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Crise à l’APN et élections présidentielles / Les précisions d’Ahmed Ouyahia

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  • Crise à l’APN et élections présidentielles / Les précisions d’Ahmed Ouyahia

    Le patron du RND Ahmed Ouyahia a réagi aux rapports médiatiques sur la crise institutionnelle qui touche l’APN, les élections présidentielles. Il a également évoqué la possibilité d’un remaniement ministériel. Fidèle à son style, Ouyahia a versé dans le sarcasme et l’humour noir.

    « On a rapporté que la crise qui fait rage à l’APN va mener vers sa dissolution. Les journalistes qui ont évoqué cette option ont puisé dans leur imagination en affirmant que cela conduira au report des élections présidentielles. Il est vrai que notre production cinématographique a rétréci, mais les scénaristes de l’illusion politique sont présents en force et ils sont prolifique », a-t-il dit, sans pour autant apporter des précisions.

    « Concernant le remaniement ministériel, je dis que c’est une chose tout à fait normale. Me concernant, je sais que beaucoup attendent avec impatience que je parte. Je sais que je dérange, malgré le fait que je ne fais pas plus que mon travail », a-t-il encore ajouté.

    À la question de savoir si les élections présidentielles auront lieu en 2019, le patron du RND, qui porte également la casquette de Premier ministre, a affirmé que le scrutin aura lieu en avril 2019, soulignant que la date exacte n’a pas encore été arrêtée.
    Algérie Focus

  • #2
    Il est scandaleux qu'un homme qui préside le gouvernement dise dans qu'il ne sait ce que dit la constitution ou le règlement intérieur de parlement justifie un acte illégal de ses élus qui veulent pousser à la démission un élu pour 5 ans dans son poste. UNE HONTE pour ce pays et le représentant d'une majorité qui confirme un acte illégal avec une extrapolation à sa guise d'une constitution pour dit'il des réalité du terrain...

    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Le pavé dans la mare de Saïd Bouhadja

      Liberté - Par Ali Boukhlef - le 06-10-2018 11:00

      La crise qui secoue actuellement le Parlement remet au goût du jour le débat sur la réalité de la prise de décision au sommet de l’État.

      Les deux parties en conflit, à savoir Saïd Bouhadja, président de l’APN, et les députés des partis de “la majorité”, attendent le sifflet d’un arbitre. Tous les deux se réfèrent à une présidence de la République où visiblement il n’y a pas de répondant. Si l’absence de l’arbitrage est désormais connue, une phrase, prononcée jeudi par Saïd Bouhadja confirme en réalité ce que d’aucuns pensaient depuis quelques années déjà. Dans les arcanes du pouvoir, beaucoup parlent, décident et parfois font du mal au nom du chef de l’État. “Ils sont juste en train de parler au nom de la Présidence”, a répondu le président de l’APN à une question d’El Watan sur le fait de savoir s’il a le soutien de la Présidence ou pas. “(…) le ministre chargé des Relations avec le Parlement est venu me voir, m’informant qu’il était porteur d’un message de la Présidence, me demandant de réintégrer le secrétaire général. Je pense que je suis très proche de la Présidence, qui n’a pas besoin de m’envoyer des messages (…) J’ai été contacté par le secrétaire général du FLN, qui lui aussi dit avoir entre ses mains une décision de la Présidence d’annulation de la mise de fin de fonction du secrétaire général. Je lui ai dit envoyez-moi cette décision, mais il ne l’a pas fait. Moi, j’attends la réponse de la Présidence”, a-t-il dit au même journal. “Si la Présidence était contre moi, elle m’aurait informé et la question serait résolue tout simplement, ce qui n’est pas le cas”, a également affirmé Saïd Bouhadja au site TSA. Ces révélations sont, en effet, révélatrices de l’utilisation du nom de chef de l’État à tort et à travers. Car, dans l’autre camp, on n’hésite plus à évoquer “des lignes rouges” que Saïd Bouhadja aurait franchies. Djamel Ould-Abbes est allé jusqu’à déclarer que le président de l’APN n’a pas “appliqué” une “décision” du chef de l’État qui consistait à “réhabiliter” le secrétaire général de l’Assemblée populaire nationale démis de ses fonctions. Le même argument est avancé à chaque fois par les partisans de la destitution de l’actuel président de l’Assemblée populaire nationale. Mais jusqu’au moment de la rédaction de ces lignes, cette intervention n’a pas eu lieu. Parce que s’il y avait une intervention présidentielle, la situation de blocage n’atteindrait probablement pas les proportions actuelles. Cette sortie de Saïd Bouhadja confirme les inquiétudes d’une partie de l’opposition. Plusieurs personnalités et partis politiques ont en effet alerté sur le risque de voir des “forces extraconstitutionnelles” prendre les centres de décision politique comme le rappelle le président de Talaie El-Houriat, Ali Benflis. Même la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, s’est interrogée à plusieurs reprises sur l’origine de certains discours et décisions attribués au chef de l’État. Cela est d’autant plus vrai que des décisions contradictoires ont été prises. Certaines ont même été “corrigées” quelque temps après, ce qui a donné l’impression de la multiplication des centres de décision. C’est une alerte que lance donc Saïd Bouhadja qui ne peut être soupçonné d’être un opposant. Car, cette approche n’est développée que par les partis de l’opposition et une partie de la presse. Un appel qui a certainement besoin d’un retour d’écoute.

      Ali Boukhlef
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Il est scandaleux qu'un homme qui préside le gouvernement dise dans qu'il ne sait ce que dit la constitution ou le règlement intérieur de parlement justifie un acte illégal de ses élus qui veulent pousser à la démission un élu pour 5 ans dans son poste. UNE HONTE pour ce pays et le représentant d'une majorité qui confirme un acte illégal avec une extrapolation à sa guise d'une constitution pour dit'il des réalité du terrain...
        lol tu n'as rien compris... il demande à bouhadja de partir !

        c ta haine de ouyahia qui te fais parler

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        • #5
          Il est qui pour demander au président de l'APN de partir. Contente toi de divaguer et évite de venir expliquer la vie à tort et travers à tout bout de champs...

          qu'il a fait passer pour vendre une partie des activités de sonatrach et que le DRS in extremis a réussi à tuer au parlement. moralité vendu pour vendu je préfère la france que el miricaine
          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...77#post6206977

          Concernant Ouyahia, il a une part importante ans le désastre national et je n'ai aucun problème à dire publiquement qu'il faut qu'il débarrasse la plancher...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            Il est qui pour demander au président de l'APN de partir.
            il s'exprime en tant que chef de parti !!!


            je te confirme : ve,du pour vendu je préfère france a lmiricaine...

            Commentaire


            • #7
              Et alors, depuis quand un chef de parti a le droit d'interpréter à sa guise la constitution...

              Pour ce qui est du marché de dupes, ça fait longtemps que j'ai compris à qui j'avais à faire pour le support maladroit du DRS que tu étais... J'espère que le deuil n'est pas trop douloureux, car il semble qu'il t'a fait perdre le peu de lucidité qui te restais, en divagant sur la France... Quel cirque...
              Othmane BENZAGHOU

              Commentaire


              • #8
                je te confirme : ve,du pour vendu je préfère france a lmiricaine...
                vendu restera vendu. pour l'un comme pour l'autre ce n'est qu'un harki!

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                • #9
                  vendu restera vendu. pour l'un comme pour l'autre ce n'est qu'un harki!
                  je suis désolé, chakib khelil n'est pas un harki.
                  il a jute une vision pour l'algérie..
                  le vocabulaire des algérien est très pauvre..
                  à part harki yahoudi il n'y a rien..
                  normal c un peuple de non lecteurs qui cachent leur incompétence avec la haine des autres cultures
                  amicalement

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                  • #10
                    Ouyahia est legaliste il renvoi la patate "bouhadja" a ceux qui l'ont elus "les deputés", et dit texto le president ne l'a pas nommé, il a ete elu et ceux qui l'ont elu c'est a eux que revient la decision de la demission, ce qui veut dire que bouhadja est un elu d'un parti et que celui ci lui demande de sortir de l'arene
                    1 pas de decret a attendre de boutef
                    2 les jeux de 2019 sont lancés

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                    • #11
                      Légaliste, faut pas exagérer. La constitution ne prévoie pas le vote de confiance vis-a-vis de leur président. Tout interprétation libre de la constitution doit passer par le conseil constitutionnel. Et je doute qu'ils oseront en arriver à cela car ce sera un noeud gordien qu'ils ne metriseront plus... le mieux que puisse faire cette bande de charognards qui utilisent le nom du président à tort et à travers c'est de rendre leur tablier pour éviter les collibets, autrement ça va chauffer pour leur gueule...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #12
                        Légaliste, faut pas exagérer. La constitution ne prévoie pas le vote de confiance vis-a-vis de leur président. Tout interprétation libre de la constitution doit passer par le conseil constitutionnel.
                        En effet, au lieu de se livrer à un fleuret moucheté guignolesque par l'entremise des médias, ils auraient du saisir le Conseil constitutionnel qui a compétence à trancher sur les conflits politiques de cette nature.

                        Toutefois, il est plus que probable que les responsables du FLN et du RND de même que Bouhedja, agissent à l'instigation d'une seule et même personne: celle qui les a désignés.
                        ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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                        • #13
                          C'est au fln de faire le job , bouhadja est membre de ce parti et president de l'apn à sa demande.
                          Ce que demontre cet episode c'est la non reaction de la presidence (ou de ce qu'il en est) quand a la confiance en politique quand ceux qui te place demande ton depart tu execute sinon demissionne de ton parti les choses seront claires

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