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Une délégation du Conseil national sahraoui effectue une visite au Conseil de la Nation

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  • Une délégation du Conseil national sahraoui effectue une visite au Conseil de la Nation

    Alger, 19 juil (SPS) Une délégation du Conseil national conduite par le vice-président du Conseil, Ahmouda Hamda El Zeine a été reçue reçu mercredi au siège du Conseil algérien de la Nation par son vice-président, Abdelaziz Bezaz.

    Selon un communiqué du conseil de la nation, la rencontre a permis d'échanger les points de vues sur le système parlementaire en général et sur le rôle du conseil notamment dans la vie politique et législative, et son rôle dans les domaines législatif et du contrôle du travail du gouvernement".

    "La rencontre a constitué également une opportunité pour renouveler la position fixe de l'Algérie, sous la direction du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, soutenant la question sahraouie, dans le cadre de la légalité internationale et des résolutions des nations unies".

    De son coté le président de la délégation parlementaire sahraouie a salué "les relations exceptionnelles", liant les deux pays, saluant également "le soutien de l'Algérie au peuple sahraoui aux fora parlementaires internationaux pour son autodétermination"

  • #2
    lol !

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    • #3
      Conseil national sahraoui effectue une visite au Conseil de la Nation

      c'est bien de se conseiller...
      entre cancres.

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      • #4
        Et pourtant, c'est l'Afrique du Sud qui est le véritable soutien de la cause légitime sahraouie. Cependant, en l'espèce la dictature marocaine ne lui en tient pas griefs...et pour cause!

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        • #5
          raconte tes bobards ailleurs...
          Alger est la marionnettiste,les harkis traitres sont les marionnettes.

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          • #6
            " raconte tes bobards ailleurs.."

            La couleuvre jamais digérée par la dictature marocaine:

            - Plus tard, au début des années 1980, lorsque le même Mandela croupit à Robben Island, l’armée marocaine, en pleine guerre contre le Polisario soutenu par l’Algérie, se fournit secrètement en blindés légers Panhard fabriqués sous licence en Afrique du Sud. Il n’en faut pas plus pour que l’ANC y voit une collusion entre le royaume et le régime de l’apartheid, et assimile le combat des indépendantistes sahraouis au sien – la commune idéologie « progressiste » des deux mouvements faisant le reste.

            En 1994, à peine arrivé au pouvoir, Nelson Mandela, qui n’a pas la mémoire courte, s’engage par écrit auprès du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, à reconnaître sans délai l’entité sahraouie-.

            J.A., le 20 septembre 2004 à 01h00

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            • #7
              Hommage de Nelson Mandéla au Royaume du Maroc



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              • #8
                "Hommage de Nelson Mandéla au Royaume du Maroc"

                Vidéo truquée sinon pas implicite.

                Reste à savoir pourquoi ce complexe marocain à accepter que le royaume avait soutenu l'aparheid sud-africain? Il s'agit d'une décision du gouvernement marocain mais non de son peuple?

                -La revanche de Bouteflika:

                -Sens de la tactique

                S'il garde une aura, il la doit à ses coups d'éclat diplomatiques. En 1974, alors président de l'Assemblée générale des Nations unies, il accueille Yasser Arafat, dirigeant de l'OLP, avec les honneurs dus à un chef d'Etat. Mieux: il expulse les représentants de l'Afrique du Sud alors sous le régime de l'apartheid. Washington et ses alliés enragent-.



                L'Express.fr

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                • #9
                  Vidéo truquée sinon pas implicite.
                  ma tehchemch al keddab!

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                  • #10
                    South Africa-Morocco : Tribute to Morocco by H.E Mr. Nelson Mandela

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                    • #11
                      @Anzoul, il ne faut pas le suivre parce que fidèle à ses habitudes, il a sauté du coq à l'âne.

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                      • #12
                        " Seule la vérité vous rendra libres" (dixit Vaclav Havel).

                        Au gré des vents et des intérêts, le Maroc a présenté à l’Afrique du Sud plusieurs de ses facettes, frôlant même la schizophrénie à certaines occasions. Plonger dans l’histoire bilatérale des deux pays génère encore aujourd’hui chez ses acteurs une grande méfiance et surtout une discrétion plutôt énigmatique. Tout porte à croire que les liens complexes entre le royaume chérifien et la nation arc-en-ciel sont loin d’être un conte de fées. Un cas où l’Histoire déteint clairement sur le présent.

                        Une visite clandestine

                        En mars 1962, Nelson Mandela foule pour la première fois le sol marocain. Son interlocuteur direct n’est autre que le docteur Abdelkrim Khatib, alors Ministre d’Etat chargé des Affaires africaines. Fin diplomate et grand connaisseur de l’Afrique, ce chirurgien de formation incarne depuis la fin des années 1950 le parfait agent de liaison avec les organisations nationalistes africaines.

                        Il compte à son actif des opérations de soutien au MPLA (Mouvement populaire de libération de l’Angola), au PAIGC (Parti africain pour l’indépendance de la Guinée-Bissau et du Cap-Vert) et plus tard au ZAPU (Zimbabwe african people’s union). L’expérience ne manque donc pas au docteur Khatib qui entretiendra, jusqu’à sa mort en 2008, une sincère amitié avec Nelson Mandela. Ce dernier n’hésitera d’ailleurs pas à lui rendre hommage en sa présence, lors de son discours au Cap le 27 avril 1995. Lors de cette brève allocution, Madiba explique lui-même les circonstances de sa rencontre avec le docteur marocain 33 ans auparavant. Il y raconte que la première question qu’il adresse à son interlocuteur concerne la possibilité de rencontrer le nouveau roi Hassan II.

                        A ce moment-là, Nelson Mandela ignore que le docteur Khatib dispose de toute latitude concernant le traitement de ce type d’affaires. Même si le règne a changé de main, le Maroc de l’après-Mohammed V hérite, pour encore peu de temps, du rôle de phare pour les pays africains en lutte contre le colonialisme et l’oppression. Néanmoins, en cette année 1962, Hassan II semble clairement s’orienter vers un alignement sur les Etats-Unis, et c’est à ce titre que la discrétion concernant la visite de Mandela (considéré alors comme un dangereux terroriste communiste) est de mise.

                        Quoi qu’il en soit, Madiba n’aura pas l’occasion de rencontrer le monarque cette fois-ci, mais obtient satisfaction sur toutes les autres demandes qu’il formule. Le docteur Khatib lui promet de livrer des caisses d’armes via le poste consulaire marocain à Dar Essalam en Tanzanie. Il répond favorablement à la demande de formation militaire des militants de l’ANC.

                        Pour ce faire, il propose d’envoyer un avion marocain en Tanzanie, afin de récupérer les hommes de Mandela et de les acheminer vers le Maroc où leur formation sera prise en charge. Enfin, la question de l’aide financière se résout par l’envoi de 5000 livres britanniques sur un compte bancaire londonien. Dans son discours, Nelson Mandela conclut non sans humour : « Après ça, le docteur m’a demandé si je voulais toujours voir le roi Hassan II, je lui ai répondu non merci ».
                        Dernière modification par rago, 21 juillet 2018, 20h37.

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                        • #13
                          Hors sujet. Et c'est contraire à la charte.

                          Commentaire


                          • #14
                            - Evidemment, la position ambigüe du Maroc, nouvel allié inconditionnel des Etats Unis, entraine une série de questions : si les services occidentaux ont commencé à filer Mandela depuis l’Afrique du Nord, auraient-ils pu bénéficier d’une quelconque assistance ?

                            Une source ayant étudié l’affaire et qui souhaite rester anonyme donne son avis : « La première arrestation de Mandela a eu lieu pratiquement à son retour du Maroc et d’une tournée dans d’autres pays. Mais il n’a été condamné à la prison à vie qu’en 1964 alors qu’il était entré en clandestinité.

                            Que la CIA ait pu fournir des renseignements à Pretoria sur son séjour au Maroc est bien sûr très possible. Mais il n’y a pas que la CIA qui opérait librement au Maroc : les services français, israéliens et portugais, qui soutenaient totalement la politique de l’Apartheid, ont pu tout aussi bien le faire ».

                            Dès lors, le Maroc devient par nature un partenaire indirect du régime sud-africain, l’ennemi mortel de l’ANC. Cet état de fait dépasse le simple point de vue idéologique, car le royaume participe au cours des années 1960 et 1970 à plusieurs opérations contre les intérêts de ses anciens protégés. Le pragmatisme de Hassan II choque les mouvements indépendantistes qui avaient pourtant placé leur confiance au Maroc.

                            Un premier événement pousse l’ANC et ses alliés africains à prendre plus de distance avec Rabat. En octobre 1963, le Maroc et l’Algérie s’affrontent militairement pendant la Guerre des sables. Pour les mouvements de libération africains, le choix se porte sans trop d’hésitation sur Alger, qui véhicule une image bien plus empathique que son voisin chérifien-.

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                            • #15
                              Mon dieu ça parle du conseil national d Algérie

                              Et venir nous parler de wlidate Al khalfi alors qu ils y en a qui habitent ici pour juste le HS
                              La haine aveugle

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