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Par Yasmine - 1 octobre 2018 à 16:39
ObervAlgérie
Alors que la campagne présidentielle devrait être en pleine ébullition, tout semble calme à sept mois de l’échéance. Les partis politiques se prélassent, les candidats ne veulent pas tenir tête à leur doyen mettant ainsi le citoyen dans une confusion totale.
Présentement, rien ne semble indiquer une quelconque action politique. Tout laisse croire justement qu’aucune compagne ne se prépare. Et si la présidentielle de 2019 n’aura pas lieu ? Ce scénario est envisageable et sa mise en scène aurait déjà commencé. L’acteur principal est Said Bouhadja, le président de l’assemblée Populaire Nationale.
Et si la démission de Bouhadja était orchestrée ?
Cela fait déjà quelques jours, que le président de l’APN nargue tout le monde avec son intention de démissionner, qui ne voit pourtant pas le jour. Avec plus de 320 signatures de députés contre lui, la question ne devrait plus se poser… Sauf si ce dernier est soutenu par la présidence (comme l’auraient rapporté certains médias).
Un accord a-t-il été passé entre la chambre basse et la présidence ?
Il est fort probable Ce refus est monté de toutes pièces. Car si S.Bouhadja est soutenu (secrètement) par la présidence, il ne devrait pas quitter son poste malgré les pressions exercées contre lui. Si ce dernier ne quitte pas son poste nul ne peut le limoger sauf si le Président de la République décide de dissoudre le parlement. Cela n’a pas de sens ?
Gagner du temps permettra t-il de maintenir la situation actuelle?
Absolument .Si le parlement est dissous, cela voudra dire que l’élection présidentielle sera reportée pour un délai maximum de trois ans. Les législatives seront programmées et réorganisées au bout de quelques mois, et ce n’est qu’après avoir installé le nouveau parlement qu’on évoquera les présidentielles.
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Par Yasmine - 1 octobre 2018 à 16:39
ObervAlgérie
Alors que la campagne présidentielle devrait être en pleine ébullition, tout semble calme à sept mois de l’échéance. Les partis politiques se prélassent, les candidats ne veulent pas tenir tête à leur doyen mettant ainsi le citoyen dans une confusion totale.
Présentement, rien ne semble indiquer une quelconque action politique. Tout laisse croire justement qu’aucune compagne ne se prépare. Et si la présidentielle de 2019 n’aura pas lieu ? Ce scénario est envisageable et sa mise en scène aurait déjà commencé. L’acteur principal est Said Bouhadja, le président de l’assemblée Populaire Nationale.
Et si la démission de Bouhadja était orchestrée ?
Cela fait déjà quelques jours, que le président de l’APN nargue tout le monde avec son intention de démissionner, qui ne voit pourtant pas le jour. Avec plus de 320 signatures de députés contre lui, la question ne devrait plus se poser… Sauf si ce dernier est soutenu par la présidence (comme l’auraient rapporté certains médias).
Un accord a-t-il été passé entre la chambre basse et la présidence ?
Il est fort probable Ce refus est monté de toutes pièces. Car si S.Bouhadja est soutenu (secrètement) par la présidence, il ne devrait pas quitter son poste malgré les pressions exercées contre lui. Si ce dernier ne quitte pas son poste nul ne peut le limoger sauf si le Président de la République décide de dissoudre le parlement. Cela n’a pas de sens ?
Gagner du temps permettra t-il de maintenir la situation actuelle?
Absolument .Si le parlement est dissous, cela voudra dire que l’élection présidentielle sera reportée pour un délai maximum de trois ans. Les législatives seront programmées et réorganisées au bout de quelques mois, et ce n’est qu’après avoir installé le nouveau parlement qu’on évoquera les présidentielles.
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