Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Sahara Occidental: une bonne nouvelle!(fiction)

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Sahara Occidental: une bonne nouvelle!(fiction)

    Tahar Benjelloun- nommé aussi le fou du roi- doit être sous l'emprise du cannabis afin de pondre une telle cacophonie.

    - Jamais les Algériens n’ont considéré les Marocains comme des ennemis, ni les Marocains n’ont considéré les Algériens comme des ennemis. Ils s’appelaient des «pays frères». Il était temps qu’ils retrouvent concrètement cette fraternité active, constructive, positive et ouverte sur l’avenir.

    Enfin une bonne nouvelle en cette période plutôt difficile. Le gouvernement algérien, après réflexion et consultation des dirigeants de l’armée, a décidé de répondre positivement à l’invitation de l’émissaire du SG de l’ONU pour le Sahara, l’ex-président allemand Horst Köhler. L’Algérie sera présente à Genève à côté du Maroc, de la Mauritanie et aussi de sa création: le Polisario.

    Le fait d’avoir écouté la voix de la raison, d’avoir décidé de mettre fin à une situation absurde, d’avoir enfin évalué ce qu’elle a perdu en maintenant ce conflit et ce qu’elle gagnerait en faisant le choix de la paix, est un fait historique, important qu’il faut porter à l’honneur et la dignité du peuple algérien.

    Genève est une plaque tournante essentielle pour trouver des solutions aux conflits les plus complexes. Il n’y a pas de raison pour que celui-ci ne soit pas résolu après quelques jours de discussion, d’échanges d’idées et de propositions allant dans le sens du bien-être du grand peuple maghrébin, qui, espérons-le, sera bientôt uni et formera une entité stable, forte et solidaire, une sorte d’Europe réussie, à échelle humaine, composée de cinq pays où les frontières ne serviront plus à rien.
    (…).
    L’union, non seulement fait la force, mais inspire le respect et la considération. Il faut dire que l’image du Maghrébin en Europe souffre à cause de l’arrivée clandestine de migrants partis dans des conditions humiliantes des côtes maghrébines. Demain, quand le Maghreb sera uni et fort, il n’y aura plus besoin de quitter son pays pour une aventure souvent interrompue par la mort. Le Maghreb sera riche parce qu’il aura consolidé ses ressources dans l’esprit d’une belle et magnifique solidarité sur fond d’une démocratie réelle, vive et respectueuse de la volonté des populations. Cette union sera le meilleur barrage contre la corruption, le gaspillage et la course à l’armement qui menace de ruiner les économies de ces cinq pays.

    Une bonne nouvelle! N’est-ce pas? D’accord, c’est une fiction, mais il n’est pas interdit de rêver-.

    Tahar Benjelloun -le fou du roi- in le 360.ma

  • #2
    Ce n'est qu'un petit chien avec un queue de crayon qui efface Manhasset et le reste

    ..Le Maghreb sera riche parce qu’il aura consolidé ses ressources dans l’esprit d’une belle et magnifique solidarité sur fond d’une démocratie réelle, vive et respectueuse de la volonté des populations
    Partage d'abord tes revenus avec tes propres frères au royaume

    Pour toi un référendum au Sahara n'est pas une démocratie

    Les Pays-Bas n'avaient pas besoin de la Belgique pour se développer et vice versa, ni gaz ni phosphate ni le nombre d'habitants...
    Dernière modification par MEC213, 08 octobre 2018, 17h13.

    Commentaire


    • #3
      Dommage que Tahar Benjelloun n'ait effleuré la question: Et pourquoi pas un Maghreb à six comme le préconise Jean Ziegler?

      - Et pourquoi pas un Maghreb à six?

      La construction du Grand Maghreb est entrée dans une phase décisive, avec la formation d’une Union du Maghreb arabe décidée le 17 février dernier par les cinq chefs d’Etat réunis à Marrakech (Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie), mais la guerre du Sahara occidental reste un obstacle gênant, que les communiqués maghrébins ont d’ailleurs tendance à passer sous silence. Car, officiellement, le conflit ne concerne plus désormais que le Maroc et les dirigeants de la République arabe sahraouie démocratique (RASD).

      La réconciliation algéro-marocaine, consacrée par la visite du président Chadli à Fez le 6 février 1989, devrait normalement faciliter le dénouement du conflit. Mais des obstacles de taille se dressent encore sur le chemin de la paix, malgré les progrès accomplis ces derniers mois. Le 30 août 1988, à Genève, le ministre marocain des affaires étrangères et M. Béchir Mustapha Sayed, dirigeant historique et numéro deux du Front Polisario, ont, chacun de son côté, accepté le principe d’un référendum d’autodétermination sous contrôle des Nations unies.

      Le 4 janvier 1989, après de multiples et secrètes rencontres entre les deux belligérants, le roi Hassan II reçut en son palais de Marrakech trois membres du comité exécutif, la plus haute instance du Front. Parmi eux, outre M. Béchir Mustapha, MM. Ibrahim Ghali, ministre de la défense, et Mahfoud Ali Beiba, premier ministre de la RASD. Rencontre historique, suivie d’une autre, tout aussi officielle, entre le roi et les dirigeants de la RASD et du Front en février. La guerre du Sahara occidental, qui, en quinze ans, a déjà fait des milliers de morts et de mutilés des deux côtés, est-elle sur le point de se terminer enfin ?

      Les deux belligérants n’ont pour l’instant accepté que deux points précis du plan des Nations unies. La question posée lors du référendum sera : « Etes-vous pour l’indépendance ou pour l’intégration au Maroc ? » Ceux qui seuls auront le droit de se prononcer sont les Sahraouis qui figurent sur les listes du dernier recensement effectué en 1974 par le colonisateur espagnol : en tout, 74 902 personnes, dont les deux tiers environ se trouvent dans les campements près de Tindouf en "territoire libéré".

      Le Monde diplomatique, mars 1989, page 14

      Commentaire


      • #4
        Soumission extrême au Makhzen ????

        Algérie-Maroc/ Les faux bons sentiments de Tahar Ben Jelloun

        Tahar Ben Jelloun a encore fait des siennes.

        Dans une chronique publiée sur le blog 360 du média digital marocain éponyme, il a poussé un « coup de gueule », aux allures de procès, quant au gâchis des relations algéro- marocaines.

        Dans un élan critique, introduit des phrases assassines faisant subtilement référence aux propos de Nicolas Sarkozy sur notre pays, il y a quelques jours, Tahar Ben Jelloun rappelle « les difficultés » de voisinage.


        Cette critique virulente résonnerait encore plus comme anti-algérienne, si elle n’était tempérée par la vision d’un Maghreb uni, où « l’important aujourd’hui est de dépasser les égoïsmes et de construire un nouveau Maghreb, uni, dévoué à ses peuples dans une solidarité et une volonté de croire au vieil adage : l’union fait la force ».

        Cette chronique semble faire écho à l’irritation ressentie du Makhzen concernant le soutien indéfectible de l’Algérie à l’autodétermination du peuple sahraoui. Une prise de position vivement dénoncée par l’écrivain marocain et à laquelle s’ajoute, selon sa propre énumération, différents événements conflictuels entre l’Algérie et le Maroc, soulignant « l’entêtement de l’Etat algérien », rendant impossible toute possibilité de voir se cristalliser un Maghreb uni. « C’est ainsi que ce qu’aurait pu être l’Union du Maghreb est devenu un chiffon de papier sans importance ».

        Une critique sur fond de vérité ?

        Si la valorisation de la réalité marocaine, comme modèle d’émancipation démocratique, qui « se bat comme il peut pour devenir sur le plan économique un Etat émergent et sur le plan politique un Etat de droit», est largement exagérée, les critiques de Tahar Ben Jelloun, quant aux problèmes internes à la société algérienne ne sont pas totalement fausses.

        Toutefois, il serait faire preuve d’une puérilité insoutenable de ne pas y voir une critique dissimulant mal un intérêt de contrôle territorial. Tahar Ben Jelloun surfe, pour accréditer ses critiques, sur les actions terroristes récentes et sur une prétendue découverte de « camps de réfugiés sahraouis à Tindouf servent de camps d’entraînement aux terroristes d’AQMI ».

        Par cette nouvelle sortie, le prix Goncourt 1987, apporte une fois de plus son onction a la politique du Makhzen.
        Ceci est bien évidemment son droit le plus absolu, si ce n’était cette tendance maladive à faire diversion, en usant et abusant de l’épouvantail algérien.

        Sara Grar
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

        Commentaire


        • #5
          tahar ben machin est comme toutes les chitas, lui soumis au makhzen et elles eux soumis aux harkis lacostistes wlidates franssa....

          Commentaire


          • #6
            Tahar Ben Jelloun de la Françafrique ???
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

            Commentaire


            • #7
              tahar ben machin est comme toutes les chitas, lui soumis au makhzen et elles eux soumis aux harkis lacostistes wlidates franssa....

              Commentaire


              • #8
                Tahar Ben Jelloun de la Françafrique ???

                A l image du Makhzen !!!!
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire


                • #9
                  tahar ben machin est comme toutes les chitas, lui soumis au makhzen et elles eux soumis aux harkis lacostistes wlidates franssa....

                  Commentaire


                  • #10
                    @overclocker

                    Ton langage nauséabond , dépravé a l image du royaume " de M6 "

                    L APLAVENTRISME et soumission au Makhzen
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                    Commentaire

                    Chargement...
                    X