Annonce

Réduire
Aucune annonce.

marocaines prostituées en Thaïlande: le verdict est tombé

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • marocaines prostituées en Thaïlande: le verdict est tombé

    Thaïlande : jusqu’à 20 ans de prison pour avoir forcé des Marocaines à se prostituer



    Des peines allant de 16 à 19 ans de prison viennent d’être prononcées par la justice thaïlandaise à l’encontre de plusieurs personnes accusées d’avoir forcé des Marocaines à se prostituer.

    Le principal accusé, un Soudanais détenant également la nationalité australienne, a écopé d’une peine de 19 ans de prison ferme alors que quatre autres (une Marocaine, deux Thaïlandais, et un Syrien) ont été condamnés à 16 ans de prison ferme.
    Selon le site The Thaiger, le patron du « Dream Disco Pub » à Bangkok , bar majoritairement fréquenté par une clientèle venue du Moyen-Orient et d’Afrique, avait été arrêté en 2017 après la plainte d’une association pour trafic d’êtres humains.


    Les quatre Marocaines étaient arrivées en 2016 à Bangkok pensant, affirment-elles, qu’il s’agissait d’emplois de serveuses. Elles avaient ensuite été forcés à se prostituer durant deux ans et subi des violences de la part des complices du patron du bar.


    Au tribunal, deux victimes étaient restées pour témoigner durant le procès alors que les deux autres sont revenues depuis au Maroc.
    **********
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    Forcé n'est pas adapté dans ce cas ......Légèrement insisté gentiment

    Commentaire


    • #3
      Forcé n'est pas adapté dans ce cas ......Légèrement insisté gentiment
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

      Commentaire


      • #4
        forcee ? elles n avait pas de possibilites de fuites ?
        elles n avait pas de telephones pour appeler la police ?

        Commentaire


        • #5
          Elles sont parti pour la Thaïlande pour travailler , elles se sont retrouvées coincées , leurs oseilles saisies

          ( Thaïlande identique comme Marrakech : TS)
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

          Commentaire


          • #6
            forcee ? elles n avait pas de possibilites de fuites ?
            elles n avait pas de telephones pour appeler la police ?
            C'est la Mafia. Elles peuvent finir découpés en morceaux si jamais elles montraient le moindre signe de subversion.

            Les choses ne sont pas aussi simples dans la vie, surtout dans ces milieux la.

            Commentaire


            • #7
              Ces malheureuses ont été bernées au même titre qu'en Europe. Elles ne sont pas les seules, les femmes d'Ukraine sont également victimes de cette mafia.

              Commentaire


              • #8
                La traite des blanches est connue pour etre le seul trafic ou la pegre et les politiques font bizbiz, d'ou l'impunité de ces vautours

                Commentaire


                • #9
                  genis khan @

                  faut pas exagerer.tu a vu trop de films de maffia.
                  tu connais tres mal la thaillande,c est un pays sur et tres liberal sur le plan de la sexualite et la prostitution.
                  ce qui m etonne que j ai jamais entendu pareil proces quand on sait que la thaillande c est un bordel a ciel ouvert.

                  Commentaire


                  • #10
                    faire travailler quelqun meme le payant bien c est tres difficille a trouver,mais forcer quelqun a faire quelque chose que il n a pas envie de faire c est une mission impossible voire meme dangereux .
                    moi je pense que ces marocaines volait les clients des prostituees thaillandaises et que des patrons de bars concurents ont voulu s en debarasser sous pretexte de proxenetisme.

                    Commentaire


                    • #11

                      Commentaire


                      • #12
                        Il faut connaître la réalité de la situation de ces pauvres femmes au préalable de les stigmatiser.

                        En Europe, elles bénéficient d'un visa à titre "d'artistes" et elles dépendent donc de leur bourreau-employeur. En cas de refus de procéder à certains "numéros" leur bourreau casse le contrat et informe l'Administration qui l'a délivré: conséquence, elles sont invitées à quitter le pays de leurs emplois dans les plus brefs délais.

                        Commentaire

                        Chargement...
                        X