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Un protocole d’accord vient d’être signé entre la société espagnole de conserverie Francisco Gil Gomes, dirigée par son président Gil Gomes, et la Sarl Capten conserverie agroalimentaire de Ténès, présidée par son gérant, A. Benchaâ.
Il porte sur la transformation et l’exportation de la sardine et d’autres produits de la mer vers l’Espagne, à raison de 40 tonnes par mois, sous forme de produits congelés et en conserve. La production provient du large de Ténès, connu pour la qualité de ses ressources halieutiques, avant d’être transformée au niveau de la conserverie de Mainis, à 5 km à la sortie ouest de Ténès. L’usine en question a déjà fait l’objet d’une réhabilitation par le nouvel exploitant local, mais elle ne produisait que sept tonnes par jour de sardines pour plusieurs factures. Le partenaire espagnol s’est engagé, selon le gérant de la Sarl Capten, à réalisé des investissements de l’ordre de 1 200 000 euros, représentant l’acquisition de nouveaux équipements de transformation et de conservation au sein de l’unité de Ténès. Cela permettra, dit-il, d’adapter les installations techniques aux nouvelles exigences en matière notamment de la qualité du produit, de l’étiquetage et de l’emballage. En plus clair, la marchandise doit être conforme aux normes européennes pour qu’elle puisse être acceptée sur le marché espagnol qui importe déjà du Maroc. Par contre, la sardine de la côte ténésienne est très prisée par les consommateurs de ce pays en raison de l’absence d’usines polluantes dans la région. A noter que la Sarl Capten a déjà reçu en ce sens, le 10 janvier dernier, l’autorisation de la direction des services vétérinaires pour l’exportation des produits de la pêche. Le début de cette opération est fixé par les deux partenaires au mois d’avril avec le lancement effectif des premières expéditions de la marchandise en question. La partie espagnole a, en outre, en vertu d’un acte notarié établi le 15 février dernier, prévu la mise à la disposition de la conserverie de Ténès d’un machiniste et d’un chef de production au titre de l’assistance technique. Ceux-ci seront installés en permanence pour suivre de près la congélation, la fabrication et la mise en boîte de la sardine destinée à l’Espagne via les ports d’Oran et de Valence. Trois de ses responsables viennent d’ailleurs d’être intégrés parmi les associésde la société de conserverie agroalimentaire locale. Les partenaires ne cachent pas leur satisfaction quant à l’aboutissement de ceprojet qui, d’après eux, participe au renforcement des échanges commerciaux entre les deux pays en matière de pêche. Ils relèvent à cet effet l’intérêt particulier accordé à cette opération par les autorités locales concernées.
Il porte sur la transformation et l’exportation de la sardine et d’autres produits de la mer vers l’Espagne, à raison de 40 tonnes par mois, sous forme de produits congelés et en conserve. La production provient du large de Ténès, connu pour la qualité de ses ressources halieutiques, avant d’être transformée au niveau de la conserverie de Mainis, à 5 km à la sortie ouest de Ténès. L’usine en question a déjà fait l’objet d’une réhabilitation par le nouvel exploitant local, mais elle ne produisait que sept tonnes par jour de sardines pour plusieurs factures. Le partenaire espagnol s’est engagé, selon le gérant de la Sarl Capten, à réalisé des investissements de l’ordre de 1 200 000 euros, représentant l’acquisition de nouveaux équipements de transformation et de conservation au sein de l’unité de Ténès. Cela permettra, dit-il, d’adapter les installations techniques aux nouvelles exigences en matière notamment de la qualité du produit, de l’étiquetage et de l’emballage. En plus clair, la marchandise doit être conforme aux normes européennes pour qu’elle puisse être acceptée sur le marché espagnol qui importe déjà du Maroc. Par contre, la sardine de la côte ténésienne est très prisée par les consommateurs de ce pays en raison de l’absence d’usines polluantes dans la région. A noter que la Sarl Capten a déjà reçu en ce sens, le 10 janvier dernier, l’autorisation de la direction des services vétérinaires pour l’exportation des produits de la pêche. Le début de cette opération est fixé par les deux partenaires au mois d’avril avec le lancement effectif des premières expéditions de la marchandise en question. La partie espagnole a, en outre, en vertu d’un acte notarié établi le 15 février dernier, prévu la mise à la disposition de la conserverie de Ténès d’un machiniste et d’un chef de production au titre de l’assistance technique. Ceux-ci seront installés en permanence pour suivre de près la congélation, la fabrication et la mise en boîte de la sardine destinée à l’Espagne via les ports d’Oran et de Valence. Trois de ses responsables viennent d’ailleurs d’être intégrés parmi les associésde la société de conserverie agroalimentaire locale. Les partenaires ne cachent pas leur satisfaction quant à l’aboutissement de ceprojet qui, d’après eux, participe au renforcement des échanges commerciaux entre les deux pays en matière de pêche. Ils relèvent à cet effet l’intérêt particulier accordé à cette opération par les autorités locales concernées.
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