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Crise au CRB: Belcourt perd par forfait et le président du club porté disparu

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  • Crise au CRB: Belcourt perd par forfait et le président du club porté disparu

    DIA-12 août 2018: Le CR Belouizdad a perdu son match contre l’AS Ain Mlila au stade du 20-Aout ce samedi à l’occasion de la première journée du championnat de Ligue 1 pour ne pas avoir pu présenter une équipe complète. Un scandale pour ce prestigieux club qui se trouve sans direction, son président le fameux Bouhafs étant porté disparu.
    Ainsi, le CRB perd sur le score de 3-0 et se voit défalquer trois points de son décompte, comme ce fut le cas pour le RC Relizane, en 2016 ce qui lui avait valu la rétrogradation en Ligue 2. Le CRB débute le championnat avec une défaite, et une «dette» de 3 points, en application de la réglementation en vigueur.
    En effet, l’arbitre du match CRB-ASAM, Bassiri a attendu les 15 minutes réglementaires avant de constater l’absence de la formation belouizdadie qui n’a pu présenter un effectif complet pour affronter son adversaire. Le CRB n’a pas été autorisé à récupérer les licences des joueurs en raison du non-paiement de ses droits d’engagement pour la saison 2018-2019 et les frais d’assurance des joueurs auprès de la Ligue de football professionnel (LFP).
    Le CRB n’a pas récupéré les licences des joueurs à cause des dettes qu’il cumule au niveau de la Chambre de résolution des litiges (CRL) et qui dépassent les dix millions de dinars (un milliard de centimes). Les dettes du CRB s’élèvent à 12 milliards de centimes à juillet 2018.
    Le CRB voulait aligner l’équipe réserve, mais il se trouve aussi que le club n’a pas également présenté à la LFP les dossiers médicaux des joueurs de l’équipe des réserves.
    Le président de l’APC de Belouizdad et le président du Club amateur sportif (CSA) du CRB s’étaient engagés à payer les dettes du club professionnel CRB, mais réglementairement c’est le président du CRB, Mohamed Bouhafs qui devrait se manifester au niveau de la Ligue pour payer ces dettes ! Or, Bouhafs a pris la clé des champs, laissant derrière lui un club qui risque de disparaître.
    Nassim Fateh
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    Drôle de professionnalisme en Algérie , comment voulez-vous que le football Algérien évolue; jusqu'à quand ce folklore loufoque
    Dernière modification par ACAPULCO, 13 août 2018, 13h09.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      ... jusqu'à ce les incapables lâchent les rênes du pouvoir.
      « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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      • #4
        les dirigeants du CRB devraient changer de pays tt simplement ,comment ne pas arriver meme pas a qualifier des joueurs espoirs .
        saluons ici la decision de la FAF de ne pas ceder comme assez habituellement et a medouar d'avoir ete intransigeant avec de tels dirigeants

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        • #5
          Des dirigeants clowns qu'on a ici en Algérie , c'est triste
          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
          (Paul Eluard)

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