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Maroc: Les métiers mondiaux, gisement d’emplois

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  • Maroc: Les métiers mondiaux, gisement d’emplois

    Automobile, offshoring, TIC, aéronautique,… les secteurs qui recrutent le plus
    Les ingénieurs en informatique très prisés au Maroc et à l’étranger



    Selon l’enquête de l’Anapec, les besoins en RH dans les secteurs émergents représentent 45% de l’ensemble des opportunités d’embauche envisagées par les entreprises interrogées, soit 79.652 postes d’emploi

    Les nouveaux métiers mondiaux du Maroc renforcent leur position en tant que secteurs potentiels pour la création d’emplois. Un constat confirmé par la dernière édition de la Veille prospective réalisée l’année dernière par l’Anapec.
    Un travail qui a permis de définir les besoins prévisionnels en compétences à fin 2018 envisagées par un échantillon composé de près de 6.500 entreprises. Ainsi, les besoins en RH dans les secteurs émergents représentent près de 45% dont 23% pour les deux secteurs de l’automobile et l’aéronautique.
    Ces besoins vont accroître dans les régions où se développent des plateformes dédiées à l’industrie de l’automobile comme le cas de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceïma qui abrite l’usine Renault avec plusieurs équipementiers.

    Dans cette région, la part des prévisions d’embauche pour les deux secteurs avoisine 47%.
    Le même constat est valable pour la plateforme d’Atlantic Free Zone de Kénitra avec une part de 40%. Certainement les perspectives d’embauche devraient s’accroître davantage avec la mise en service de l’usine du groupe français PSA, indique Mohamed Ayoub Hassoun, directeur de l’Anapec au niveau de la région de Rabat-Salé-Kénitra.
    Opérateur de production, technicien de maintenance industrielle, couturier… ce sont les profils sollicités pour ces deux secteurs.

    L’offshoring et les NTIC sont toujours considérés comme des secteurs pourvoyeurs d’emploi en occupant la troisième place avec une part de 22% des opportunités d’emploi prévisibles par l’enquête de l’Anapec.
    Pour le cabinet, «l’offshoring se positionne toujours en tête, car il s’agit d’un secteur qui recrute en masse notamment au niveau de Casablanca», précise Dounia Chraïbi, chargée de recrutement au sein de l’agence Multicibles.
    La majorité des jeunes embauchés ont une formation bac+2 avec une bonne maîtrise des langues particulièrement le français qui reste un critère déterminant pour la sélection des candidats, explique-t-elle.

    «Une partie de nos clients cherchent d’autres profils pour accompagner le développement de leurs sociétés qui sont actives dans des secteurs hors offshoring», ajoute Chraïbi.
    Il s’agit particulièrement des diplômés d’un Master notamment dans les spécialités de marketing, finances, commercial et RH.
    «Dans notre budget 2018, on prévoit plus de 700 postes de recrutement pour notamment des profils bac+2», indique Bertrand Gaulandeau, directeur RH et communication interne à Axa Services Maroc, une société spécialisée dans les relations clients. «Compte tenu de la rude concurrence entre les opérateurs au niveau de Rabat, nous avons des difficultés à trouver les profils recherchés qui, en plus de la formation universitaire, devraient bien maîtriser le français», précise-t-il.

    Parmi les métiers sollicités dans ce secteur, les postes de téléconseiller, commercial et consultant site web. «Les techniciens et ingénieurs en informatique particulièrement dans la spécialité développement sont prisés dans le marché de l’emploi», précise un directeur d’une grande école d’ingénieurs à Rabat.
    «Toutefois, ces dernières années, le marché marocain est devenu une source de recrutement pour ce type de profils pour des cabinets étrangers notamment français, ce qui constitue une perte pour l’économie nationale», regrette-t-il.

    Les ingénieurs des autres spécialités: génie civil, bâtiments, énergie, mécanique… dotés d’une expérience arrivent à trouver un emploi pour accompagner les chantiers structurants lancés au Maroc.
    Les professions libérales offrent des opportunités d’emploi notamment dans le secteur de la santé pour répondre aux besoins des cliniques et les laboratoires. Sans oublier les experts-comptables et comptables. L’agroalimentaire et l’agriculture constituent le 4e secteur potentiel en termes d’offre d’emplois avec 82% des opportunités concentrées dans la région de Souss Massa.
    L’agent technique agricole reste le métier sollicité par plus de 90% des professionnels.
    Savoir-faire
    Certes, le diplôme est important mais reste insuffisant pour le recrutement d’un candidat et également de réussir sa carrière professionnelle par la suite.
    C’est l’avis de plusieurs directeurs RH confirmé par l’enquête de l’Anapec.
    Selon cette dernière, 43% des difficultés avancées par les entreprises interrogées relèvent du manque du savoir-faire des candidats.
    Plus de 30% de nos recrues quittent la société durant la première année de leur embauche, indique un directeur RH d’un centre d’appel à Rabat.
    En plus de l’absentéisme, on constate chez une partie des nouvelles recrues un manque d’initiative et de rigueur dans leur travail, regrette-t-il.
    A ce titre, il convient de signaler que les besoins en profils qualifiés sans exigence de diplôme sont estimés à 45% de l’ensemble des besoins prévus par l’enquête de l’Anapec.

    Par Noureddine EL AISSI
    Le 26/06/2018

  • #2
    Le Maroc peut largement faire mieux dans ces domaines !

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    • #3
      Manque d'initiative de rigueur et absentéisme faire quoi les cloné avec des japonais

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      • #4
        Tu es plein d'aigreur !

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        • #5
          C'est la culture du haschich qui fait vivre le plus grand nombre de Marocains (700 000 ?). S'en suivent l'immigration et le touristes et ses "branches annexes".

          - A seulement trois heures d'avion de Paris, une région vit de la drogue. Dans la vallée du Rif au Maroc, 800 000 personnes vivraient de la culture du cannabis, pourtant officiellement interdite. Reportage au cœur de la filière.-.

          https://www.dailymotion.com/video/x4dfuin

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          • #6
            Enfin

            MAROC
            Volkswagen en repérages pour ouvrir son usine

            Maghreb Confidentiel n° 1308 du 20/09/2018


            Le constructeur automobile Volkswagen veut passer à la vitesse supérieure dans le royaume. Le géant allemand met actuellement la dernière main au business model pour l'implantation d'une usine d'assemblage au Maroc. Des représentants de Volkswagen ont ainsi approché les antennes marocaines de plusieurs banques internationales afin de négocier de potentiels financements.

            Le royaume espère la venue de Volkswagen depuis 2011 (MC nº971), et le ministre de l'industrie Moulay Hafid Elalamy (MHE) avait fait des pieds et des mains pour convaincre le groupe de s'implanter en 2015. Après l'installation des usines des français Renault à Tanger en 2012 et PSA Peugeot Citroën à Kénitra en 2017 (MC nº1238), l'arrivée de Volkswagen lui permettrait de réaliser son objectif : atteindre la production d'un million de véhicules par an d'ici 2025 dans le royaume. Volkswagen a préféré s'implanter en juillet 2017 chez le voisin algérien. Mais il s'agit cependant d'une simple usine d'assemblage d'automobiles livrées en kit

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            • #7
              Si VW s installe, il y aura un grand japonais qui viendra construire ses modèles au Maroc. Le coréen suivra ! ( 10 ans).

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              • #8
                Si cela se concrétise , ça va être un très bon coup de pub pour le Maroc qui pourra capitaliser sur cette nouvelle pour attirer plus d’investisseurs dans d’autres domaine que l’automobile. VW est beaucoup plus médiatisé que Renault ou PSA.

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                • #9
                  Industrie automobile : L’arrivée de Volkswagen au Maroc se précise

                  Le constructeur automobile Volkswagen veut passer à la vitesse supérieure au Maroc.
                  Le géant allemand met actuellement la dernière main au business model pour l’implantation d’une usine d’assemblage au Maroc, rapporte ce jeudi Africa Intelligence.

                  Des représentants de Volkswagen ont ainsi approché les antennes marocaines de plusieurs banques internationales afin de négocier de potentiels financements, précise la même source. Après l’installation des usines des français Renault à Tanger en 2012 et PSA Peugeot Citroën à Kénitra en 2017, l’arrivée de Volkswagen permettrait au Maroc de réaliser son objectif : atteindre la production d’un million de véhicules par an d’ici 2025 dans le Royaume. A suivre !
                  Rédaction Infomédiaire

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                  • #10
                    " Des représentants de Volkswagen ont ainsi approché les antennes marocaines de plusieurs banques internationales afin de négocier de potentiels financements, précise la même source. "

                    Une hérésie puérile que cet article. La firme de véhicules à largement les moyens d'autofinancer toutes ses implantations à l'étranger.

                    Preuve s'il en est qu'elle a honoré (ou devrait honorer) une amende d'un milliard d'euros en amende de suite à ses testes sur le CO2 truqués.

                    - Dieselgate: Volkswagen paiera un milliard d'euros d'amende en Allemagne

                    Le groupe Volkswagen a publié mercredi un communiqué déclarant qu'il accepterait l'amende et ne ferait pas appel du verdict : « Suite à un examen approfondi, Volkswagen AG a accepté l'amende et ne fera pas appel. Volkswagen AG, ce faisant, admet sa responsabilité dans la crise du diesel et considère qu'il s'agit là d'un nouveau pas important vers la résolution de ce problème »-.

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                    • #11
                      La firme de véhicules à largement les moyens d'autofinancer toutes ses implantations à l'étranger.
                      Admirer moi l’ignorance dans toute sa splendeur , pour cet individu les firmes ne financent leurs projets auprès des banques que qu’on elles n’ont pas les moyens de les concrétiser toutes seules, quelqu’un peut lui expliquer le levier financier.

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