Tweet
PAR AKRAM KHARIEF
4 AOÛT 2018
La fontaine de Ain el Fouara a été rouverte au public ce matin en présence du ministre de la Culture Azzedine Mihoubi, après huit mois de travaux de restauration.
De nombreuses personnes ont assisté ce matin à la petite cérémonie de dévoilement et ont pu voir le travail de restauration de la statue, vandalisée le 18 décembre de l’année dernière par un homme souffrant de troubles mentaux.
Les travaux de rénovation ont aussi concerné le reste de la fontaine dont la pierre avait beaucoup souffert avec le temps.
Le monument de Ain el Fouara trône au centre ville de Sétif depuis 120 ans. L’Oeuvre du sculpteur français Francis de Saint-Vidal en est à sa troisième tentative de destruction en 20 ans, dont un plasticage en 1997.
Classée propriété culturelle nationale en 1999, elle a suscité un débat sur les réseaux sociaux et même à l’APN après qu’elle ait été vandalisée l’année passée, des députés islamistes avaient demandé sa mise au musée. Ils recevront un niet ferme du ministre de la culture comme réponse.
4 AOÛT 2018
La fontaine de Ain el Fouara a été rouverte au public ce matin en présence du ministre de la Culture Azzedine Mihoubi, après huit mois de travaux de restauration.
De nombreuses personnes ont assisté ce matin à la petite cérémonie de dévoilement et ont pu voir le travail de restauration de la statue, vandalisée le 18 décembre de l’année dernière par un homme souffrant de troubles mentaux.
Les travaux de rénovation ont aussi concerné le reste de la fontaine dont la pierre avait beaucoup souffert avec le temps.
Le monument de Ain el Fouara trône au centre ville de Sétif depuis 120 ans. L’Oeuvre du sculpteur français Francis de Saint-Vidal en est à sa troisième tentative de destruction en 20 ans, dont un plasticage en 1997.
Classée propriété culturelle nationale en 1999, elle a suscité un débat sur les réseaux sociaux et même à l’APN après qu’elle ait été vandalisée l’année passée, des députés islamistes avaient demandé sa mise au musée. Ils recevront un niet ferme du ministre de la culture comme réponse.
Commentaire