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Il y a deux mois, un expert espagnol a mis en garde, dans une correspondance adressée aux plus hautes autorités du pays, des conséquences désastreuses pouvant découler de l’utilisation insuffisante de «la soude caustique» dans le traitement des eaux destinées à la consommation humaine.
Celui qui s’est présenté comme un spécialiste de la chimie industrielle (agro-industrie, traitement des eaux, forage pétrolier et détergents), ayant exercé en Algérie pendant trois ans, a insisté dans sa correspondance sur la stabilisation des prix de cette base forte, appelée également l’hydroxyde de sodium, pour assurer son utilisation en quantité suffisante, notamment dans le traitement des eaux.
« Un prix stable et abordable permettra aux acteurs économiques de continuer à utiliser la soude caustique de manière régulière et en quantité suffisante pour que son effet reste agissant en termes de santé publique », a estimé l’expert espagnol dans sa correspondance publiée par le site Algeriescoop.
Et d’ajouter: « Car le risque encouru si son prix est trop élevé sera son utilisation en quantité et en qualité moindres, avec tout ce que cela peut impliquer sur le plan des risques sanitaire. »
Mais il semblerait que la mise garde de l’expert est restée lettre mort. D’après la même source, il aurait rencontré des entraves l’empêchant d’exercer son activité.
ALGÉRIEMONDEINFOS
Celui qui s’est présenté comme un spécialiste de la chimie industrielle (agro-industrie, traitement des eaux, forage pétrolier et détergents), ayant exercé en Algérie pendant trois ans, a insisté dans sa correspondance sur la stabilisation des prix de cette base forte, appelée également l’hydroxyde de sodium, pour assurer son utilisation en quantité suffisante, notamment dans le traitement des eaux.
« Un prix stable et abordable permettra aux acteurs économiques de continuer à utiliser la soude caustique de manière régulière et en quantité suffisante pour que son effet reste agissant en termes de santé publique », a estimé l’expert espagnol dans sa correspondance publiée par le site Algeriescoop.
Et d’ajouter: « Car le risque encouru si son prix est trop élevé sera son utilisation en quantité et en qualité moindres, avec tout ce que cela peut impliquer sur le plan des risques sanitaire. »
Mais il semblerait que la mise garde de l’expert est restée lettre mort. D’après la même source, il aurait rencontré des entraves l’empêchant d’exercer son activité.
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