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J’ai planifié la nationalisation du pétrole aux Etats-Unis

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    Khelil : «J’ai planifié la nationalisation du pétrole aux Etats-Unis»
    AP - octobre 4, 2018 - 2:51 Kenzi Adam 0 Commentaire

    Par Hani Abdi – L’ex-ministre de l’Energie Chakib Khelil poursuit son offensive médiatique en multipliant les conférences et les interventions sur, notamment, sa chaîne Youtube et ses comptes Facebook et Tweeter.



    Fort de quelque 550 000 fans, l’ex-ministre de l’Energie ne cesse de faire l’éloge de ses réalisations. Dans sa dernière vidéo mise en ligne, Chakib Khelil raconte comment il a planifié la nationalisation des hydrocarbures à partir des Etats-Unis d’Amérique. «La nationalisation des hydrocarbures ne s’est pas faite du jour au lendemain. Il a fallu des mois et des mois de préparation. J’ai planifié cette nationalisation avec une équipe de 7 ingénieurs à partir des Etats-Unis», affirme Chakib Khelil qui révèle aussi avoir occupé un poste de responsabilité au sein de Sonatrach en 1971.

    L’ex-ministre de l’Energie, qui a réussi à sortir indemne des scandales de corruption ayant éclaboussé plusieurs hauts responsables de Sonatrach dans les années 2000, met en avant le «génie» de son équipe qui a pu, selon lui, déjouer une tentative de sabotage des ingénieurs français. «Nous avions mis avec des agents des douanes des ingénieurs qui ont réussi à empêcher les Français de faire sortir des documents extrêmement importants pour la poursuite de la gestion des champs gaziers et pétroliers. Grâce à notre vigilance, ces documents n’ont donc pas quitté le territoire national et nous ont permis de prendre possession plus facilement des installations pétrolières et gazières», souligne Chakib Khelil, selon lequel sept ingénieurs ont pu faire fonctionner les installations et assurer la production, voire même l’augmenter de manière substantielle.

    «Nous avions réussi à atteindre un million de barils par jour, un seuil qu’on n’a pu enregistrer avant mon retour à la tête du secteur de l’Energie en tant que ministre dans les années 2000», assure l’ex-ministre de l’Energie, qui, depuis son retour de l’«exil» américain après l’extinction des poursuites judiciaires contre lui dans l’affaire Sonatrach II, prend ses aises à parler du secteur de l’Energie qu’il connaît si bien.

    Chakib Khelil ne cache pas son ambition présidentielle bien qu’il ne se soit pas encore déclaré candidat pour 2019. En sillonnant le pays à travers des conférences et des visites dans les zaouïas, Chakib Khelil s’est mis dans les habits d’un candidat à la magistrature suprême, lui qui demeure proche du président Bouteflika et de son entourage immédiat.

    H. A.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Sacré farceur ce Khelil. Dans pas longtemps, il va nous affirmer qu'il a dirigé la banque mondiale et que c'est grace à lui que l'Argentine a été sauvée...

    Pourquoi Khlil ne nous dit pas qu'à la fin de ses études américaines payées par l'Algérie en guerre, excusez du peu, il n'est pas rentré servir son pays mais a préféré se faire embaucher par une société pétrolière aux USA. Et il a fallu l'insistance de Boumedienne pour que celui qui avait cassé du sucre sur les négociateurs algériens envoyés aux USA pour la nationalisation du pétrole, pour qui ils s'y prenaient très mal aux yeux de Khalil, pour que Boumedienne exige son retour en Algérie. Au sein de la direction des gisements et de la prospective à la Sonatrach, il ne fit pas l'enfeu et s'est arrangé pour se mettre tout le monde sur le dos, arrogant qu'il a toujours été. Il fut repêché à la présidence en tant que conseillé par son ami d'enfance, qui le rappelait à son chevet des son retour en 1999...
    Dernière modification par ott, 04 octobre 2018, 16h35.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      A les entendre ils ont tous sauvé l'algerie ghir el hezak el khouh

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      • #4
        A les entendre ils ont tous sauvé l'algerie ghir el hezak el khouh
        et ils sont nombreux .
        même techiatt est revendiqué fièrement par les députés pour sauver l’Algérie .
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #5
          Quel est l'avis de Sid Ahmed Ghozali sur Chakib Khalil ???
          Et sur ces déclarations ???

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          • #6
            C'est pas celui qui voulait privatiser les hydrocarbures et qui a été stoppé par Mohammed Mediene ?
            J'aime surfer sur la vague du chaos.

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            • #7
              Jamais de la vie, stoppé, c'est une plaisanterie. Le seul qui se soit opposé à cette loi fut Yazid Zerhouni en conseil des ministres. Il n'y avait aucune opposition du DRS, bien au contraire...
              Othmane BENZAGHOU

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              • #8
                merci pour l'info.
                J'aime surfer sur la vague du chaos.

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                • #9
                  OTT le drs ne siege pas au conseil pour l'ouvrir il laisse des notes a la chefferie et l'interieur dixit yazid zerhouni.

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                  • #10
                    C'est mal connaitre les rouages institutionnels... Il y avait une convergence de vue pour des raisons précises entre le DRS et Bouteflika sur ce sujet, qui tiennent au plan Baker... D'ailleurs, tout les relais ont applaudi cette loi, y compris l'UGTA. C'est à l’échec de ce plan que Bouteflika a décidé de ne pas la ratifier et de changer la loi...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      Ce ripoux prend les Algériens(ne) pour des tarés.La décision de la nationalisation sous l’ère de Boumediene date du début 71 (24 Févier) une opération, une planification surement longuement réfléchie (on n’improvise pas dans ce genre de décision), à cette époque le sieur en question ne se trouver certainement pas aux USA,en tout cas pas en responsable d'une si haute importance … En tenant compte de son âge même s’il était déjà employé à SONATRACH il ne pouvait occuper qu’un poste de subalterne , et en tant que sous-fifre il ne pouvait guère prendre de hautes responsabilités et encore moins les "planifiées" de l’Amérique .
                      Un simple suivie et vérification de son cursus pourrait le confondre aisément.
                      Dernière modification par infinite1, 04 octobre 2018, 22h27.

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                      • #12
                        Le seul moyen pour le RDV d'un homme avec son destin, Ouyahia, de se faire élire, tellement il est honis par les algériens, est d'avoir plus honis que lui comme adversaire, Khelil...
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #13
                          Khelil n'a rien a voir avec ouyahia qui lui malgre tous les defauts (cassant froid etc ..) est le comis par exellence de l'etat d'ailleurs cela lui vaut le surnom de "netoyeur " bref on l'appelle que pour la mission sauvetage, quand à khellil c'est une personne dont l'art est le reseautage sa reussite est dut à sa proximité avec tous ceux qui est decideurs pour etre le relais envers les americains.
                          Le bougre des son retour il caresse les confreries ce que son montor à fait car il a compris sans populisme tu n'existe pas en algerie

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                          • #14
                            Loin de moi l'idée de penser que les 2 sont comparables. Par contre, trouver une explication aux déclarations contradictoires de Ouyahia, quand il affirme que le procureur qui a diligenté une action judiciaire contre un ex-ministre avec un vice de forme volontaire, ordonné par Mediene, le fameux Zeghmati était considéré comme homme valable et compétent par Ouyahia, même comme un ami, pour l'année d'après affirmer qu'on a été très injustes vis-à-vis de Khelil, c'est tellement ubuesque que la seule explication est qu'au dela de faire plaisir aux amis de Khelil, Ouyahia a besoin de Khelil comme adversaire politique pour demander aux algériens de choisir entre la peste et le choléra...
                            Dernière modification par ott, 05 octobre 2018, 15h00.
                            Othmane BENZAGHOU

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