Goumiers : les mercenaires violeurs

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"Marocchinate": l'Italie poursuit en justice la France à cause des goumiers violeurs

L'affaire des goumiers violeurs en Italie, connue sous le nom de "Marocchinate", refait surface. L'association des femmes victimes de viols en Italie a annoncé avoir intenté une action en justice contre l'Etat français pour les exactions commises par des soldats dont des Marocains qui combattaient au nom de la France durant la Seconde Guerre mondiale.

Luciano Randazzo, un avocat de l'association, a déposé plainte contre la France auprès des tribunaux de Frosinone, La Matina et le tribunal militaire de Rome.

Au cours de cette période, la violence, le vol et le viol de milliers de femmes, dont certaines sont encore en vie, y compris des mineurs, se sont produits dans plusieurs villes des régions de Latzio et de Toscane.
Les zones les plus touchées étaient la ville d'Esperia où plus de 700 femmes ont été tuées.

Ces évènements ont laissé une cicatrice profonde dans la mémoire collective des Italiens. Ils ont été racontés dans le roman de l'écrivain italien Alberto Moravia en 1957, intitulé La Ciociara, et adaptés dans un film réalisé par Vittorio De Sica, avec l'actrice Sophia Loren. Le film a remporté l'Oscar en 1962.
le site akbyle.com

une lettre qui aurait été rédigée par le Maréchal Juin, bien que l’original n’ait pu être retrouvé, on connaît la traduction d’une feuille volante en français et en arabe qui aurait circulé parmi les Goumiers :
« Soldats ! Cette fois-ci ce n’est pas seulement la liberté de vos pays que je vous offre si vous êtes vainqueurs dans cette bataille. Derrière l’ennemi vous trouverez des femmes, des maisons, un vin parmi les meilleurs du monde, vous trouverez de l’or. C’est tout cela qui sera à vous si vous gagnez. Il vous faudra tuer les Allemands jusqu’au dernier homme et passer quel que soit le prix. Ce que je vous ai dit et promis, je le maintiens. Pendant cinquante heures vous serez les maîtres absolus de ce que vous trouverez derrière les lignes ennemies. Personne ne vous punira pour ce que vous aurez fait, ni ne vous demandera des comptes pour ce que vous aurez pris »

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ya des temonage que les criminel allié qui n'ont pas arreté a seulment detruire l’Allemagne mais aussi ce venger sur les femmes enfants et vieux
en raconte qu'ils avaient interdit aux allemands de fermé leur porte, des consignes laisser vos porte ouverte si non c'est la mort

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« Soldats ! Cette fois-ci ce n’est pas seulement la liberté de vos pays que je vous offre si vous êtes vainqueurs dans cette bataille. Derrière l’ennemi vous trouverez des femmes, des maisons, un vin parmi les meilleurs du monde, vous trouverez de l’or. C’est tout cela qui sera à vous si vous gagnez. Il vous faudra tuer les Allemands jusqu’au dernier homme et passer quel que soit le prix. Ce que je vous ai dit et promis, je le maintiens. Pendant cinquante heures vous serez les maîtres absolus de ce que vous trouverez derrière les lignes ennemies. Personne ne vous punira pour ce que vous aurez fait, ni ne vous demandera des comptes pour ce que vous aurez pris »



cette lettre est copie du discours qu'auarit fait le merceaires et chef des mercenaire "tarik bin ziyad"a ses soldat "mercenaire" pour coloniser l'espagnepour le compte des arabe msuslmans

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extrait du "la famille marocain du président moncef marzouki"

Les Ghoummis, ou goumiers selon l’appellation officielle, étaient des engagés, d’abord marocains, ensuite maghrébins, auprès de l’armée française d’occupation. Ces unités ont existé de 1912 à 1956. Leur rôle était de terroriser la population civile et de rapporter les faits et gestes, des opposants. Selon des témoignages concordants, ils étaient cent fois pires que les harkis de triste réputation. Ils étaient spécialisés en effet, dans des activités aussi diverses que les tortures, viols et assassinats. Ils avaient une tenue spéciale franco-maghrébine, et on les reconnaissait de loin. Quand on les voyait, on se précipitait pour aller vite se cacher, car ils n'avaient besoin d'aucun prétexte, pour agir : défoncer les portes de maisons, violer femmes, filles, enfants et parfois les hommes, voler ce qu'ils voulaient, et repartaient hilares, comme si de rien n’était.


Tous les goumiers étaient des volontaires. La plupart étaient des Marocains, dressés spécialement pour « casser » du Marocain, de l'Algérien et du Tunisien, mais il y avait aussi des goumiers Tunisiens et Algériens. Après les indépendances, le Maroc a été le seul pays, à ne pas les poursuivre en justice et en a intégré un certain nombre, dans l’armée royale. Il a même accordé la nationalité marocaine, aux Tunisiens et aux Algériens, qui avaient peur de retourner dans leur pays, pour y être jugés.


En Tunisie, les troubles provoqués par les actions des activistes nationaux, qui prirent de l’ampleur en 1954, amenèrent les troupes françaises à constituer un « tabor tunisien de Ghoummis », sur le modèle des goumiers marocain. Selon certaines sources, le père de Moncef Marzouki s’y serait engagé, en tant que volontaire. Fin septembre 1954, les 3e, 8e, et 10e Tabors de goumiers marocains, arrivèrent successivement, en Tunisie, pour participer aux opérations de « maintien de l’ordre ». Ils seront rapatriés au Maroc, au lendemain de l’indépendance, en avril 1956, accompagnés des goumiers tunisiens. Voilà donc, ce que dit l’histoire officieuse, en attendant que l’histoire officielle, daigne nous éclairer correctement, sur cet épisode plutôt obscur, de notre histoire récente, et nous livre enfin, l’identité de tous les traitres tunisiens.


Mais, avant de quitter ce sujet, je voudrais aussi vous dire, que lors de la seconde guerre mondiale, les goumiers avaient été engagés, dans les troupes du Marchal Juin, chargées de la reconquête de l’Italie. Les actes atroces commis par ces engagés marocains, sont encore dans les mémoires des italiens. Il faut savoir à ce propos, que ces enragés avaient bénéficié de 50 heures durant lesquelles, ils pouvaient faire absolument ce qu’ils voulaient ! Voici le texte d'une feuille volante qui aurait été, en français et en arabe, par le commandement français, aux Goumiers, mais dont l’existence est aujourd’hui, officiellement niée, par les autorités françaises :




« Soldats ! Cette fois-ci ce n'est pas seulement la liberté de vos pays que je vous offre si vous êtes vainqueurs dans cette bataille. Derrière l'ennemi vous trouverez des femmes, des maisons, un vin parmi les meilleurs du monde, vous trouverez de l'or. C'est tout cela qui sera à vous si vous gagnez. Il vous faudra tuer les Allemands jusqu'au dernier homme et passer quel que soit le prix. Ce que je vous ai dit et promis, je le maintiens. Pendant cinquante heures vous serez les maîtres absolus de ce que vous trouverez derrière les lignes ennemies. Personne ne vous punira pour ce que vous aurez fait, ni ne vous demandera des comptes pour ce que vous aurez pris ».


Joli, n’est-ce pas ? Oui ? Alors, dites-vous bien, que c’était exactement, ce qui était promis aux Goumiers, dans l’exercice de leurs tristement célèbres « fonctions », dans leurs pays d’origine, et pas uniquement pour 50 heures ! En allant plus loin, on peut même voir en ces goumiers une préfiguration des jihadistes qui sévissent aujourd’hui, un peu partout, dans le monde Arabo-musulman. Les goumiers étaient en effets, des êtres frustes brutaux et parfaitement, illettrés, tout comme les jihadistes d’aujourd’hui.


Selon certaines sources, feu Bedoui Marzouki, le défunt père de Moncef Marzouki, se serait réfugié au Maroc, après l’Independence de la Tunisie, pour pouvoir bénéficier de ce statut particulier, accordé par le Royaume du Maroc, aux goumiers. Il y aurait obtenu la nationalité marocaine, pour lui et pour ses enfants, dont notre Président. Ceci aurait été facilité, par le fait que la première épouse du père de Moncef Marzouki, aurait été de nationalité marocaine. Toujours selon ces sources, Moncef Marzouki, serait par voie de conséquence, Marocain, ce qui serait bien évidemment, en contradiction, avec les dispositions de la Constitution.

[Pomaria]