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Bras de fer institutionnel sur fond de succession

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  • Bras de fer institutionnel sur fond de succession

    La situation inédite que vit une institution qui charpente la construction institutionnelle, le parlement algérien, n'est pas sans rappel la crise de pouvoir qui a eu lieu en 1963, poussant Ferhat Abbas à la démission, et bousculant l'ordre précaire qui avait vu les conflits affichés au congrès de Tripoli conclu par la dissolution du CNRA mis en exergue avec un parlement désigné à l'indépendance regroupant les leaders du FLN qui devaient ainsi apporter leur brique à la construction institutionnelle post indépendance autours de la nouvelle constitution algérienne. Souvenons-nous du texte proposé au cinéma Atlas qui a poussé Ferhat Abbas à la démission, engageant ainsi une prise en main par un état profond en construction du destin algérien et qui a culminé par le redressement révolutionnaire.

    La constitution algérienne, texte sensé être fondateur des règles institutionnelles, ayant été mis en exergue, a subi plusieurs liftings, en commençant par la réforme de 1976, et il semble que d'autres liftings soient dans les cartons des hommes de pouvoir pour encore une fois en faire un instrument sur mesure pour gérer la succession du président algérien, attaché à en faire un événement à la dimension de l'apport qu'il considère être le sien sur le destin national.

    La constitution, au lieu de constituer le socle de la stabilité institutionnelle, se voit bafouée au nom paradoxalement de la stabilité, du pouvoir par contre. On voit ainsi des parlementaires, au mépris des règles élémentaires de fonctionnement institutionnel exiger la démission du 3ième personnage de l'état algérien, symptôme de l’effritement institutionnel que vit le pays. On voit le patron du parti majoritaire qui se croit encore à l'époque du PPA lancer des diatribes aussi extravagantes que lancinantes sur le troisième personnage de l'état, lui qui nous avait annoncé la couleur lors de sa prise de fonction à sa désignation comme SG du FLN quand il a cité Lamine Debaghine qui disait aux militants de la cause révolutionnaire, la discipline ou la démission. Il est temps pour vous de démissionner, comme l'avait fait votre père spirituel, et de mettre fin à cette prise d'otage d'un parti historique, propriété de tous les algériens, ainsi que ce pays, par un blocage institutionnel inédit, n'ayant même pas pu voter une loi de finance nécessaire au fonctionnement du pays.

    Le processus constituant, revendication constante depuis l'étoile nord-africaine est le seul qui peut permettre une légitimation des institutions, qui sont aujourd'hui dans un état de délitement avancé, et qu'il est nécessaire de repenser pour refondre l'état algérien sur des bases modernes, en dotant ce pays d'institutions solides et pérennes. La tournure rocambolesque de cette tragédie grecque, issue d'une simple fin de fonction d'un fonctionnaire de l'APN, loin d'être à la hauteur des enjeux de 1963, est l'occasion d'une refonte profonde, non sur la base de l'antique Grèce, ou d'une Italie post guerre, mais sur la base de fondements immuables sur les rôles des pouvoirs des différentes institutions nationales, distribués pour garantir un équilibre stable, non pour une concentration telle des pouvoirs qu'il devient gordien d'envisager le changement de ses locataires.

    Militant pour une Algérie meilleure
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    «Ce n’est pas la démission de Bouhadja qui est recherchée»

    «Ce n’est pas la démission de Bouhadja qui est recherchée»


    El Watan - SALIMA TLEMCANI 04 OCTOBRE 2018


    Après une semaine de crise qui a paralysé les activités du Parlement, le président de l’Assemblée s’est montré très confiant et serein. Dans l’entretien qu’il nous accordé, il continue à affirmer de poursuivre sa mission tant qu’il n’est pas démis par le Président. Il revient sur le limogeage de son secrétaire général, mais aussi sur cette alliance (RND-FLN-MPA-TAJ) d’intérêts politiques, dont il ignore les contours, sur sa rencontre à Paris avec le député Djamel Bouras, et les rumeurs de complots dont il a fait l’objet…

    – Allez-vous démissionner de votre poste de président de l’Assemblée, comme le réclament, depuis une semaine, les chefs des groupes parlementaires de l’alliance présidentielle RND, MPA, TAJ, les indépendants et à leur tête le FLN ?

    Je suis un partisan de l’alternance au pouvoir, à condition qu’elle s’opère dans un cadre légal. J’attache beaucoup d’importance aux réformes du président de la République pour l’instauration d’un Etat de droit. De ce fait, il m’est impossible de m’incliner devant un mouvement primitif qui veut geler les activités de l’Assemblée nationale et porter atteinte à la stabilité de l’institution.

    Le but de ce mouvement est d’attenter à l’image du pays et aux réformes du Président. Il y a un mois, le bureau a validé une motion faisant l’éloge de mon travail en tant que président et les résultats obtenus en une année. Nous avons passé 19 lois, ce qui est unique depuis la création de l’Assemblée. J’ai même des lettres de remerciements des chefs de groupe parlementaire pour ma méthode de travail et les résultats…

    – Qu’est-ce qui a changé depuis ?

    La raison principale est la mise de fin de fonction du secrétaire général de l’Assemblée. Sachez que depuis que j’ai été installé, au moins deux fois on m’a demandé de le limoger, y compris par le secrétaire général du FLN. Mais je n’avais pas des arguments légaux pour le faire et je l’ai fait savoir à mes interlocuteurs.

    Durant toute une année, j’ai travaillé avec le staff que j’ai hérité de mon prédécesseur, Ould Khelifa. Je n’ai recruté que trois cadres, parce qu’il y avait nécessité de service, alors que j’avais trouvé une situation de confusion générale, que ce soit dans le nombre de l’effectif ou dans la distribution des voitures par exemple.

    J’ai trouvé des députés qui avaient pris cinq véhicules, d’autres trois, etc. J’ai mis un terme à cette anarchie, comme j’ai aussi interdit les recrutements après avoir trouvé un surplus d’une centaine d’employés. Lorsque j’ai mis fin aux fonctions du secrétaire général, à la demande de la Présidence, j’ai rédigé un rapport dans lequel j’ai tout expliqué en apportant tous les arguments qui justifient les actes de ma gestion. Je n’ai pas eu de réponse. Cela veut dire que ma décision n’a pas été rejetée.

    C’est alors que le ministre chargé des Relations avec le Parlement est venu me voir m’informant qu’il était porteur d’un message de la Présidence, me demandant de réintégrer le secrétaire général. Je pense que je suis très proche de la Présidence, qui n’a pas besoin de m’envoyer des messages.

    Mieux encore. J’ai été contacté par le secrétaire général du FLN, qui lui aussi dit avoir entre ses mains une décision de la Présidence d’annulation de la mise de fin de fonction du secrétaire général. Je lui ai dit envoyez-moi cette décision, mais il ne l’a pas fait. Moi, j’attends la réponse de la Présidence. A partir de là, il y a eu la réunion au parti et la collecte des signatures pour me pousser à la démission et geler les activités de l’APN.

    – Avez-vous eu cette liste de signataires qui accompagne la motion de retrait de confiance ?

    Je vous donne la primeur. Aujourd’hui (hier, ndlr), j’ai eu la liste et elle comporte uniquement 64 signatures. Lorsque j’ai reçu les chefs de groupe parlementaire, ils m’ont présenté la motion avec les griefs retenus contre moi. Je leur ai demandé la liste des signataires pour que je vérifie auprès du Conseil constitutionnel l’authenticité des signatures. Ils m’ont dit qu’ils avaient décidé de ne pas remettre la liste. J’ai répondu : dans ce cas, envoyez votre motion à la Présidence. C’est elle qui tranche entre les institutions de l’Etat. Si on considère que j’ai fauté, je suis prêt à partir. Ils ont refusé…

    – Que vous reprochent-ils au juste ?

    D’abord de ne pas recevoir les députés. C’est faux. Le premier président qui reçoit tout le temps les députés et même les citoyens, c’est moi. On dit que je recrute beaucoup. Or, en une année, je n’ai recruté que trois personnes, le chargé de la communication, le chef du protocole et un autre cadre. Moi-même, j’ai interdit les interventions au niveau de l’administration pour éviter l’anarchie du mandat précédent, où un vice-président a recruté à lui seul 87 employés.

    Cette décision a déplu. Ils me reprochent aussi la mauvaise gestion de l’administration. Je leur ai expliqué que la raison pour laquelle j’ai mis fin aux fonctions du secrétaire général, c’est justement la mauvaise gestion que vous êtes en train d’encourager par votre comportement. Parmi les griefs, il est fait état de missions à l’étranger qui, selon eux, ne respectaient pas la réglementation. Or, ce n’est pas moi qui désigne ceux qui doivent partir en mission.

    Nous nous sommes entendus avec l’ensemble des groupes parlementaires sur une démarche consensuelle au prorata de la représentation. Ils veulent que la confusion soit maintenue et que le flou continue à régner au sein de l’administration. Je demande la liste des véhicules, on ne la ramène pas. Je demande la situation de l’effectif, il n’y a rien. Tous ces griefs sont insignifiants pour moi.

    J’ai cassé tous leurs arguments qui, faut-il le préciser, ne tenaient pas la route. En se rendant compte de la faiblesse de leurs motifs, ils ont déchiré la motion et la liste. Pour gagner du temps, je leur ai dit que j’allais prendre un ou deux jours pour réfléchir. On s’est entendu pour se revoir, et juste après la réunion, Mouad Bouchareb intervient sur une chaîne de télévision et rend publics les griefs. Devant cet état de fait, la démission était devenue impossible. Une telle décision doit être volontaire et non pas sous la menace.

    Je leur ai même dit la destitution par une décision de la Présidence, oui, mais la démission sous la pression, non. Je dis avec regret qu’après avoir mis en place des réformes juridiques au sein de l’Assemblée pour tirer le pays vers la modernité, nous constatons que certains pensent encore que les comportements primitifs et inciviques peuvent influer sur les responsables qui défendent les intérêts de l’Etat. Ma conscience ne me permet pas de démissionner. Mais si la décision de me démettre vient en respect des lois, je m’incline.

    Ils pensaient qu’en cinq jours ils allaient sceller mon sort. J’ai dit : je ne démissionne pas. Je ne cède pas à l’action psychologique. J’ai survécu à l’action psychologique de la SAS durant la Guerre de Libération. Ce n’est pas aujourd’hui que je vais le faire. Sur quelle base légale ont-ils décidé de geler les activités de l’Assemblée ? C’est une décision illégale. Même au sein des communes, cette mesure est interdite. Même le retrait de confiance est interdit. Nous sommes des législateurs, nous n’avons pas droit à ce genre d’erreurs.

    – Quelle a été la réaction de la Présidence ?

    Tant que la Présidence ne m’a pas fait signe, tout ce qui se dit est pure affabulation.

    Est-il vrai que le secrétaire général de la Présidence vous a contacté par téléphone pour vous demander de démissionner ?

    Je démens formellement ce que vous avancez. Ils sont juste en train de parler au nom de la Présidence. Le seul contact, c’est après la mise de fin de fonction du secrétaire général de l’Assemblée. Il voulait s’enquérir en essayant de me faire revenir sur ma décision, mais je lui ai expliqué qu’un tel revirement pourrait porter atteinte à mon autorité disciplinaire. Il m’a demandé de lui faire un rapport détaillé. C’est ce que j’ai fait et à ce jour, je n’ai reçu aucune réponse.

    – Comment expliquer ce silence de la Présidence ?

    Peut-être qu’il s’agit d’un test pour voir si Bouhadja va céder à un mouvement illégal et donc cela veut dire qu’il ne peut être à la hauteur de son poste à la tête de l’institution parlementaire. Ou encore chercher à voir jusqu’où le chef du parti, à l’origine de cette crise, pourrait aller. Je pense que ce n’est pas la démission de Bouhadja qui est recherchée.

    C’est bizarre, mais je sens que le limogeage du secrétaire général n’est pas l’unique raison qui a poussé à la crise. Il y a eu une alliance d’intérêts politiques que j’ignore.

    – Et cette alliance n’aurait-elle pas un lien avec la présidentielle de 2019 ?

    Je ne le pense pas. A mon avis, cela doit être lié à leurs propres intérêts.

    – Qu’allez-vous faire si, aujourd’hui, la Présidence n’intervient pas pour trancher ?

    Je poursuis ma mission jusqu’au bout.

    – Avec un Parlement dont les activités sont gelées ?

    Si le gel se poursuit, nous prendrons les mesures exceptionnelles prévues par la loi…

    – Selon vous, qui est derrière cette crise ?

    Cette crise a démarré d’abord au sein du parti. Mais quand on analyse la situation, et les événements de cette semaine, on ne comprend rien. Au départ, tous les partis engagés dans cette crise m’avaient exprimé leur soutien. Une heure après, il y a eu un revirement radical. Que s’est-il passé ? Je ne sais pas.

    – Beaucoup pensent que cette alliance des «frères ennemis», FLN-RND, n’a d’autres objectifs que celui de se partager les privilèges, les postes et les dividendes. Qu’en pensez-vous ?

    Moi, je dis qu’il y a eu une rencontre entre les deux, mais autour de quoi ? Je ne sais pas. Peut-être qu’ils ont dû sentir quelque chose… Mais je n’ai pas de réponse pour l’instant. Ce qui est certain, c’est qu’elle n’a aucun lien avec le limogeage du secrétaire général de l’Assemblée. Cette alliance d’intérêts a des visées politiques…

    – Le premier responsable du MPA, parti membre de cette coalition, a évoqué une dissolution de l’Assemblée au cas où les activités du Parlement sont gelées. N’est-ce pas l’objectif recherché ?

    Je ne le pense pas. Cette option ne les arrange pas. De plus, dans des situations pareilles, le président de l’APN a des lois qui lui permettent de gérer. Il peut travailler avec une vingtaine de députés, puis transférer les dossiers au Sénat. Toute cette batterie de mesures peut être utilisée à n’importe quel moment. Nous n’en sommes pas là, pour l’instant. C’est pour cela que je refuse qu’on me dise que je suis en position de faiblesse.

    – Certains de vos détracteurs vous accusent d’avoir rencontré, à Paris, Mouloud Hamrouche et que la discussion a tourné autour de l’élection présidentielle de 2019. Est-ce vrai ?

    Ce n’est pas vrai. A Paris, je n’ai rencontré qu’un seul personnage. C’était le député Bouras Djamel du FLN, qui m’avait invité à un dîner en présence de deux témoins. Il m’avait dit que la famille du président Bouteflika comptait beaucoup sur moi pour la campagne électorale pour un 5e mandat et qu’elle me demande de m’investir.

    Je lui ai répondu que je suis au service du Président, comme je l’ai toujours été depuis son premier mandat. C’est tout ce qui s’est passé entre nous. Et je peux vous dire que ce même député, Djamel Bouras, est candidat au poste de président de l’Assemblée. C’est normal qu’il puisse dire des choses.

    – Ils disent que vous avez limogé le secrétaire général de l’Assemblée parce qu’il a refusé des frais de mission jugés excessifs à vous et à votre chef du protocole. Est-ce le cas ?

    Ils sont malades. Ils pensent que j’ai des sacs pleins d’argent dans mon bureau. Il faut savoir que les frais de mission du président de l’Assemblée sont octroyés par la présidence de la République, et ce, lorsqu’il s’agit d’un déplacement officiel. J’ai été trois fois en France, avec mes propres moyens. Il n’y a pas de frais de mission.

    – Et votre accompagnateur ?

    En ce qui le concerne, il y a un règlement qui définit le montant parce qu’il m’accompagne là où je vais dans le cadre de sa mission. C’est le comptable qui fait le décompte sur la base d’un barème bien établi pour chaque pays. Ce n’est pas Bouhadja qui lui donne cet argent.

    – Est-il vrai que le barème est de 25% et que vous, vous lui accordiez 100% ?

    Ce n’est pas moi qui décide du montant et c’est le secrétaire général qui signait. Comment pourrais-je connaître les méandres des finances? Je donne juste la durée et c’est le comptable qui décide.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      De toutes ces jéréliades, j'ai retenu ceci:
      J’ai trouvé des députés qui avaient pris cinq véhicules, d’autres trois, etc.
      ça me rappelle les documentaires sur les hyènes et les divers charognards sur animal planète.
      Ya errab ! et ils osent prétendre être les représentants du peuple et qu'ils sont là uniquement pour œuvrer à son bien-être !!!

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      • #4
        Djamel Ould-Abbès promet de faire des «révélations inédites» en 2019

        AP - novembre 10, 2018 - 6:28 Kenzi Adam


        Par R. Mahmoudi – Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould-Abbès, a toujours une de ces saillies captivantes pour «égayer» la scène politique ou pour casser le ronronnement qui domine les débats, alors que ses sorties ne sont pas toujours bien accueillies par l’opinion et, parfois même, par les décideurs.



        Dans une déclaration, vendredi, à la chaîne de télévision privée El-Bilad TV, Djamel Ould-Abbès promet de faire des révélations «inédites» dans ses mémoires qui devraient sortir lors de la 24e édition du Sila qui aura lieu en octobre-novembre 2019. Il a affirmé que ces révélations se rapporteront à des choses qu’il n’a jamais pu évoquer auparavent en raison de l’«obligation de réserve». Ce qui, logiquement, signifie qu’à la parution de ces mémoires en 2019, Djamel Ould-Abbès aura quitté la vie politique et ne serait lié par aucun engagement organique, ni politique au sein de son parti ou dans l’Exécutif.

        Or, pour l’instant, l’homme n’esquisse aucune prédisposition à quitter son poste très convoité de secrétaire général du parti. L’incroyable guerre qu’il a livrée, il y a quelques semaines, contre le président de l’APN, Saïd Bouhadja, pour le déloger montre, au contraire, une volonté inébranlable pour défendre son autorité.

        Si ce scénario venait à se réaliser, il serait sans doute le seul chef de l’ex-parti unique à céder volontairement le trône, et ouvrirait une nouvelle ère au sein de son parti. Car, on sait que, depuis au moins l’ouverture démocratique de 1989 et l’abolition du régime du parti unique, tous les secrétaires généraux du FLN ont été éconduits par des «coups d’Etat». De Mehri à Saïdani, en passant par Benhamouda, Benflis et Belkhadem, tous ont été imposés par des coups de force et aucun n’a terminé normalement son mandat.

        Le patron du FLN a tenu à préciser, dans la même interview à El-Bilad TV, que ses mémoires lui auraient pris six ans d’écriture et qu’elles résumeront «soixante ans de lutte». Ce qui fixe déjà le début de son engagement à l’année 1958-1959.
        Nous annonce-t-il enfin son départ ?
        Othmane BENZAGHOU

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