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ALGÉRIE DÉFENSE Algérie: les purges dans l'armée se poursuivent

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  • ALGÉRIE DÉFENSE Algérie: les purges dans l'armée se poursuivent

    En Algérie, la vague de limogeages au sein de l'armée se poursuit. Cette campagne est sans précédent depuis l'arrivée au pouvoir du président Bouteflika en 1999. Une douzaine de généraux très haut placés ont été démis de leur fonction depuis juin dernier. Le chef de l'armée de terre, Ahcène Tafer, et tout récemment le chef de l'armée de l'air, Abdelkader Lounès, ont rejoint la longue liste des destitués.
    Le ministère de la Défense a annoncé mardi 18 septembre dans un communiqué que le général-major Abdelkader Lounès, commandant des forces aériennes, a été mis à la retraite. Ahcène Tafer, commandant des forces terrestes, avait lui été démis fin août.

    Aucune explication officielle n'a été donnée à ces purges au sein de l'armée algérienne lancées fin juin dernier. Le ministère de la Défense place ces mouvements dans le cadre d'une «alternance habituelle», et le pouvoir algérien semble organiser des fuites à l'attention de la presse ou laisse courir les rumeurs.

    Alors qu'il a accusé certains responsables d'implication dans le trafic de cocaïne, le pouvoir algérien accuse d'autres responsables militaires, de corruption, d'enrichissement illégal ou d'abus de pouvoir. Mais ces pratiques sont le propre de toute la classe politique algérienne, y compris de ministres en fonction.

    Devant l'ampleur de cette affaire, plusieurs observateurs ont fait remarquer que le président algérien est en train de concentrer le pouvoir dans un cercle serré de civils autour de lui en vue d'annoncer sa candidature pour un cinquième mandat présidentiel. Ces observateurs soupçonnent un acte préventif du président Bouteflika qui chercherait ainsi à retirer à l'armée le maximum de son pouvoir de peur d'un coup d'Etat.

    D'autres observateurs mettent cependant ce changement sur le compte d'une lutte entre les factions de l'armée algérienne. L'élection présidentielle est annoncée pour dans sept mois et la candidature de Bouteflika fait polémique en Algérie. Elle est contestée par une majorité d'Algériens qui disent ne plus vouloir d'un «président inexistant».



    ..

  • #2
    L'Algérie est dirigé par une bande de militaires et d'hommes d'affaires qui écrasent le peuple et le peuple est content car il peut détruire tout ce qui ne lui appartient pas ; les forêts; le littoral; les champs; les terres agricoles; il vole; il fait tout ce qu'il veut ; vend tout; des légumes irrigués avec des égouts; des poules élevées avec des produits douteux; à el ulma ; il vend toute la khourda de chine; les ghettos des ADL et les grands projets guallek sont autant d'occasions pour voler; tuer ; éliminer
    c'est horrible ce qui se passe dans le pays
    des neurochirurgiens pour scier et faire des opérations achètent les mèches que un ou deux barons ont choisi de leur acheter d'Inde qui n'ont aucune fiabilité ça casse yajmaa dans le crane de vos compatriotes et vous venez craner avec des Sukhoï bande de petits


    l'équation algérienne n'a pas de solution,



    ce sont les algériens qui profitent d'autres algériens dans la joie et le bonheur
    il n'y a ni nif ni personnalité il n'y a que le vide et la jungle et du haut jusqu'au plus bas des couches sociales ... les journalistes des fourbes tout le monde est d'accord c'est un système suicidaire et je lis ben oui il y en a qui réussissent bien en Algérie hahahaha

    mais oui mis bien sur et comment

    et attendez ce qui va se passer avec le gaz de schiste ça ne fait que commencer le cynisme
    Dernière modification par Aloha, 19 septembre 2018, 15h06.

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    • #3
      Bof,
      Tant que la tête, celle par qui tout le malheur arrive, reste!!

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      • #4
        quelle tête ?



        ce sont des têtes et le corps du pays est déjà à l'agonie plutôt

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        • #5
          Gaid Salah a mis à la retraite ou limogé tous les généraux qui avaient une chance d'occuper son poste .Avec cette purge ,il est sur de rester encore très longtemps à la tête de l'armée et même probablement ministre de la défense .
          Il a tout simplement fait le vide autour de lui . sachant qu'un clan du pouvoir voudrait qu'il soit mis à la retraite .
          Ùne attaque offensive éclair qui a déjoué le plan ennemi tant prisée par les stratéges militaires .
          Dernière modification par ELKSOURI, 19 septembre 2018, 16h30.

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          • #6
            N'ayez pas peur.Entrez dans l'espérance.
            Je crois que Boutef est entrain de débarrasser les algériens de la dernière junte militaire qui sévit dans le monde.On ne peut qu'être heureux pour le peuple algérien,si ce n'est pas pour la rajeunir pour la perpétuer.
            Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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            • #7
              Je crois que Boutef est entrain de débarrasser les algériens de la dernière junte militaire qui sévit dans le monde.
              Il ne fait que remplacer une junte devenue infidèle par une autre qui lui sera fidèle et qui ne s'opposera pas à un 5e mandat.

              Ceux qui croient qu'on vire des voleurs et des profiteurs pour les remplacer par des personnes intègres se trompent. On vire des voleurs et des profiteurs pour les remplacer par d'autres voleurs et d'autres profiteurs.

              Dans tous les états tiers-mondistes, y compris au Maroc, ça se passe comme ça.

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              • #8
                Et si ce n'était pas Boutef qui entreprenait ces purges, mis ces proches? Celui-ci avait déjà expurgé l'ANL de ses éventuels contrariants ( Belkhier, Nezzar, etc).

                - Il faut dire que la cohabitation entre le chef de l'Etat et les responsables de l'armée n'a pas été facile au cours de ces cinq dernières années et que la méfiance est aujourd'hui mutuelle.

                L'ex-ministre des Affaires étrangères de Boumediene avait été adoubé en 1999 par la hiérarchie militaire avec pour mission de redorer le blason du pays, terni par des années de «sale guerre». «Il y avait un accord. Il était là pour améliorer l'image de l'Algérie à l'extérieur et appliquer la trêve négociée avec l'Armée islamique du salut [AIS, le bras armé du FIS]. Mais il ne devait pas aller au-delà, ni s'occuper de la gestion interne de l'institution militaire ou intervenir dans sa chaîne de commandement», dit Chafik Mesbah.

                Bouteflika va remplir son contrat: l'Algérie, peu à peu, redevient un pays fréquentable. Mais il cherche aussi à s'emparer de tous les leviers du pouvoir. Il acquiert, en effet, assez vite la conviction que l'armée n'est peut-être pas aussi forte qu'il y paraît ou qu'elle se plaît à le faire croire.

                Il rencontre des généraux vulnérables et inquiets, qui craignent de faire l'objet de poursuites judiciaires à l'étranger. Surtout, après que le général Khaled Nezzar, ex-ministre de la Défense, eut été nuitamment «exfiltré» de France pour éviter d'être traduit en justice par la famille d'un jeune islamiste mort sous la torture... ..

                Les responsables militaires, eux, découvrent un chef de l'Etat qui n'hésite pas à les traiter publiquement de «tigres de papier» - c'était lors d'un meeting à Tipaza - et ne manque pas une occasion de leur rappeler qu'ils n'étaient que des «gamins» quand il était, lui, déjà, le n° 2 du régime...

                Autant de propos qui passent mal-.

                L'Express.fr

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                • #9
                  l'Algérie est devenue la plus grande blague du monde



                  plutôt



                  il faut arrêter de fumer n'importe quoi



                  entre une armée qui a humilié son peuple, qui aurait pu la soutenir et dont la majorité est issue et entre des fils à papa qui se prennent pour des faraoun et se partagent ce qu'ils appellent el kharjat et dakhlat sans carte de navigation dans une société violente une des plus violente

                  et les idiots qui pensent que Dieu va les accueillir dans son vaste paradis

                  existent des personnes qui veulent arriver à faire comme ceux qui sont arrivés et disent attendez on arrrrrrrrrrrrrive


                  l'Algérie est une noukta avant dans mon temps on rigolait sur certains pays africains



                  comme bokassa

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                  • #10

                    Commentaire


                    • #11
                      En Algérie, les limogeages se poursuivent au sein de l’état-major
                      Une saisie record de cocaïne en juin a déclenché une série de renvois, d’enquêtes de la justice militaire et de retraits de passeport.

                      Par Amir Akef (Alger, correspondance)

                      LE MONDE Le 19.09.2018 à 11h02

                      S'abonner dès 1 € Réagir AjouterPartager (80)Tweeter
                      Le général-major Abdelghani Hamel, alors directeur général de la sûreté nationale, à Alger en mars 2016. Son renvoi, le 26 juin 2018, a marqué le début de la série de limogeages dans la haute hiérarchie militaire.
                      En Algérie, le commandant des forces terrestres, le commandant des forces aériennes et le directeur de la Caisse nationale militaire de la sécurité sociale ont été débarqués, lundi 17 septembre, et mis à la retraite. Ils sont les derniers généraux victimes d’une vague sans précédent de limogeages au sein de la haute hiérarchie de l’armée.
                      La valse des hauts gradés avait commencé le 26 juin par le renvoi du directeur général de la sûreté nationale (DGSN, police), le général-major Abdelghani Hamel, en relation avec une saisie record (701 kg) de cocaïne opérée par les services de l’armée au port d’Oran. L’éviction de cet homme proche du clan présidentiel et qui semblait promis aux plus hautes charges avait surpris, mais des informations distillées par quelques médias privés notamment Ennahar, devenus des canaux privilégiés du pouvoir, ont fait état de l’implication de son chauffeur personnel dans l’affaire de la saisie de cocaïne.

                      « Trafic d’influence »

                      Dix jours plus tard, c’était au tour du commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Menad Nouba, de passer à la trappe. Puis, en août, les limogeages visèrent pas moins d’une quinzaine de généraux. Ces mesures ont concerné des chefs de région militaire, le directeur central de la sécurité de l’armée (DCSA, renseignements), le contrôleur général de l’armée et enfin le commandant des forces terrestres. Toute la haute hiérarchie militaire est touchée au point d’amener certains à parler de « décapitation ».

                      Lire aussi : En Algérie, le président Bouteflika limoge le chef de la police sur fond de lutte des clans

                      Plus surprenant : des médias ont révélé dimanche que cinq généraux-majors limogés faisaient l’objet d’une enquête judiciaire militaire pour « trafic d’influence » et « abus de pouvoir ». Le site d’information **********, proche du pouvoir, qui a révélé l’information, enfonce sans ménagement les cinq hommes qui auraient « accapar[é] des richesses incommensurables, profitant de leurs statut et grade ». Chacun d’entre eux, affirme-t-il, « posséderait une trentaine de sociétés spécialisées dans divers domaines […] pour la plupart aux noms de leurs enfants ».

                      Leurs domiciles ont été perquisitionnés et leurs passeports confisqués après que l’un d’eux, le général Saïd Bey, « a violé l’interdiction de sortie du territoire, en voyageant avec sa famille vers la France, profitant d’une complicité au sein de l’aéroport international d’Alger ». Ce dernier est finalement rentré en Algérie, où son passeport lui a été confisqué.

                      Course pour la succession
                      Certains analystes mettent en relation ces changements avec la perspective d’un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, à l’approche du scrutin présidentiel d’avril 2019. Mais l’explication n’est guère probante : l’idée d’une telle réélection – déjà publiquement soutenue par les partis au pouvoir – ne fait pas l’objet d’une contestation au sein du régime.

                      L’une des thèses en vogue après le premier limogeage était que le général Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la défense nationale et chef d’état-major de l’armée (dont il est le numéro deux après le président Bouteflika), était à la manœuvre et venait de marquer des points en éliminant l’ambitieux général Hamel de la course pour la succession en cas de vacance du pouvoir présidentiel. Mais aussi qu’il préparait l’armée à l’après-Bouteflika en plaçant ses proches. Une lecture dans la « logique » du système algérien, où l’armée a toujours pesé dans les successions présidentielles. Mais le général Gaïd Salah est-il vraiment l’ordonnateur des derniers changements ?

                      Lire aussi : En Algérie, la perspective d’un cinquième mandat de Bouteflika se précise

                      A Alger, certains en doutent, faisant valoir que les limogeages ont aussi touché certains de ses proches. Pour eux, c’est le président Bouteflika et son clan qui sont derrière ces mouvements. Comme le souligne le quotidien El Watan, depuis l’affaire de la cocaïne qui semble provoquer des réactions en chaîne au sein du régime, les « choses ne sont plus les mêmes et les centres de décision ont bougé ». Pour le journal, ces changements marquent « un isolement, voire la fin du règne d’un chef d’état-major qui détient, désormais, le record du nombre d’années à ce poste ».

                      La présidence veut-elle écarter le général Gaïd Salah ? Ou bien s’assurer de disposer d’hommes parfaitement loyaux en cas de disparition du chef de l’Etat ? Quoi qu’il en soit, on est loin d’un changement « normal », comme l’avancent régulièrement des responsables algériens. Il ne s’agit pas non plus d’un « rajeunissement » de la haute hiérarchie de l’armée : les nouveaux promus sont aussi âgés que leurs prédécesseurs, dont ils ont souvent été les adjoints.

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                      • #12
                        je ne sais pas comment ils sont capable de parler elaaoqra el khamissa



                        tout le monde sait que le pays est géré par une dictature

                        Commentaire


                        • #13
                          c'est la plus belle des hypocrisies de parler d’élection

                          Commentaire


                          • #14
                            Il n'y aura pas de cinquième mandat. C'est un os qui est lancé à la classe politique pour lui donner une occupation et détourner l'opinion publique des vrais problèmes .oeilferméoei lfermé
                            Il y avait le problème de succession du président en plus de la succession de Gaid salah.
                            Apres cette purge ,Gaid S a la mains libres et peut désigner le président qu'il a choisi .
                            Dernière modification par ELKSOURI, 20 septembre 2018, 08h27.

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                            • #15
                              https://www.youtube.com/watch?time_continue=289&v=

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