ALGER, 18 septembre (Reuters) - Le volume des exportations de pétrole et de gaz de l’Algérie a chuté de 2,8% au premier trimestre par rapport à l’année précédente, affaibli par une baisse de la production
L'Algérie a lutté pour augmenter sa production et ses ventes d'énergie, principale source de revenus, représentant 60% du budget et 94% du total des exportations.
Les exportations totales de pétrole et de gaz ont atteint 27,7 millions de tonnes d'équivalent pétrole au cours des trois premiers mois, a indiqué le ministère dans la dernière édition de son magazine "Algeria Energy", reçu par Reuters mardi.
Les volumes des exportations de pétrole brut ont diminué de 8,9% au premier trimestre, tandis que les ventes de gaz naturel et de condensat ont augmenté respectivement de 1,2% et 17,7%.
La production totale de pétrole et de gaz a atteint 44,3 millions de tonnes d'équivalent pétrole, en baisse de 0,9% par rapport au premier trimestre de 2017.
La production de pétrole brut et de condensat a chuté de 4,1%, tandis que la production de gaz naturel a augmenté de 1,4%.
La production de produits raffinés a augmenté de 4,4% à 8,2 millions de tonnes.
Le ministère de l'Énergie s'attendait à ce que la production énergétique annuelle augmente de 6,5% après une chute de 2,7% en 2017.Les investissements dans le secteur de l’énergie ont chuté de 9,9% à 2,4 milliards de dollars au cours des trois premiers mois de 2018, selon le magazine.
L’Algérie a préparé des amendements à sa loi sur l’énergie afin d’introduire des incitations et d’attirer davantage d’investisseurs étrangers, qui sont restés largement en retrait ces dernières années.
Les bénéfices énergétiques ont augmenté de 16% à 9,7 milliards de dollars au premier trimestre de 2018, en raison de la reprise du prix du pétrole brut sur les marchés mondiaux.
La consommation croissante de 41 millions de personnes en Afrique du Nord a également contribué à la baisse des volumes d’exportation d’énergie.
La consommation totale d'énergie a augmenté de 7,1% à 16,7 millions de tonnes d'équivalent pétrole au cours des trois premiers mois de 2018, a indiqué le ministère. La consommation de gaz naturel a augmenté de 9,9% à 12,8 milliards de mètres cubes.
L'Algérie a lutté pour augmenter sa production et ses ventes d'énergie, principale source de revenus, représentant 60% du budget et 94% du total des exportations.
Les exportations totales de pétrole et de gaz ont atteint 27,7 millions de tonnes d'équivalent pétrole au cours des trois premiers mois, a indiqué le ministère dans la dernière édition de son magazine "Algeria Energy", reçu par Reuters mardi.
Les volumes des exportations de pétrole brut ont diminué de 8,9% au premier trimestre, tandis que les ventes de gaz naturel et de condensat ont augmenté respectivement de 1,2% et 17,7%.
La production totale de pétrole et de gaz a atteint 44,3 millions de tonnes d'équivalent pétrole, en baisse de 0,9% par rapport au premier trimestre de 2017.
La production de pétrole brut et de condensat a chuté de 4,1%, tandis que la production de gaz naturel a augmenté de 1,4%.
La production de produits raffinés a augmenté de 4,4% à 8,2 millions de tonnes.
Le ministère de l'Énergie s'attendait à ce que la production énergétique annuelle augmente de 6,5% après une chute de 2,7% en 2017.Les investissements dans le secteur de l’énergie ont chuté de 9,9% à 2,4 milliards de dollars au cours des trois premiers mois de 2018, selon le magazine.
L’Algérie a préparé des amendements à sa loi sur l’énergie afin d’introduire des incitations et d’attirer davantage d’investisseurs étrangers, qui sont restés largement en retrait ces dernières années.
Les bénéfices énergétiques ont augmenté de 16% à 9,7 milliards de dollars au premier trimestre de 2018, en raison de la reprise du prix du pétrole brut sur les marchés mondiaux.
La consommation croissante de 41 millions de personnes en Afrique du Nord a également contribué à la baisse des volumes d’exportation d’énergie.
La consommation totale d'énergie a augmenté de 7,1% à 16,7 millions de tonnes d'équivalent pétrole au cours des trois premiers mois de 2018, a indiqué le ministère. La consommation de gaz naturel a augmenté de 9,9% à 12,8 milliards de mètres cubes.
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