SELON UNE ETUDE AMERICAINE : DAECH ne s’implantera pas en Algerie
Un rapport publié par un institut américain, le Middle East Institut basé à Washington, a publié une étude réalisée en Algérie, affirmant que l’Etat islamique DAECH ne peut pas s’implanter en Algérie.
La source affirme que malgré les récents changements dans les sociétés arabes après les soulèvements du printemps de 2011, l’Algérie reste intouchable et ne risque pas de se retrouver dans les mêmes situations.
Selon l’étude, la menace terroriste en Algérie est devenue largement fragmentée et ne représente pas un danger sérieux comparé aux autres pays voisins.
Pour les américains, l’Algérie dispose d’une stratégie antiterroriste plus « sophistiquée » et plus « efficace ».
L’Algérie a su maintenir un faible niveau d’activité djihadiste grâce à des ripostes antiterroristes énergiques en 1994, les autorités algériennes ayant également adopté des méthodes de réconciliation», affirme l’étude.
Si le Maghreb a été une zone de recrutement féconde pour l’État islamique, l’enrôlement des Algériens a été quasi-insignifiante du point de vue numérique, selon les experts.
Une exception rattachée à l’expérience vécue par les Algériens durant la décennie noire et qui reste collée dans la mémoire des algériens comme une forme de dissuasion psychologique”, expliquent des spécialistes du terrorisme chez Carnegie Middle East Center.
Ce qui fait de l’Algérie aujourd’hui une zone infranchissable par Daesh à l’instar des pays voisins qui sont devenus des bases de recrutement pour l’Etat Islamique , comme la Tunisie qui compte entre 6 000 et 7 000 terroristes recrutés par Daesh, la Libye qui compte entre 3.000 et 4.000 éléments de l'EI et le Maroc qui compte 1 100 à 1 200 marocains ... marocaines) affiliés à Daesh et qui combattent en Syrie.
Ainsi, l’Algérie aurait donc selon les experts, gagné son combat contre le terrorisme grâce à la lutte acharnée contre le terrorisme menée par l’armée nationale populaire depuis une décennie et grâce à la mobilisation de la population algérienne, qui vit encore avec le souvenir blessant des années 90.
Réflexion /
Un rapport publié par un institut américain, le Middle East Institut basé à Washington, a publié une étude réalisée en Algérie, affirmant que l’Etat islamique DAECH ne peut pas s’implanter en Algérie.
La source affirme que malgré les récents changements dans les sociétés arabes après les soulèvements du printemps de 2011, l’Algérie reste intouchable et ne risque pas de se retrouver dans les mêmes situations.
Selon l’étude, la menace terroriste en Algérie est devenue largement fragmentée et ne représente pas un danger sérieux comparé aux autres pays voisins.
Pour les américains, l’Algérie dispose d’une stratégie antiterroriste plus « sophistiquée » et plus « efficace ».
L’Algérie a su maintenir un faible niveau d’activité djihadiste grâce à des ripostes antiterroristes énergiques en 1994, les autorités algériennes ayant également adopté des méthodes de réconciliation», affirme l’étude.
Si le Maghreb a été une zone de recrutement féconde pour l’État islamique, l’enrôlement des Algériens a été quasi-insignifiante du point de vue numérique, selon les experts.
Une exception rattachée à l’expérience vécue par les Algériens durant la décennie noire et qui reste collée dans la mémoire des algériens comme une forme de dissuasion psychologique”, expliquent des spécialistes du terrorisme chez Carnegie Middle East Center.
Ce qui fait de l’Algérie aujourd’hui une zone infranchissable par Daesh à l’instar des pays voisins qui sont devenus des bases de recrutement pour l’Etat Islamique , comme la Tunisie qui compte entre 6 000 et 7 000 terroristes recrutés par Daesh, la Libye qui compte entre 3.000 et 4.000 éléments de l'EI et le Maroc qui compte 1 100 à 1 200 marocains ... marocaines) affiliés à Daesh et qui combattent en Syrie.
Ainsi, l’Algérie aurait donc selon les experts, gagné son combat contre le terrorisme grâce à la lutte acharnée contre le terrorisme menée par l’armée nationale populaire depuis une décennie et grâce à la mobilisation de la population algérienne, qui vit encore avec le souvenir blessant des années 90.
Réflexion /
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