Est-ce dû à la colonisation par le Maroc du Sahara Occidental entre autres? Par ailleurs, les affaires stupres relatées au Maroc ( prostitution, pédophilie, etc) font que quiconque d'étranger qui se rend au Maroc paraîtra louche.
- A un an de son aboutissement, la Vision touristique 2020 est un fiasco. Le témoignage d’anciens responsables et les chiffres chocs d’un comité d’experts racontent deux décennies d’erreurs.
" Au Maroc, on a un excellent terrain mais de mauvais joueurs”, assène un spécialiste du secteur. Le tourisme, qui devait permettre au royaume de “ triompher dans le Jihad économique et social”, comme l’avait annoncé Mohammed VI lors du lancement en 2001 de la stratégie sectorielle, aura finalement été le plus grand gâchis économique des 15 dernières années, selon les conclusions d’un comité d’experts, qui avance que 20 milliards de dirhams d’investissements privés auraient été “investis à mauvais escient”.
Si l’image du Maroc à l’étranger est celle d’un “pays touristique” (selon le dernier rapport de l’Institut royal des études stratégiques), la réalité interne est tout autre : en proie à un ras-le-bol généralisé, toutes les figures historiques du tourisme dressent le même constat d’échec. Mais si elles étaient jusqu’alors plutôt silencieuses et résignées, certaines voix s’élèvent aujourd’hui pour dénoncer, parfois avec colère, souvent avec passion, le naufrage d’un secteur essentiel pour le pays. Alors, à qui la faute?-.
Tel Quel
- A un an de son aboutissement, la Vision touristique 2020 est un fiasco. Le témoignage d’anciens responsables et les chiffres chocs d’un comité d’experts racontent deux décennies d’erreurs.
" Au Maroc, on a un excellent terrain mais de mauvais joueurs”, assène un spécialiste du secteur. Le tourisme, qui devait permettre au royaume de “ triompher dans le Jihad économique et social”, comme l’avait annoncé Mohammed VI lors du lancement en 2001 de la stratégie sectorielle, aura finalement été le plus grand gâchis économique des 15 dernières années, selon les conclusions d’un comité d’experts, qui avance que 20 milliards de dirhams d’investissements privés auraient été “investis à mauvais escient”.
Si l’image du Maroc à l’étranger est celle d’un “pays touristique” (selon le dernier rapport de l’Institut royal des études stratégiques), la réalité interne est tout autre : en proie à un ras-le-bol généralisé, toutes les figures historiques du tourisme dressent le même constat d’échec. Mais si elles étaient jusqu’alors plutôt silencieuses et résignées, certaines voix s’élèvent aujourd’hui pour dénoncer, parfois avec colère, souvent avec passion, le naufrage d’un secteur essentiel pour le pays. Alors, à qui la faute?-.
Tel Quel
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