Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Afrique du Sud: les échecs de Mandela

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Afrique du Sud: les échecs de Mandela

    Souvent encensé à juste raison, Nelson Mandela n'avait pourtant pas tenu toutes ses promesses lors de son bref passage à la présidence sud-africaine ( il en est de même pour le Brésilien Lula).

    En effet, Mandela n'avait osé exproprier les fermiers Blancs et restituer des terres à leurs véritables propriétaires, c'est-à-dire aux paysans Noirs.

    Honte à Madiba ou à cette époque, il ne pouvait pas le faire?

    Question?

    - En Afrique du Sud, Noirs et Blancs se déchirent sur la réforme agraire
    (…).

    "Génocide"

    En arrivant au pouvoir en 1994, le Congrès national africain (ANC) avait promis de redistribuer les terres. En vain jusque-là. Seule une infime partie a changé de propriétaire.

    « C’est un échec cinglant à cause de la corruption et du manque de volonté politique », accuse Edward von Bodenstein, un Blanc opposé au projet présidentiel.

    Dans un récent rapport, l’ancien chef de l’État Kgalema Motlanthe, membre de l’ANC, s’est lui-même inquiété des maigres progrès enregistrés dans la redistribution des terres.

    « On est assis sur une bombe à retardement », prévient Khetisa Khabo, responsable à Vereeniging du parti de la gauche radicale des Combattants pour la liberté économique (EFF). « On n’appelle pas à un génocide des Blancs. Mais la terre nous appartient. On va tout faire pour la récupérer », promet-il. Son parti, qui séduit nombre des déçus de l’ANC, a fait de la réforme agraire l’une de ses priorités.

    Pour Constance Mogale, de l’Alliance pour la démocratie rurale – un réseau d’associations qui défend les expropriations sans compensation – le débat « n’est qu’un subterfuge électoral » avant le scrutin législatif prévu en 2019.

    La Constitution permet déjà d’exproprier sans dédommagement, affirme-t-elle, reprenant l’avis de plusieurs experts. « Le problème, c’est le non-respect » des lois, « amender va prendre une éternité, ça ne va pas redonner de terres aux gens ».

    Réforme constitutionnelle ou pas, Roselyn Seaga, 67 ans, n’en démord pas: la redistribution des terres est une nécessité.
    Sa frustration est partagée par de nombreux Noirs. « Depuis que je suis née », résume-t-elle en pleurs au micro, « je n’ai jamais eu un lopin de terre que j’ai pu appeler ma maison »-.

    Jeune Afrique

  • #2
    A l'époque de la présidentielle de Mandela le contexte était tel de ce fossé entre blancs et noirs qu'il fallait de la douceur pour réunifié la population premier objectif , il as même pour cela fait garder toute l'équipe de rudby nationale blanche et assisté a tous matchs , nous somme un seul peuple

    Commentaire


    • #3
      @galaxy: " A l'époque de la présidentielle de Mandela le contexte était tel de ce fossé entre blancs et noirs qu'il fallait de la douceur pour réunifié la population premier objectif , il as même pour cela fait garder toute l'équipe de rudby nationale blanche et assisté a tous matchs , nous somme un seul peuple"

      Et si c'était par crainte d'une guerre civile que Mandela avait renoncé à l'expropriation des fermiers Blancs?

      Commentaire


      • #4
        Et si c'était par crainte d'une guerre civile que Mandela avait renoncé à l'expropriation des fermiers Blancs?

        ***
        Plutôt par pragmatisme....... Sil lavait fait , l'Afrique du Sud aurait été un second Zimbabwe.

        Un potentiel n'est rien sans l'intelligence et la compétence pour l'exploiter. Et le.fait est qu à la sortie de l'apartheid ; les.noirs sud africains n'avaient pas mes compétences de gérer non seulement les terres agricoles mais le pays en entier.
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

        Commentaire


        • #5
          @Cell: " Un potentiel n'est rien sans l'intelligence et la compétence pour l'exploiter. Et le.fait est qu à la sortie de l'apartheid ; les.noirs sud africains n'avaient pas mes compétences de gérer non seulement les terres agricoles mais le pays en entier."

          Insinueriez-vous que l'homme Noir est moins intelligent que l'homme Blanc?

          L'Afrique du Sud gouvernée par l'ANC est considérée comme l'unique démocratie africaine alors qu'aux temps où elle était gouvernée par les Blancs, elle était considérée telle qu'une nation fasciste. Même exclue de l'ONU!

          Commentaire


          • #6
            [Plutôt par pragmatisme....... Sil lavait fait , l'Afrique du Sud aurait été un second Zimbabwe
            absolument , c'est d'ailleurs ce que les sud-africains noirs eux mêmes nous ont dit...
            La patience n'a l'air de rien, c'est tout de même une énergie.

            Commentaire


            • #7
              Insinueriez-vous que l'homme Noir est moins intelligent que l'homme Blanc?
              Ennuie quelqu'un d'autre avec tes questions .....
              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

              Commentaire


              • #8
                @Cell: " Ennuie quelqu'un d'autre avec tes questions "

                Je ne fais que rétorquer à vos inepties xénophobes.

                Commentaire


                • #9
                  Je ne fais que rétorquer à vos inepties xénophobes.
                  Si tu avait prit le soin de lire et comprendre avant de poser une question stupide......on en serait pas la .
                  " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                  Commentaire


                  • #10
                    @Cell " Un potentiel n'est rien sans l'intelligence et la compétence pour l'exploiter. Et le.fait est qu à la sortie de l'apartheid ; les.noirs sud africains n'avaient pas mes compétences de gérer non seulement les terres agricoles mais le pays en entier."

                    N'est-ce pas vos propres propos?

                    Commentaire


                    • #11
                      N'est-ce pas vos propres propos?

                      ***
                      Ouaaai et si t'avais prit la peine de bien lire ; tu aurais saisi la nuance dans cet extrait ....

                      Et le.fait est qu à la sortie de l'apartheid ; les.noirs sud africains n'avaient pas mes compétences*
                      Qui renvoie à une situation particulière dans un temps bien déterminé et qui ne constitue nullement une généralisation......

                      Tiens par exemple je pourrais aussi dire : " a la sortie de Moïse d'Égypte ; les allemands n'avaient pas l intelligence ni la compétence pour construire les pyramides que les égyptiens batissaient "

                      Ça va ...... t'imprime ???
                      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                      Commentaire


                      • #12
                        Le problème qui se pose est que ces fermiers/colons blancs possèdent d'normes étendues de terres et qu'ils ne cultivent mais préférant élever des animaux sauvages pour des safaris.

                        Pour tuer un lion d'élevage, il faut débourser 15 000 dollars et donc ce commerce est une mine d'or pour ces fermiers/colons blancs.

                        - Afrique du Sud. Le business du lion ne fait plus recette

                        “Chasse en boîte”, commerce d’os de lions, “volontourisme”, etc. Selon une étude scientifique, les dérives de l’élevage commercial des fauves risquent de nuire au tourisme en Afrique du Sud.

                        L’image touristique de l’Afrique du Sud souffre de plus en plus des dérives du secteur de l’élevage commercial des fauves, et particulièrement des lions. Et “ça va empirer”, juge le Daily Maverick après la lecture de l’étude sur le sujet de l’Institut sud-africain des relations internationales (SAIIA).
                        “L’Afrique du Sud pourrait perdre plus de 54 milliards de rands sud-africains [3,25 milliards d’euros] en recettes touristiques sur les dix prochaines années”, si elle n’encadre pas de plus près cette industrie, relaie le site d’informations sud-africain.

                        Chasser un lion dans son enclos

                        Un manque à gagner conséquent pour ce secteur au chiffre d’affaires annuel d’à peine plus d’un milliard de rands [environ 60 millions d’euros].
                        L’envie des touristes de se rendre en Afrique du Sud, réputée pour ses safaris, risque d’être freinée, selon l’étude, par “la cruauté et la brutalité de l’élevage industriel des lions en Afrique du Sud [qui] ont été largement documentées […], de même que la mise à mort de ces prédateurs par les chasseurs”, rappelle le site d’informations sud-africain, en référence à la “chasse en boîte”. Cette pratique, répandue en Afrique du Sud, consiste à garder un animal dans un enclos afin qu’il soit à disposition des chasseurs.

                        L’explosion du commerce d’os de lion pourrait lui aussi causer du tort à l’image de l’industrie. Ce trafic est provoqué par une forte hausse de la demande asiatique (pour la médecine traditionnelle). Résultat, le prix d’une carcasse se négocie actuellement 50 000 rands (3 000 euros). Un juteux business qui attire le “crime organisé”, rappelle le journal-.

                        Le Courrier international

                        Commentaire

                        Chargement...
                        X