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Moussa Touati appelle Bouteflika à prolonger son mandant jusqu’en 2022

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  • Moussa Touati appelle Bouteflika à prolonger son mandant jusqu’en 2022

    Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati a appelé le chef de l’État Abdelaziz Bouteflika à prolonger son mandat actuel, qui se termine en 2019, jusqu’à l’année 2022.

    S’exprimant lors d’une conférence de presse qu’il a animée hier à Alger en marge d’une session ordinaire du Conseil national de son parti, Moussa Touati a ainsi plaidé pour « une période de transition » de trois ans qui doit être confiée, selo, lui, à l’actuel chef de l’État.

    Il s’agira ainsi, selon Moussa Touati, d’une « période de transition étalée sur trois ans durant laquelle des élections libres et transparentes seront organisées. Une phase transitoire qui sera pilotée par le président en exercice dont le quatrième mandat sera ainsi prolongé sans avoir à passer par une quelconque élection ». Le président du FNA justifie notamment sa proposition par la nécessité de faire « l’économie de tout l’argent que pareille consultation électorale (élection présidentielle de 2019, ndlr) suppose en ces temps de vaches maigres ».

    À noter que les discussions sur les élections présidentielles de 2019 et sur une éventuelle candidature de l’actuel chef de l’État se sont multipliées ces derniers mois, alors que la majorité des partis d’allégeance ont unanimement appelé Abdelaziz Bouteflika à briguer un cinquième mandat de suite à la tête du pays.
    ObservAlgérie

  • #2
    Avec des opposants aussi faibles et un système aussi pourri, oui vaut mieux épargner l'argent public et sauter les élections.

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    • #3
      Envoyé par Bachi
      Avec des opposants aussi faibles
      Le corrompu Moussa Touati qui est issu du FLN, n'est pas un "opposant" mais un mafieux au service du cartel ANP/FLN. Tout comme le mafieux Ahmed Ouyahia. Le FND et le RND ne sont rien d'autres que de partis satellites du cartel ANP/FLN.

      De nombreux partis politiques ont été créés pour tromper les Algériens et leur faire croire qu'ils ont le "choix" mais en réalité, plusieurs de ces partis ne sont rien d'autres que des partis satellites au service du cartel ANP/FLN.

      Un véritable opposant ferait au moins le minimum: exiger la destitution du zombie Bouteflika. Non seulement le mafieux Moussa Touati ne fait pas le strict minimum, mais pire encore, il appelle à la prolongation du mandat du mafieux Bouteflika et dit sans honte qu'un zombie totalement inapte doit "piloter une période de transition".

      Autrement dit, la classe politique algérienne est une horrible mauvaise blague.

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      • #4
        Je n'arrive pas à comprendre comment fonctionne le système politique en Algérie, à première vue, le président est au dessus de tout clivage politique, comme la Reine Elisabeth II au Royaume Unie par exemple, une monarchie constitutionnelle, mais ce n'est pas ça car chez nous le président détient tout le pouvoir... je me demande comment ça marche et est-ce qu'il y a des parties d'opposition?
        Dernière modification par UnAlgerien, 29 juillet 2018, 23h55.

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        • #5
          Bouteflika ne fera pas de cinquième mandat.

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          • #6
            je me demande comment ça marche et est-ce qu'il y a des parties d'opposition?
            Tu n'es pas le seul à ne pas savoir comment ca marche le pouvoir en Algérie.
            Y a pas un seul Algérien qui sache depuis que l'Algérie est Algérie.

            Pour les oppositions, c'est clair que la majorité, FLN, RND, PT , TAJ etc,,, sont là que pour faire du bendir.
            Quelques uns comme Benbitour, Nekkaz, Benflis, sont trop faibles
            Dernière modification par Bachi, 30 juillet 2018, 17h50.

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            • #7
              Voilà comment marche le pouvoir politique en Algérie, il est tricéphale, composé de trois entités : DRS, ANP et FLN.

              Cela a toujours été comme ça, même avant l'indépendance, ce sont juste les noms qui changent.

              Avant 1962 c'était MALG, ALN et FLN.

              Le président de la Republique est désigné selon une entente entre ces trois têtes du pouvoir. De même que pour certains ministères, ils s'accordent pour designer qui sera le ministre.

              Ces trois têtes du pouvoir ont tous le même objectif, celui de s'accaparer des ressources de l'Algérie et de conserver cette emprise.

              Cependant ils ont des divergences, comme la distribution des ressources du pays, ou la distribution des responsabilités et postes.

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              • #8
                même dans le milieux des "chiyatine "... y'en a qui sont quand méme de compétition , comme ce brave homme qui demande même pas des pseudos élection pour faire semblant ..... non non .... direct .." reste et ne change rien " qu'il lui demande .....
                tu tombe je tombe car mane e mane
                après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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