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L’information est en soi, sans importance, mais le ministre des Affaires religieuses a tenu à la communiquer. Selon Mohamed Aïssa, le chef de l’État refuse que la grande mosquée d’Alger porte son nom ! Le ministre a même trouvé le moyen d’encenser le président en mettant en avant sa « modestie ».
Prenant part au Forum du journal El Moudjahid le ministre des Affaires religieuses ce dimanche, M. Aïssa a ouvert une parenthèse en affirmant que ce qui est souvent rapporté par les médias est faux et que le président Bouteflika n’a aucune violentée de baptiser de son nom, la grande mosquée d’Alger.
« C’est la volonté du président Bouteflika, contrairement à ce qu’ont fait certains responsables dans d’autres pays musulmans ». À en croire les dires du ministre, la gigantesque structure sera baptisée : « Grande Mosquée d’Alger ».
Le chantier de la grande mosquée a démarré en 2012. L’œuvre dont le cout initial était estimé à 900 millions de dollars a vu son budget décuplé depuis, pour frôler les trois milliards de dollars. Depuis que l’idée a germé dans les cervelles des dirigeants algériens, sa réalisation a fait l’objet de larges polémiques. La grande majorité des Algériens lui sont hostiles.
Le projet est un véritable gouffre financier ce qui a favorisé toutes les suspicions.
Algérie Focus
Prenant part au Forum du journal El Moudjahid le ministre des Affaires religieuses ce dimanche, M. Aïssa a ouvert une parenthèse en affirmant que ce qui est souvent rapporté par les médias est faux et que le président Bouteflika n’a aucune violentée de baptiser de son nom, la grande mosquée d’Alger.
« C’est la volonté du président Bouteflika, contrairement à ce qu’ont fait certains responsables dans d’autres pays musulmans ». À en croire les dires du ministre, la gigantesque structure sera baptisée : « Grande Mosquée d’Alger ».
Le chantier de la grande mosquée a démarré en 2012. L’œuvre dont le cout initial était estimé à 900 millions de dollars a vu son budget décuplé depuis, pour frôler les trois milliards de dollars. Depuis que l’idée a germé dans les cervelles des dirigeants algériens, sa réalisation a fait l’objet de larges polémiques. La grande majorité des Algériens lui sont hostiles.
Le projet est un véritable gouffre financier ce qui a favorisé toutes les suspicions.
Algérie Focus
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