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Mokri abandonne le consensus et veut être candidat la présidentielle de 2019

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  • Mokri abandonne le consensus et veut être candidat la présidentielle de 2019

    Mokri abandonne le consensus et veut être candidat la présidentielle de 2019
    Algérie Patriotique - août 30, 2018 - 6:44 Kenzi Adam


    C’est officiel, le MSP annonce sa participation à la prochaine présidentielle. New Press
    Par R. Mahmoudi – Prenant acte de l’échec de son initiative dite pour «le consensus national», le Mouvement de la société pour la paix (MSP) décide d’opter pour la participation à la prochaine élection présidentielle, prévue au printemps 2019.



    C’est l’une des résolutions adoptées par le bureau exécutif de ce parti, réuni mardi. «Le Mouvement réaffirme qu’il demeure concerné, d’une manière ou d’une autre, par la prochaine résidentielle, et qu’il clarifiera cette position lors de la séance d’ouverture de la rencontre prévue avec les différents structures, ce vendredi 31 août», indique le parti dans un communiqué rendu public mercredi. Le parti va certainement se fixer officiellement sur la forme de participation au prochain scrutin, même si le choix de la candidature de son président, Abderrazak Mokri, ne fait, en réalité, aucun mystère.

    Ainsi, après avoir plaidé pour une candidature «consensuelle» à la prochaine présidentielle, tout en exigeant de l’institution militaire qu’elle accompagne le processus et en refusant de retirer ce point de son initiative, le MSP ne voit plus d’autres choix que d’accepter le fait accompli et d’arrêter rapidement toute surenchère sur ses exigences politiques. Même si, dans son communiqué, le parti de Mokri continue à faire la promotion de son projet, en le présentant comme une offre toujours valable pour une sortie de crise salutaire pour le pays.

    Dans son analyse de la situation politique, le parti islamiste met en garde contre la lutte des clans et la confusion qui règne au niveau de la décision politique, en accusant le pouvoir d’encourager «la mauvaise gouvernance, la médiocrité, la corruption, le clanisme et le népotisme à tous les niveaux». La résurgence des épidémies comme le choléra en est, pour le MSP, la conséquence directe.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Sacré tartufferie...

    Notre honorable Mokri, remis de son accident de parcours, au sens routier et politique du terme, qui a vu culminer certains messages de solidarités au bien nommé hôpital Ain Ennaaja, a permis à travers cette source, cette Ain, une cure de jouvence politique bien étonnante d'un parti politique qui a tout fait pour saborder l'initiative de consensus nationale proposee par le FFS en son temps pour se la reapproprier quelques années plus tard, question de bien l'enterrer, et enfin nous annoncer sa candidature pour des élections présidentielles pour engranger les bénéfices politiques de ses compromis...sions...

    Sacré tartufries...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Consensus ?
      il a voulu le faire à la sauce d'Ankara.
      J'aime surfer sur la vague du chaos.

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      • #4
        veut être candidat la présidentielle de 2019
        .
        Le " Virus Boucher " , le fait tomber ..
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #5
          Les scénarios de Makri pour la prochaine présidentielle
          TSA: Arab Chih 31 Août 2018 à 19:40


          Le président du MSP Abderrazak Makri a de l’ambition à revendre et surtout beaucoup d’audace. Les yeux plus que jamais rivés sur la présidentielle d’avril 2019 qu’il a d’ailleurs qualifiée, aujourd’hui à l’occasion de l’ouverture d’une rencontre des représentants locaux de son parti à Alger, d’« échéance capitale », le leader islamiste ne compte pas y aller – dans le cas où les conditions elles seraient réunies bien entendu – en simple figurant mais en porte-étendard de l’opposition.

          « Nous répondons à toutes les conditions requises et d’ores et déjà nous nous proposons d’être le candidat de l’opposition. Nous sommes présents dans tout le territoire national et nous allons recueillir les signatures nécessaires à la candidature en un tour de main », a-t-il affirmé.


          Moi, président de la République…
          Ceci dit, malgré les grands atouts dont dispose son parti, le président du MSP se dit ouvert à toute autre proposition sérieuse qui émanerait des partis d’opposition. Autrement dit, il est prêt à se sacrifier pour une autre personnalité consensuelle de l’opposition capable de réaliser le changement.

          Dans le cas contraire, le MSP présentera son propre candidat. « Nous sommes capables d’entrer seuls en compétition et tout le monde connait la force de notre parti », a-t-il assuré. Et s’il gagne les élections, il promet que sa priorité sera « le consensus national ».

          Emporté par l’enthousiasme, Makri s’est mis à rêver de ce qu’il fera de l’Algérie, en cas de victoire. « Durant le premier mandat, on fera de l’Algérie une destination touristique attrayante et une plaque tournante des services bancaires et financiers. Air Algérie va rivaliser avec Turkish Airlines, Emirates Airlines ou encore Qatar Airways. Lors du deuxième mandat, on fera en sorte d’assurer la sécurité alimentaire du pays. Des pays moins nantis que le nôtre comme l’Afrique du Sud ou le Brésil l’ont fait, on le fera nous aussi. Et dans 20 ans, si les Algériens adoubent notre candidat, on fera entrer l’Algérie dans le club des 20 plus grandes puissances économiques au monde », a-t-il promis. « La réussite c’est possible, l’échec, la corruption, l’incompétence, la dépendance au pétrole ne sont pas une fatalité », a-t-il insisté.

          En plus des scénarios d’une participation sous différentes formes (candidat consensuel, candidat unique d’opposition ou candidature partisane), M. Makri n’a pas écarté l’éventualité de boycotter la prochaine présidentielle notamment dans le cas où Bouteflika brigue un 5e mandat. « Le problème n’est pas le 5e mandat mais de savoir si les élections seront démocratiques ou non. S’il y a un consensus de toutes les institutions de l’État sur la candidature de Bouteflika, cela veut dire que les jeux sont faits », a-t-il soutenu. Mais sa conviction est que les chances de voir un tel scénario se réaliser sont minimes.

          La preuve ? « Les partis qui réclament le 5e mandat ont perdu de leur enthousiasme et parlent maintenant de la continuité », a-t-il expliqué. Le président du MPS semble soupçonner l’existence d’une volonté de triturer à nouveau la Constitution pour instituer le septennat et permettre ainsi à Bouteflika de prolonger son règne de deux années supplémentaires.

          Ceci dit, le MSP n’a pris aucune décision pour le moment et c’est au Conseil consultatif du MSP de trancher. Il se prononcerait fin décembre prochain.

          « Dieu merci, on a une armée forte »
          Abordant la dernière vague de limogeages au sein de l’ANP, M. Makri n’a pas voulu trop s’attarder sur ces changements qui sont internes à l’institution militaire non sans se féliciter du fait que l’ANP soit l’institution algérienne la plus forte.

          « Dieu merci, on a une armée forte. Mais il est beaucoup mieux que toutes les institutions soient fortes. Ce sont les États ayant des institutions fortes qui réussissent à préserver leur souveraineté », a-t-il soutenu. De son point de vue, deux choix s’offre à l’Armée : accompagner l’initiative du consensus national ou observer la neutralité la plus stricte lors de la prochaine présidentielle.

          « Nous sommes soucieux de l’unité de l’Armée et nous voulons qu’elle remplisse ses missions constitutionnelles, ni plus ni moins. L’ANP est un bien de tous les Algériens et elle ne doit pas se mettre au service d’un parti ou d’un candidat. Cette institution jouera-t-elle un rôle lors de la prochaine présidentielle ? Le temps nous le dira », a-t-il dit.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            Nos tartuffes vont jouer la parfaite partition pour donner de la crédibilité aux prochaines échéances... Ils attendent juste de savoir si Benflis veut une troisième candidature. Comme dirait l'adage, jamais 2 sans 3...
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              Mokri est le digne élève de son maître hypocrite opportuniste par excellence Nahnah. Cette candidature est plus que logique pour un brillant élève hypocrite et opportuniste.
              La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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              • #8
                Jamais !!!

                ....... ....... .....
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire


                • #9
                  MAKRI DÉVOILE SON INITIATIVE DE CONSENSUS NATIONAL
                  Maghreb Emergent - PAR LYNDA ABBOU12 SEPTEMBRE 2018


                  Le président du Mouvement de la société civile pour la paix (MSP), Abderrazak Makri, a affirmé que son initiative de consensus national ne s’inscrit pas dans le cadre du 5e mandat, ni elle ne peut réussir dans ce même cadre, lors de la présentation de son initiative de consensus national ce mercredi 12 septembre à Alger.

                  Selon Abderrazak Makri, les algériens ont besoin «d’un président qui parle au peuple ». « Nous sommes à l’ère de la diplomatie des présidents. Les enjeux sont critiques et la diplomatie administrative ne peut pas résoudre nos problèmes » a-t-il ajouté. En outre, il a souligné que l’initiative de consensus national que son parti propose n’est aucunement lié eau Front populaire suggéré par le Front de libération nationale (FLN) et que les partis d’allégeance sont « dans le monologue ». « Ces partis font de la négociation que dans un seul sens, c’est au final un front populaire constitué des mêmes parties » à lâché Makri. Le parti islamiste compte par contre entamer des rencontres avec les différents partis politiques, la société civile, et les citoyens. Pour Makri, le peuple est la composante la plus importante de cette initiative. Sans l’implication du citoyen, elle n’a pas de sens.

                  Par ailleurs, le président du MSP a souligné que tant qu’il n’y a pas de démocratie on Algérie, il parlera de consensus et de transition. D’après lui, l’opposition et par le biais de la CLTD, a prouvé qu’elle pouvait se réunir au tour d’une idée et que le problème se trouve dans un pouvoir qui refuse l’idée de dialogue. Il a aussi noté que le consensus proposé par le MSP et celui du FFS tournent autour des mêmes idées, qu’il y a une évolution d’idées et de propositions mais qui renvoie tout de même aux mêmes centres d’intérêt.
                  C'est l'article de Algérie Patriotique qui était tendancieux ou un recentrage issue des dernières révélations dans ce journal concernant le fils de Nahnah...

                  Ce recentrage vers le consensus national est à saluer, s'il n'est pas juste un moyen de justifier une candidature solitaire qui sera décidée par les instances du parti fin de l'année...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    seul , il pourra rien faire .
                    de toute façon , là aussi le futur president est celui que l'armée choisisse: boutef s'il est encore en vie

                    le seul espor , c'est boutef le candidat meurt une semaine avt les elections , peut etre , je dis bien peut etre, ils laisseront des elections libre , mais ça m'etonnerai ,ils ne lacheront pas le gateau, leur enfants et leur petits enfants attendent .


                    l'opposition est sommé de faire ce qu'elle peut , mais ce peu ne changera rien, surtout quand je lis certain commentaire

                    Pour Makri, le peuple est la composante la plus importante de cette initiative. Sans l’implication du citoyen, elle n’a pas de sens.
                    ne compte sur le peuple ,ils l'ont bien apprivoisé,

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                    • #11
                      seul , il pourra rien faire .
                      mertaw qui confirme qu'il est bel et bien de la secte des frères musulmans. Même quand son chef en Algérie arrange les affaires de Boutef, il n'est même pas capable de le critiquer !
                      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                      • #12
                        S'il est le seul à se présenter contre Boutoz, je me bouche le nez et je voterais pour lui et ce, malgré toute mon opposition aux islamistes quelle que soit leur confrérie.

                        Au moins, lui, il peut se tenir debout et parler aux Algériens.

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                        • #13
                          Le fait que tu votes pour lui ou que tous les algériens le font aussi, ne changera rien du tout au résultat final ! C'est juste un lièvre qui soigne sa carrière politique, oppourtuniste dans le sang qu'il est. Je maudis sa race qui nuit à l'humanité sur terre !
                          La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                          • #14
                            je suis d'accord sur tout ce que tu écris.

                            mais raison de plus pour ne pas voter Boutoz

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                            • #15
                              mais raison de plus pour ne pas voter Boutoz
                              J'ai plus de 40 ans et je n'ai jamais voté de ma vie. Je ne risque pas de le faire en 2019. Seul le FIS aurait pu renverser ce pouvoir en place depuis 62, mais sa tentative a été avortée dans l'oeuf et elle ne risque pas de se reproduire dans le future. Ce pouvoir a tellement de clients qu'il peut trouver solution à tout.
                              La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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