Le Fonds public d’investissement saoudien (PIF) a déclaré lundi avoir obtenu son tout premier prêt international, après le report indéfini de la vente des actions de la compagnie pétrolière Aramco. Le PIF a indiqué dans un communiqué avoir sécurisé un prêt international de 11 milliards de dollars, « première étape de son programme stratégique de financement de la dette à moyen terme ».
Le fonds souverain saoudien avait cherché à lever des milliards de dollars par le biais de l’entrée en bourse du géant pétrolier Aramco pour financer la diversification économique du royaume, encore trop dépendant du pétrole. Mais la vente de parts d’Aramco a été indéfiniment reportée et le PIF s’est tourné vers d’autres sources pour obtenir le financement de ses projets, alors qu’il vise à porter ses actifs à 400 milliards de dollars d’ici 2020.
Ses actifs sont estimés actuellement à 230 milliards de dollars, principalement sous forme de participations importantes dans un certain nombre de sociétés comme SABIC (pétrochimie), la plus grande société cotée du royaume. Depuis l’effondrement des cours du pétrole à la mi-2014, l’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de brut, a accumulé des déficits budgétaires de plus de 260 milliards de dollars et a emprunté plus de 100 milliards de dollars pour aider à financer ce déficit.
orient news
Le fonds souverain saoudien avait cherché à lever des milliards de dollars par le biais de l’entrée en bourse du géant pétrolier Aramco pour financer la diversification économique du royaume, encore trop dépendant du pétrole. Mais la vente de parts d’Aramco a été indéfiniment reportée et le PIF s’est tourné vers d’autres sources pour obtenir le financement de ses projets, alors qu’il vise à porter ses actifs à 400 milliards de dollars d’ici 2020.
Ses actifs sont estimés actuellement à 230 milliards de dollars, principalement sous forme de participations importantes dans un certain nombre de sociétés comme SABIC (pétrochimie), la plus grande société cotée du royaume. Depuis l’effondrement des cours du pétrole à la mi-2014, l’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de brut, a accumulé des déficits budgétaires de plus de 260 milliards de dollars et a emprunté plus de 100 milliards de dollars pour aider à financer ce déficit.
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