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Ces partis politiques qui jouent à la souris !

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  • Ces partis politiques qui jouent à la souris !

    Ces partis politiques qui jouent à la souris !



    Dans l’arène politique, les partis algériens jouent à la souris, tentant d’avoir une part du fromage, certains ne font plus actionner leurs vitesses et restent suspendus à leur trou, tout en lançant de temps à autre un SMS de drague au pouvoir.

    D’autres atteints de la fièvre présidentielle, bien barbus et redressés dans leurs ‘’Djellabas’’, s’emparent de la cloche et sonnent l’alerte aux autres partis bien costumés et bien dressés dans les couloirs de l’administration pour les rejoindre.

    A moins que l’annonce de la candidature du Président Bouteflika change la donne, tout le monde est là, prés à dévorer les bureaux de votes et la population, sur le pied de guerre, ils ont même manifesté leur vœux de militariser leur campagne électorale .
    Qu’importe le moyen, venir sur le dos d’un char, distribuer des mensonges rallier la barbe à la laïcité, amuser les chômeurs par la tartelette de Sonatrach, tous les chemins mènent à El-Mouradia !

    Les laïcs avec leur plan A et B, de présenter un candidat idéal pour les défenseurs des droits de l’homme, l’avocat Bouchachi ou Rebrab le premier Algérien du club des milliardaires de Forbes, les deux scénarios sont bons pour mettre l'eau à la bouche.

    Les démocrates avec Ali Benflis, leur candidat malheureux de la dernière décennie avec son nouveau look de ‘’Hizb Taliaa ‘’secondé par l’ancien député du Fln, Abdelaziz Belaid, aujourd’hui à la tête du parti le Front El Moustakbal sous le slogan’Qui suis-je ?’’ Je suis l’arrière-petit-fils d’Abdallah-Ben-Chérif, Cheikh fondateur de la zaouïa d’Oulemouthene, ainsi que l’ancien ministre et candidat malheureux des élections législatives suisses, ALI Bounouari et madame la présidente du Danemark de l’Algérie, Naïma Salhi, la présidente du Parti de l'équité et de la proclamation (PEP), déjà en campagne pour s’attaquer aux migrants subsahariens en les accusant de propager «les maladies et la sorcellerie» en Algérie, une façon d’impliquer les organisations internationales dans les affaires algériennes.

    De l’autre côté, le FLN et RND guettent les déplacements de cette soit –disant opposition pour infiltrer ses rangs et débrancher sa batterie,le MSP.
    Ce dernier piégé sur la question du consensus politique à deux reprises,il est pris à contre-pied par Ould Abbes et il n’a pas encore compris que le FLN et le RND ne marcheront pas sans le président Bouteflika.

    Le dernier appel de l’ancien gréviste de la grève de la faim, Moussa Touati au Président à poursuivre sa mission à la tête du pays, a surement gêné le collègue de classe d’Angela Merkel, qui veut s’approprier à lui seul ce droit de demander au président Bouteflika pour se succéder à lui-même.

    Alors que ces politicards encore par le clientélisme électoral, plus loin de leurs salons politiques, les jeunes font passer le mot d’ordre sur les réseaux sociaux et manifestent. A Djelfa, les jeunes manifestent leur colère contre une délégation gouvernementale dépêchée tardivement pour se recueillir sur la tombe de leur favori, l’ex –puissant patron de la Gendarmerie.
    Et à Boumerdes et Ouargla c’est le retour déguisé du Fis pour annuler des concerts, ou un gala de chansons à l’intérieur d’une salle à Ouargla fut frotté par une centaine de jeunes qui se sont rassemblés pour une prière collective d’Al Icha dans la ruelle en face de la salle sous les regards des forces de l’ordre, tandis que le fils du N°2 du Fis dissous, Ali Belhadj force un barrage de la police et fut arrêté en état d’ébriété.

    Reflexion /Journal
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent
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