Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbès a accusé ce vendredi le ministre de la santé, Mokhtar Hasbellaoui d’avoir envoyé son épouse se faire soigner en France.
S’exprimant à l’ouverture des travaux du Conseil national de son parti ce vendredi matin, le président du RCD a ainsi mis le point sur la situation du secteur de la santé en Algérie.« À de rares exceptions près, aujourd’hui plus aucun responsable officiel ne se soigne dans le pays. Il y a même ceux qui optent pour l’Europe pour un simple accouchement » a déclaré Mohcine Belabbès.
« Le ministre de la santé lui-même donne le parfait exemple en envoyant sa femme en France pour un tel acte banal (un accouchement, ndlr) » a dit le président du parti fondé par Saïd Sadi, ajoutant que « lorsqu’on n’a pas confiance dans le secteur qu’on gère, c’est qu’il y a un problème ».
« Toute la détresse des populations est illustrée par des hôpitaux-mouroir. Manque de lits, absence d’hygiène, malades entassés dans les structures d’urgences, pannes récurrentes du matériel et pénuries de médicaments, conditions de travail effroyables, le tout dans une indifférence ascendante à mesure que s’élèvent les échelons de la hiérarchie des responsabilités » a par ailleurs dit Mohcine Belabbès par rapport à la situation dans les hôpitaux algériens.
ObserverAlgérie
S’exprimant à l’ouverture des travaux du Conseil national de son parti ce vendredi matin, le président du RCD a ainsi mis le point sur la situation du secteur de la santé en Algérie.« À de rares exceptions près, aujourd’hui plus aucun responsable officiel ne se soigne dans le pays. Il y a même ceux qui optent pour l’Europe pour un simple accouchement » a déclaré Mohcine Belabbès.
« Le ministre de la santé lui-même donne le parfait exemple en envoyant sa femme en France pour un tel acte banal (un accouchement, ndlr) » a dit le président du parti fondé par Saïd Sadi, ajoutant que « lorsqu’on n’a pas confiance dans le secteur qu’on gère, c’est qu’il y a un problème ».
« Toute la détresse des populations est illustrée par des hôpitaux-mouroir. Manque de lits, absence d’hygiène, malades entassés dans les structures d’urgences, pannes récurrentes du matériel et pénuries de médicaments, conditions de travail effroyables, le tout dans une indifférence ascendante à mesure que s’élèvent les échelons de la hiérarchie des responsabilités » a par ailleurs dit Mohcine Belabbès par rapport à la situation dans les hôpitaux algériens.
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