l’accueil affligeant réservé aux athlètes tunisiens lors des derniers jeux panarabes d’Alger, voilà que la dictature tunisienne de Zine El Abidine Ben Ali porte un énième coup à cette utopie nommée "Édifice du Grand Maghreb".
Cette coopération tout azimuts entre nos dictateurs dans les domaines des violations des droits de l’homme et de la répression commence déjà à porter ses fruits, la haine et le désir de vengeance entre les peuples du Maghreb, composés en grande partie d’illettrés, ne fait que se répandre comme tâche d’huile.
Les conséquences dans le moyen et le long terme sont assez prévisibles d’autant qu’il est impossible d’ores et déjà d’organiser la moindre rencontre sportive intermaghrébine sans un dispositif sécuritaire impressionnant.
La colonel Kadhafi qui ne cherche plus qu’à plaire aux pays occidentaux n’oppose aucune réserve à ce que des milliers de demandeurs d’asile soient refoulés de l’Italie vers son enfer sans s’assurer même de leurs nationalités. Le général Zine El Abidine quant à lui fait plus fort et accepte que des navires interceptés aux portes de l’eldorado européen soient dirigés vers ses centres de torture et de mauvais traitements...
D’autre part, la solution de la crise du Sahara Occidental que les régimes autoritaires de l’Algérie et du Maroc renvoient aux calendes grecques et l’ingérence de la Libye dans les affaires internes de la Mauritanie risquent de plonger toute la région du Maghreb dans un chaos jamais connu auparavant.
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