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La France est-elle en inimité avec sa communauté maghrébine?

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  • La France est-elle en inimité avec sa communauté maghrébine?

    La question mérite d'être exposée et pour cause.

    Que l'on se souvienne de certaines affaires désuètes qui avaient pourtant occupées des places "de choix" dans la presse de l'Hexagone et d'autre part avaient été usités par une classe politique réactionnaire au nom de la laïcité.

    1. L'affaire de la crèche des "petits loups".

    2. Mariage annulé pour cause de défaut de virginité

    3. Polygamie d'un barbu algérien.

  • #2
    3. Nantes secoué par l’affaire Liès Hebbadj

    La médiatisation du polygame présumé embarrasse les responsables musulmans locaux.

    Mais, dans l’agglomération nantaise, cela fait longtemps que la personne de Liès Hebbadj, ce musulman soupçonné par Brice Hortefeux de polygamie et de fraude aux aides sociales, fait jaser. «Les services de police m’ont signalé sa présence il y a quatre-cinq ans. Ils m’ont dit de faire attention, car il avait une pratique islamiste intransigeante», déclare Gilles Retière, le maire socialiste de Rezé, commune au sud de Nantes où réside ce musulman.

    Connu, Liès Hebbadj l’est également de ses coreligionnaires. «Tout le monde a plus ou moins entendu son nom. Il y a des rumeurs qui couraient sur lui», dit un fidèle de la mosquée Al-Furqane à Nantes. «Il venait à la mosquée faire la prière, mais c’était juste "bonjour, bonsoir", et ça fait un moment qu’on ne le voit plus», tempère Nourredine Cherkaoui, porte-parole de l’association gestionnaire de ce lieu de culte. Les responsables de la mosquée nantaise Arrahma signalent également que Liès Hebbadj venait y prier.

    Tsunami.De là à imaginer que ce personnage allait être propulsé par Brice Hortefeux au rang d’ennemi public numéro 1, il y a un pas qu’aucun d’entre eux n’aurait franchi.

    Cela fait dix jours maintenant que l’agglomération nantaise est secouée par un tsunami politico-médiatique. Tout commence le 23 avril lorsqu’une conductrice de 31 ans, de nationalité française et portant depuis neuf ans le niqab, révèle, devant la presse, avoir été verbalisée le 2 avril à Nantes pour «circulation dans des conditions non aisées».

    Coïncidence ? L’avant-veille, Luc Chatel, porte-parole du gouvernement, a annoncé la présentation, en mai, au Conseil des ministres, d’un projet de loi d’interdiction générale du port du voile intégral. La conductrice a-t-elle tenté de récupérer l’opposition de certains musulmans à une possible interdiction du voile intégral au profit de la pratique radicale de l’islam qu’elle incarne ?

    L’a-t-elle fait en accord avec Liès Hebbadj ? Sa présence à ses côtés, lors de sa conférence de presse, n’a pas échappé, en tout cas, à Hortefeux. Et peut-être le couple n’a-t-il pas anticipé ce rebondissement. Ce même 23 avril, le ministre de l’Intérieur dégaine la fiche complète d’Hebbadj, preuve qu’il était effectivement surveillé par la police. «Selon les informations dont je dispose, cet individu appartiendrait à la mouvance radicale du Tabligh et vivrait en situation de polygamie, avec quatre femmes dont il aurait eu douze enfants.

    Au demeurant, chacune de ces femmes bénéficierait de l’allocation de pare[/I]nt isolé», écrit Hortefeux. Le ministre charge alors Eric Besson d’«étudier les conditions dans lesquelles […] l’intéressé pourrait être déchu de sa nationalité française».

    Lundi dernier, Liès Hebbadj rétorque, devant les journalistes accourus en nombre, que «les maîtresses ne sont pas interdites en France, ni par l’islam»,mais reste flou sur sa situation familiale. «Il m’affirme qu’il n’est pas polygame», dit Franck Boëzec, son avocat. «Il aurait deux femmes à Rezé, une autre dans l’agglomération nantaise et une autre dans l’agglomération lyonnaise», avance Gilles Retière. Côté enfants, «on n’a rien repéré, poursuit le maire. Les fichiers d’inscription à l’école ne portent pas le nom de Hebbadj, aucun. Mais un certain nombre d’enfants portent Liès comme troisième prénom».

    Rumeurs. Cette affaire met les responsables musulmans locaux dans une position délicate. «Nantes est une ville tranquille, il n’y a pas de problèmes, pas de voitures brûlées, et voilà que, d’un seul coup, il y a cette bombe qui éclate», regrette Larbi Alouan, président de l’Association culturelle française et immigrée 44. Le collectif des mosquées de Nantes dénonce d’abord la «stigmatisation» des musulmans et de l’islam «par rapport à un événement insignifiant».

    Mais les affirmations de Liès Hebbadj selon lesquelles «les maîtresses ne sont pas interdites par l’islam» les contraignent à réagir. «Les propos de cette personne ne représentent aucunement la position de l’islam ni celle des musulmans dans leur majorité et n’engagent que sa personne», affirment-ils. Les responsables musulmans nient par ailleurs que des femmes victimes de Liès Hebbadj se soient plaintes aux imams, contrairement à certaines rumeurs-.


    Libération.fr

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    • #3
      oui y a un peut de tous ça ... et y a le reste aussi ..... tous quoi ....
      tu tombe je tombe car mane e mane
      après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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      • #4
        2. Mariage annulé pour défaut de virginité de l'épouse.

        - Affaire de l'annulation d'un mariage pour erreur sur la virginité de l'épouse

        http://www.codes-et-lois.fr/feeds/wi...fde4cb69f2b926

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        • #5
          @traks: " oui y a un peut de tous ça ... et y a le reste aussi ..... tous quoi"

          Le problème ne réside pas là. Il s'avère que ces trois cas avaient occupé la politique française et ont fait les choux gras de la presse française.

          Mais quid de leurs aboutissements finaux? La baudruche s'est dégonflée car ni les politiques ni les journaux français n'avaient intérêts électoraux ou financiers pour les journaux à se préoccuper de leurs conclusions.

          C'est là que réside la cautèle du fascisme et le quidam s'en abreuve.

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          • #6
            1. Les dessous de l'affaire de la crèche de Baby Loup

            La polémique autour d'une puericultrice voilée de Chanteloup-les-Vignes (78) dissimule des enjeux nationaux, mais aussi locaux... Récit de guerres intestines insoupçonnées.


            Simple contentieux relevant du droit du travail ou symbole de l'effritement de la laïcité? Les avis divergent quant à la nature réelle de l'affaire Baby Loup, cette crèche privée sortie brusquement de l'anonymat après le licenciement en décembre 2008 de Fatima Afif, une employée revenue voilée après un congé maternité de six ans. Révélée par la montée au créneau de personnalités politiques de premier plan, telles Elisabeth Badinter ou Manuel Valls, la controverse cache aussi d'autres polémiques, moins connues

            Les revirements et déchirements de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) ont beaucoup contribué à la médiatisation de cette affaire. En avril dernier, l'arrivée de Jeannette Bougrab (1) - désormais secrétaire d'Etat à la Jeunesse - a plongé le collège de juristes dans une vaste crise, accentuée par l'affaire Baby Loup..
            Alors que l'ancien président, Louis Schweitzer, avait rendu un premier avis favorable à l'employée voilée, Jeannette Bougrab a choisi l'autre camp.

            Fissurant définitivement une institution promise à disparaître. Minée par les querelles intestines, elle n'aura survécu ni à sa seconde présidente, ni à l'éclatement de l'affaire Baby Loup: elle devrait bientôt être intégrée au Défenseur des droits-.


            1. Jeannette Bougrab, fille d'harkis.

            L'Express.fr

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            • #7
              beaucoup de magrebin était dans une position hostile a la frzance et au "mecreant "

              et la liste des insivilite les intolerance en se sens sont enorme

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              • #8
                Que l'on se souvienne de certaines affaires désuètes qui avaient pourtant occupées des places "de choix" dans la presse de l'Hexagone et d'autre part avaient été usités par une classe politique réactionnaire au nom de la laïcité.

                1. L'affaire de la crèche des "petits loups".

                2. Mariage annulé pour cause de défaut de virginité

                3. Polygamie d'un barbu algérien.
                1. Fatima Afif, une employée revenue voilée après un congé maternité de six ans. Elle revient voilée alors que avant elle ne l'était pas, ça déplaît aux parents ça me semble normal! Ce n'est pas une affaire désuète.
                2. Dans un pays comme la France, il est inadmissible de parler d'une virginité lors d'un mariage, il y a de quoi se poser des questions! Ce n'est pas une affaire désuète.
                3. Ce porc avec ses quatre femmes et ses douze enfant qui touche des aides de l'état a de quoi révolter tous les Français, c'est une affaire très grave!

                D'autre part pourquoi ajouter Jeannette Bougrab, fille d'harkis. Il est inadmissible de l'insulter, ce n'est pas elle qui était harkis, c'est son père et nul n'est responsable de ce que son père a fait.
                Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                • #9
                  @Chouan: " D'autre part pourquoi ajouter Jeannette Bougrab, fille d'harkis. Il est inadmissible de l'insulter, ce n'est pas elle qui était harkis, c'est son père et nul n'est responsable de ce que son père a fait."

                  Il ne s'agit nullement d'une insulte mais d'une précision. En revanche, cette femme est de droite.

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                  • #10
                    Jeannette Bougrab se réclame de la droite, déclarant être partisane du gaullisme social. Favorable au mariage homosexuel et à l'adoption d'enfants par des couples homosexuels, elle se montre réservée dans son rapport sur Les Discriminations dans l’accès au marché de l’emploi, quant à la notion de discrimination positive, lui préférant la notion de « mobilisation positive » et est opposée aux quotas ethniques.

                    Elle se déclare athée, laïque et « profondément républicaine »4
                    Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                    • #11
                      @ Chouan: " Elle se déclare athée, laïque et « profondément républicaine »"

                      Difficile à vous croire. Quiconque d'athée ne peut souscrire à la laïcité puisque il refuse de reconnaître la religion (ce qui mon cas au reste) mais laisse liberté aux croyants de s'atteler à une appartenance religieuse.

                      Donc, cette dame doit être agnostique ( quelqu'un qui doute de l'existence de Dieu mais qui ne nie pas son éventuelle existence).

                      En outre la laïcité est proscrite que dans les établissements étatiques et non dans ceux privés, ce qui était le cas de cette crèche (bien que subventionnée par l'Etat français).

                      N'est-ce la fasciste Marine Le Pen qui- au nom de la laïcité- avait traité les prières de rues d'occupations? Or, aucune loi française n'interdit de prier dans la rue!

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                      • #12
                        Notons que ces trois affaires "accusent directement" l'islam et c'est sur cette question que les politiques réactionnaires de l'Hexagone les avaient récupérés à titre électoraliste et la presse française afin d'augmenter ses ventes.

                        En médiatisant ces trois "peccadilles" ( peccadille nom féminin espagnol pecadillo, de pecado, péché, du latin peccatum), est-ce vraiment une manière intelligente souscrite "au vivre ensemble"?

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                        • #13
                          Or, aucune loi française n'interdit de prier dans la rue!
                          Bloquer la circulation est interdit et c'était le cas, ces prières dans la rue étaient une vulgaire provocation d’extrémistes!
                          Marine le Pen une autre extrémiste à réagi à sa façon en qualifiant d'occupation, j'aurais préféré occupation de la rue ou de l'espace publique!
                          Si tu interroges le Français de la rue, il te dira être contre les prières de rue.
                          Tu écris "aucune loi française n'interdit de prier dans la rue!" en effet aucune loi n'existe, mais entre un catho qui récite discrètement sa prière et un troupeau qui bloque une rue en se prosternant au sol, il y a une grande différence.
                          Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                          • #14
                            @Chouan: " Tu écris "aucune loi française n'interdit de prier dans la rue!" en effet aucune loi n'existe, mais entre un catho qui récite discrètement sa prière et un troupeau qui bloque une rue en se prosternant au sol, il y a une grande différence."

                            Et les fous catholiques des Philippines qui se flagellent jusqu'au sang? Et ces Mexicains catholiques qui parcourent 800 mètres à genoux afin d'atteindre un lieu dédié à Dieu? A Lourdes, i semblerait que ce soit le même cas.

                            Quant aux prières de rues, vous veillerez au fait que dès que l'Etat français leur a accordé une caserne désaffectée, ces prieurs musulmans ont cessé d'occuper a voie publique.

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                            • #15
                              Les préceptes islamiques et la culture française sont incompatibles.

                              Tant que les Maghrébins seront attachés aux valeurs de l'Islam, ils seront en conflit avec la France républicaine.

                              C'est triste mais c'est comme ça, il faut voir les choses avec pragmatisme. Pour moi les Maghrebins ne pourront jamais vivre tranquillement en France sauf si :

                              - Ils abandonnent l'islam.

                              - Ils deviennent un véritable poids démographique et imposent par la force leur coutumes.

                              Les deux issues sont bien détestables.


                              Je préconise la Hijra, la Hijra sera le salut des maghrébins de France.

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