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Algérie : un organisme belge appelle à l’embargo contre l’armée algérienne

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  • Algérie : un organisme belge appelle à l’embargo contre l’armée algérienne

    Le groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité (GRIP), un organisme basé à Bruxelles en Belgique, a publié récemment un rapport sur les importations d’armes par l’Algérie. Un rapport dans lequel cet organisme a notamment appelé les pays membres de l’Union Européenne à » être vigilants avant d’octroyer les licences d’exportations d’armes à l’Algérie « .

    » L’Algérie a été le 7e plus grand importateur d’armes conventionnelles au monde pendant la période 2013-2017 » , note le GRIP dans son rapport, qui explique également que » les importations algériennes d’équipements militaires ont constitué 3,7% des exportations au niveau mondial et 52% au niveau du continent africain « .


    Pour cet organisme belge, le fait que l’Algérie accorde une grande part de son budget au secteur de la défense » s’explique par l’influence de l’armée algérienne dans la politique du pays « . Le GRIP estime également que l’Algérie » nécessite un changement de régime » et évoque notamment une » faiblesse des partis politiques d’opposition » , ainsi que des » taux élevés de chômage et de corruption endémique « . Des éléments qui pourraient conduire, toujours selon le même organisme, à » une nouvelle révolte populaire « .

    Le GRIP a enfin appelé les pays membres de l’Union Européenne à » être vigilants » dans l’exportation d’armes à l’Algérie, arguant que celles-ci » pourraient servir pour commettre des actes de répression et de violation des droits humains « .

    Par Jugurta Nam

  • #2
    Ah ouéé!
    Et si des algériens sont tués avec ces armes le GRIP viendra verser ses larmes de crocodiles sur leur sort.
    ça me donne de la GRIPPE.
    Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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    • #3
      Shkoun hadou GRIP? Yaatihom 7emma inshallah
      Une armée forte est une bonne chose, surtout pour un pays comme l'Algérie

      Commentaire


      • #4
        Par Jugurta Nam
        Bon après quand c'est écrit par des jugurtha en carton,comment donner crédit à des clowns pareils...
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #5
          Envoyé par Vanilla
          Shkoun hadou GRIP? Yaatihom 7emma inshallah
          Une armée forte est une bonne chose, surtout pour un pays comme l'Algérie
          Voire la liste des titres postées par Bachi il n'y a rien de Bio en Algerie

          Commentaire


          • #6
            Vanilla Shkoun hadou GRIP?

            Selon Algérie patriotique à qui je n'accorde aucune crédibilité

            Un centre belge lié au Maroc appelle à un embargo contre l’armée algérienne


            La puissance de l'armée algérienne dérange les ennemis de l'Algérie. D. R.
            Par Kamel M. – Le Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité (GRIP) basé à Bruxelles, a insinué, dans une étude récente, que si l’armée algérienne se dote en nouveaux équipements, c’est pour renforcer son influence à l’intérieur du pays. «La priorité accordée au secteur de la défense dans le budget (de l’ANP, ndlr) s’explique par l’influence de l’armée algérienne dans la politique du pays», écrit cet organisme à propos duquel des sources informées ont indiqué à ****************** qu’il est intimement lié au Maroc. «Tous les articles publiés par le GRIP belge sur notre pays émanent des cercles marocains proches du Makhzen», nous explique-t-on.



            Les écrits sur la position de l’armée algérienne et ses dépenses en matière d’armement sont récurrents. «L’Algérie a été le 7e plus grand importateur d’armes conventionnelles au monde pendant la période 2013-2017», insiste ce centre qui note que «les importations algériennes d’équipements militaires ont constitué 3,7 % des exportations au niveau mondial et 52% au niveau du continent africain».

            Ce genre de publications vise évidemment à démontrer le déséquilibre des forces entre les deux pays voisins, d’autant que le think tank belge a été sollicité par le Makhzen par souci de proximité avec l’Union européenne que Rabat amadoue pour gagner ses faveurs, notamment depuis l’échec des négociations sur les accords conclus entre l’Union européenne et le voisin de l’Ouest. Le Maroc éprouve le besoin de se présenter comme une victime expiatoire de l’Algérie qui «attente» à sa souveraineté nationale et «constitue une menace» pour sa sécurité et son intégrité territoriale.

            L’analyse de la situation en Algérie par le GRIP est apocalyptique. Elle décrit un pays au bord de l’explosion qui nécessite un «changement de régime» dont les «ingrédients sont réunis». Le centre belge pro-marocain parle notamment de «faiblesse des partis politiques d’opposition», de «taux élevé de chômage», de «corruption endémique» et de «dépendance envers les exportations d’hydrocarbures». Le tout greffé à «l’incapacité du gouvernement algérien à surmonter les problèmes sociaux actuels», si bien que «l’insatisfaction croissante de la jeunesse pourrait être le symptôme d’une nouvelle révolte populaire».

            Le centre conclut en «appelant les Etats membres de l’UE à être vigilants avant d’octroyer les licences d’exportation d’armes à l’Algérie». Une attitude qui rappelle étrangement l’embargo auquel l’armée algérienne avait été soumise dans les années 1990, sur instigation de la France, pour l’empêcher de venir à bout des groupes islamistes armés. Le GRIP reprends les mêmes arguments éculés du «risque» que ces armes «pourraient servir pour commettre des actes de répression et de violation des droits humains». Le centre créé par les services marocains met la puce à l’oreille des Européens sur le «surarmement algérien (…) qui ne manque pas de constituer une menace à la paix et à la stabilité pour la région et son voisinage euro-méditerranéen».

            L’ANP dérange et prouve par sa vigilance constante et ses capacités sans cesse renouvelées et renforcées, qu’elle est sur la bonne voie.

            K. M.

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            • #7
              Bon après quand c'est écrit par des jugurtha en carton,comment donner crédit à des clowns pareils...
              je ne connais pas mais je l'ai lu en de nombreux articles. Il n'est pas si mal

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              • #8
                Voire la liste des titres postées par Bachi il n'y a rien de Bio en Algerie
                On ne peut être tous des nationaleux à la con ou des batterie autistique

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                • #9
                  Lorsque la malhonnêteté et l'absence d'éthique se fait journaliste

                  Je viens de lire le dit rapport, il n'a rien à voir avec l'article posté dont voici la :

                  Conclusion
                  Le paysage sécuritaire en Afrique du Nord a connu plusieurs changements majeurs au cours des dernières années. Les acquisitions d’équipement de défense de la part des pays maghrébins paraissent actuellement motivées par des facteurs de sécurité, de prestige national et de rivalité régionale. Le Maroc, comme l’Algérie, sont immergés dans un processus de surarmement visant à moderniser leur armée nationale dans une logique d’équilibre de puissances. De son côté, la Tunisie ne dispose pas des ressources suffisantes pour rivaliser avec ses voisins. Toutefois, la crainte de nouvelles révoltes populaires et des répressions violentes semblables à celles du « Printemps arabe » ont également stimulé les importations tunisiennes d’armement. Consciente de la montée de la menace terroriste, du trafic illégal et du grand afflux de migrants qui arrivent dans son territoire depuis le nord de l’Afrique, l’Union européenne renforce sa coopération en matière sécuritaire, frontalière et politique avec les pays du Maghreb au moyen de partenariats62. Ainsi, les transferts d’armes à l’Algérie, le Maroc et la Tunisie s’inscrivent dans une logique d’externalisation des politiques sécuritaires de l’UE et correspondent à une volonté des pays maghrébins de coopérer avec celle-ci dans le domaine de la défense et de la sécurité.

                  À cet égard, les pays de l’Union européenne se trouvent dans une situation particulière. D’un côté, ils prétendent baser leur rôle de puissance internationale et régionale, notamment, sur la promotion de la démocratie et du respect des droits de l’Homme, ainsi que sur la résolution pacifique des conflits. D’un autre côté, les États membres donnent davantage d’importance à leurs intérêts stratégiques et sécuritaires. À l’aide de la Position commune, ils cherchent à promouvoir les valeurs fondamentales de l’Union européenne dans un domaine controversé comme celui du commerce d’armes. Toutefois, malgré l’existence du Guide d’utilisation, dans la pratique chacun des États membres a sa propre interprétation des critères.

                  Un exemple illustratif est le cas des exportations d’armes européennes aux pays du Maghreb. En dépit de leur situation d’instabilité interne et régionale, et leur respect médiocre des droits de l’Homme, cette zone présente un intérêt stratégique pour certains pays de l’UE. Le tableau 1 montre effectivement qu’à de rares occasions, les États membres opposent des refus à des exportations d’armes vers les pays étudiés. Toutefois, le nombre de refus reste infiniment inférieur à celui des licences autorisées. L’octroi des licences d’exportation d’armes des États membres à destination des pays maghrébins semble être soumis à des objectifs économiques et industriels plutôt qu’à des principes moraux et humanitaires. Les accords d’exportations de ce type de marchandises peuvent contribuer à renforcer la sécurité des États participant au transfert. Cependant, ils peuvent paradoxalement aussi alimenter les tensions internes et régionales.

                  Les critères d’évaluation de la Position commune ont pour objectif d’éviter que les armes exportées soient utilisées par des destinataires non désirés ou pour une utilisation non souhaitée. Néanmoins, les évènements récents rappellent que les politiques européennes encadrant les transferts d’armes ne sont pas suffisantes et qu’il existe toujours des risques d’usage non autorisé de la part des utilisateurs finaux. Dans le cas précis des pays du Maghreb, avant d’octroyer des licences d’exportation d’armes, il est nécessaire de mettre en perspective les impératifs sécuritaires actuels et les potentielles conséquences des transferts d’armes sur la stabilité et la sécurité interne et régionale à long terme. Aujourd’hui, l’Union européenne est loin d’avoir atteint les objectifs fixés dans la Position commune de 2008 en matière de contrôle des exportations en armements. Toutefois, en cette année 2018, à l’occasion de son dixième anniversaire, les États membres ont entamé un processus de révision de la Position commune qui pourrait leur permettre de corriger certaines de ses lacunes afin d’arriver à une politique plus stricte en matière de transferts d’armes.
                  Dernière modification par jawzia, 10 octobre 2018, 16h19.

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                  • #10
                    je ne connais pas mais je l'ai lu en de nombreux articles. Il n'est pas si mal
                    j'en ai lu quelques un et pas tous,ses écrits sont du calibre des caricatures de ainouche,sans saveurs et sans talent .
                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                    Commentaire

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