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Le 115ème numéro de la revue « Recherches sur la Palestine » vient de sortir à Beyrouth en 224 pages.
La revue de l’été 2018 en 224 pages, propose des articles sur « la fin de la paix américaine » d’Omar Tachbinar, professeur à l’université américaine Johns-Hopkins , « Le parlement palestinien et le début de la chute » de Khalil Shahin, écrivain palestinien, « La politique américaine et le dialogue» de Komeil Mansur, la montée au pouvoir du Likoud, de Mohammad Emareh de l’université palestinienne, et de Mahnad Mostafa directeur du centre de recherches sociales de Mont Carmel, « La fin de l’apartheid sioniste » de Mo’in al Taher, « le renvoi des réfugiés africains d’Israël » du chercheur libanais Randeh Heidar, «Le siège de Beyrouth et la Coupe du monde de 1982 » de Ziad Majed, professeur à l’université américaine de Paris. Des livres sont aussi présentés dans cette revue, comme le livre de poèmes de Rima Soliman, la préface du livre de Reja’i Bosaileh sur la Palestine, « l’enseignement des Arabes israéliens » de Khaled Arar, et la réunion lors de l’intifada de 1987, de six spécialistes palestiniens à l’université de Beir Zeit de Ramollah en 2017.
Cette revue présente aussi trois interviews de témoins des manifestations du retour à Gaza, de Monir Atâollah, journaliste libanais, et d’autres articles sur Gaza de Talal Oukal et d’Asma’ al Ghul, journaliste palestinien, et deux articles de recherches sur l’artiste irakien Zia’al Azawi, d’Issa Makhluf, écrivain libanais, un texte de Nahed Jaafar sur « La fissure du mur du temps », les souvenirs du dirigeant communiste, Mahmoud al Taresh al Maghrebi, et le livre « De la Nakba à la révolution », de Nabil Chaath.
06 août 2018
iqna
La revue de l’été 2018 en 224 pages, propose des articles sur « la fin de la paix américaine » d’Omar Tachbinar, professeur à l’université américaine Johns-Hopkins , « Le parlement palestinien et le début de la chute » de Khalil Shahin, écrivain palestinien, « La politique américaine et le dialogue» de Komeil Mansur, la montée au pouvoir du Likoud, de Mohammad Emareh de l’université palestinienne, et de Mahnad Mostafa directeur du centre de recherches sociales de Mont Carmel, « La fin de l’apartheid sioniste » de Mo’in al Taher, « le renvoi des réfugiés africains d’Israël » du chercheur libanais Randeh Heidar, «Le siège de Beyrouth et la Coupe du monde de 1982 » de Ziad Majed, professeur à l’université américaine de Paris. Des livres sont aussi présentés dans cette revue, comme le livre de poèmes de Rima Soliman, la préface du livre de Reja’i Bosaileh sur la Palestine, « l’enseignement des Arabes israéliens » de Khaled Arar, et la réunion lors de l’intifada de 1987, de six spécialistes palestiniens à l’université de Beir Zeit de Ramollah en 2017.
Cette revue présente aussi trois interviews de témoins des manifestations du retour à Gaza, de Monir Atâollah, journaliste libanais, et d’autres articles sur Gaza de Talal Oukal et d’Asma’ al Ghul, journaliste palestinien, et deux articles de recherches sur l’artiste irakien Zia’al Azawi, d’Issa Makhluf, écrivain libanais, un texte de Nahed Jaafar sur « La fissure du mur du temps », les souvenirs du dirigeant communiste, Mahmoud al Taresh al Maghrebi, et le livre « De la Nakba à la révolution », de Nabil Chaath.
06 août 2018
iqna
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