CRISE AU PARLEMENT :
Le FLN menace Bouhadja de sortir les dossiers noirs
Avec la persistance de la crise au parlement et le refus de Bouhadja qui irrite ses adversaire en refusant de jeter l’éponge, et près l’échec de toutes les méthodes utilisées jusqu’ici pour le pousser vers la porte de sortie, le FLN peut envisager, en dernier recours, de lui sortir «son dossier noir » que le parti détiendrait contre lui et qu’il aurait tu jusqu’ici, avec tout ce qu’il traînerait comme «casseroles».
En effet, c’est ce qu’a révélé l’ex-chef du groupe parlementaire du FLN, Saïd Lakhdari, dans une déclaration vendredi au journal arabe Ray Al-Yawm. Le député promet que le retentissement de ces révélations obligerait Bouhadja à déposer sa démission «tout de suite».
Pour ce député de la majorité, la virée effectuée jeudi par Saïd Bouhadja dans les rues de la capitale, sans garde rapprochée, est plutôt «un signe d’adieu».
Revenant sur les motifs de la démarche lancée par les députés de la majorité pour la destitution du président du Parlement, Lakhdari dira que les cinq groupes parlementaires «n’ont pas agi spontanément, mais sur instruction de la partie qui l’a désignée», faisant allusion à la présidence de la République.
Or, sur ce point, Saïd Bouhadja maintient que la Présidence ne lui a encore fait aucun signe lui suggérant de partir et que, bien au contraire, des émissaires lui auraient fait savoir que le président Bouteflika «ne veut pas qu’il parte».
REFLEXION
Samedi 13 Octobre 2018
Le FLN menace Bouhadja de sortir les dossiers noirs
Avec la persistance de la crise au parlement et le refus de Bouhadja qui irrite ses adversaire en refusant de jeter l’éponge, et près l’échec de toutes les méthodes utilisées jusqu’ici pour le pousser vers la porte de sortie, le FLN peut envisager, en dernier recours, de lui sortir «son dossier noir » que le parti détiendrait contre lui et qu’il aurait tu jusqu’ici, avec tout ce qu’il traînerait comme «casseroles».
En effet, c’est ce qu’a révélé l’ex-chef du groupe parlementaire du FLN, Saïd Lakhdari, dans une déclaration vendredi au journal arabe Ray Al-Yawm. Le député promet que le retentissement de ces révélations obligerait Bouhadja à déposer sa démission «tout de suite».
Pour ce député de la majorité, la virée effectuée jeudi par Saïd Bouhadja dans les rues de la capitale, sans garde rapprochée, est plutôt «un signe d’adieu».
Revenant sur les motifs de la démarche lancée par les députés de la majorité pour la destitution du président du Parlement, Lakhdari dira que les cinq groupes parlementaires «n’ont pas agi spontanément, mais sur instruction de la partie qui l’a désignée», faisant allusion à la présidence de la République.
Or, sur ce point, Saïd Bouhadja maintient que la Présidence ne lui a encore fait aucun signe lui suggérant de partir et que, bien au contraire, des émissaires lui auraient fait savoir que le président Bouteflika «ne veut pas qu’il parte».
REFLEXION
Samedi 13 Octobre 2018
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