Le président du microscopique et tout aussi insignifiant parti “Tiar Essalem” Mohamed Fouad Benghenissa, a une nouvelle fois encore, étalé sa théorie de la “Chitta positive”. Un discours ahurissant dans lequel il ôte à la politique toute moralité.
«Tous les partis politiques pratiquent la Chitta gratuitement, alors que nous monnayions notre Chitta », a-t-il proféré, soulignant que la pratique de la politique est avant tous une éternelle quête des intérêts.
«Nous avons un principe national et nous avons expliqué, lors de précédentes occasions, que nous croyons à la Chitta positive », a-t-il dit dans un énoncé dénué de toute logique.
«Dans notre parti, nous monnayions notre Chitta conformément à l’adage populaire (tathala fiya nathalla fik) », littéralement, on se prend soin mutuellement. « Les autres partis pratiquent la Chitta même si cela va à l’encontre de leurs intérêts », conclut-il.
Fouad Benghenissa est un habitué de ce genre de discours. Il a déjà abordé ce sujet sans aucun complexe. Cependant, sa conception de la politique est dénuée de toute moralité et éthique. Être président de parti est, dès lors, qu’une quête d’intérêts personnels.
Ce qui est affligeant, c’est que ce type de discours reflètent l’état désastreux de la classe politique algérienne.
«Tous les partis politiques pratiquent la Chitta gratuitement, alors que nous monnayions notre Chitta », a-t-il proféré, soulignant que la pratique de la politique est avant tous une éternelle quête des intérêts.
«Nous avons un principe national et nous avons expliqué, lors de précédentes occasions, que nous croyons à la Chitta positive », a-t-il dit dans un énoncé dénué de toute logique.
«Dans notre parti, nous monnayions notre Chitta conformément à l’adage populaire (tathala fiya nathalla fik) », littéralement, on se prend soin mutuellement. « Les autres partis pratiquent la Chitta même si cela va à l’encontre de leurs intérêts », conclut-il.
Fouad Benghenissa est un habitué de ce genre de discours. Il a déjà abordé ce sujet sans aucun complexe. Cependant, sa conception de la politique est dénuée de toute moralité et éthique. Être président de parti est, dès lors, qu’une quête d’intérêts personnels.
Ce qui est affligeant, c’est que ce type de discours reflètent l’état désastreux de la classe politique algérienne.
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