Quand il s'agit de défendre les intérêts de pauvres Marocains, la dictature alaouite semble peut encline à se charger de leur défense alors que l'affaire des dames de fraises est un scandale sans commune mesure.
- Alors que le Parlement marocain a décidé la semaine dernière d’enterrer tout projet de mission d’information parlementaire à Huelva, il semblerait que son argument ne soit pas fondé. La commission disposerait même de solutions pour contourner cette décision.
Après un silence ayant duré plusieurs semaines, la Chambre des représentants a rendu son verdict quant à la constitution d’une mission d’information parlementaire sur Huelva Gate. La semaine dernière, le Parlement marocain a donc décidé d’enterrer le projet de mission d’information, brandissant l'article 107 du règlement intérieur de la Chambre basse.
Un article qui énonce que «des missions d’information parlementaires peuvent être constituées à condition que leur sujet soit en rapport avec les secteurs, les domaines et les institutions qui entrent dans le cadre des prérogatives de la commission».
Contactée par ******** jeudi dernier, Saida Ait Bouali, présidente de la Commission des affaires sociaux à la Chambre basse nous avait appris la mauvaise nouvelle.
Celle qui défendait bec et ongles la constitution de cette mission pour un dossier ayant fait la Une des médias espagnols pendant plusieurs jours, a tourné casaque préférant puiser dans un langage politique pour expliquer les raisons du refus. «Les députés continueront à travailler pour trouver une autre formule», s’est-elle contentée de répéter-.
Ya..........bi
- Alors que le Parlement marocain a décidé la semaine dernière d’enterrer tout projet de mission d’information parlementaire à Huelva, il semblerait que son argument ne soit pas fondé. La commission disposerait même de solutions pour contourner cette décision.
Après un silence ayant duré plusieurs semaines, la Chambre des représentants a rendu son verdict quant à la constitution d’une mission d’information parlementaire sur Huelva Gate. La semaine dernière, le Parlement marocain a donc décidé d’enterrer le projet de mission d’information, brandissant l'article 107 du règlement intérieur de la Chambre basse.
Un article qui énonce que «des missions d’information parlementaires peuvent être constituées à condition que leur sujet soit en rapport avec les secteurs, les domaines et les institutions qui entrent dans le cadre des prérogatives de la commission».
Contactée par ******** jeudi dernier, Saida Ait Bouali, présidente de la Commission des affaires sociaux à la Chambre basse nous avait appris la mauvaise nouvelle.
Celle qui défendait bec et ongles la constitution de cette mission pour un dossier ayant fait la Une des médias espagnols pendant plusieurs jours, a tourné casaque préférant puiser dans un langage politique pour expliquer les raisons du refus. «Les députés continueront à travailler pour trouver une autre formule», s’est-elle contentée de répéter-.
Ya..........bi
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