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Urgence signalée en Algérie

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  • Urgence signalée en Algérie

    La situation financière du pays n’est pas au mieux. Elle inquiète même, tant est que le gouvernement se montre toujours frileux quant à oser la bonne réaction : engager les réformes structurelles que lui recommande, désormais, la Banque d’Algérie qui, pourtant, n’a pas pour habitude d’interpeller l’Exécutif. Si elle le fait aujourd’hui, c’est sûrement parce qu’elle a ressenti — elle est bien placée pour le faire — la nécessité impérieuse de vite appliquer le “garrot” pour stopper la fonte des réserves de change qui impactent négativement la balance des paiements. Entre 2014, date à laquelle a commencé la dégringolade des prix du pétrole sur les marchés internationaux, et aujourd’hui, les réserves de change du pays se sont contractées à hauteur de 105 milliards de dollars.
    Ce qui est énorme, mais surtout préoccupant, pour un pays dont le gouvernement n’arrive toujours pas ou ne veut pas se rendre à cette orthodoxie économique que les experts n’ont de cesse de lui rappeler : réduire les importations et diversifier les sources de rentrée de devises, c’est-à-dire exporter plus hors hydrocarbures. Si le système de contingentement des exportations auquel l’Exécutif a recouru pour préserver les économies du pays en devises n’a pas stoppé la fonte des réserves de change, c’est que soit il ne constitue pas la bonne solution ou alors il est mal appliqué, sinon insuffisant.
    À vrai dire, ce qui a fait l’échec de la stratégie du gouvernement en la matière, c’est le concours des trois facteurs. Mais pas que : il a manqué à l’Exécutif de réussir à diversifier et à relever les exportations. Et dans cela, les opérateurs économiques, du moins pas tous, ne peuvent pas être en cause. En effet, et nul besoin de faire les grandes écoles pour le savoir, pour exporter plus, il faut produire localement en quantité, mais aussi en qualité. Or, cela n’est pas possible dans une gouvernance économique soumise aux désidératas des clientèles. Malheureusement, c’est dans ce climat des affaires, peu encourageant, voire même infécond pour les investissements, que s’envasent les initiatives les plus prometteuses.

    Liberté Algérie

  • #2
    Waw waw khlate la fin du monde

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    • #3
      "climat des affaires" slogan repeter dans tous les medias, mais aucun ne dit de quoi il s'agit:

      quand on encourage pas la production locale ne serai ce que par des taxes substentielles on ne peut reussir à boucher les trous que les rats provoque pour des raisons mercantiles (import fausses factures sabotage des unités de productions qui gene etc.....)

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      • #4
        avec le prix du baril grace au Blondinet ils ont du faire une sacree plue value depuis janvier..et ça va continuer quelques mois...que demander de +

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        • #5
          Waw waw khlate la fin du monde
          les reserves de change ont baissé de plus de 60% en 3 ans. la situation est grave.

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          • #6
            Envoyé par Mtim
            les reserves de change ont baissé de plus de 60% en 3 ans. la situation est grave.
            L'Algerie n'enverra pas nos soldats comme des mercenaires ni ns femmes chez les Khalijite

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            • #7
              sans devises le peuple mourra de faim amokrane.

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              • #8
                tu te trompes amokrane va voir combien d'Algériens et algériennes vivent chez tes amis khalijites

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                • #9
                  kayen chi nass lazemlhoum boumarteau comme ceux là



                  bach ils se réveillent et comprennent que la délinquance en Algérie à triplé ces 3 dernières années



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                  • #10
                    réduire les importations et diversifier les sources de rentrée de devises, c’est-à-dire exporter plus hors hydrocarbures. Si le système de contingentement des exportations auquel l’Exécutif a recouru pour préserver les économies du pays en devises n’a pas stoppé la fonte des réserves de change, c’est que soit il ne constitue pas la bonne solution ou alors il est mal appliqué, sinon insuffisant.
                    Le gouvernement algerien joue avec des artifices pour préserver ses reserves de change ! Les exportations hors hydrocarbures n'ont jamais décollées elles suivent simplement les cours du pétroles puisque une grosse partie des exportations hors hydrocarbures sont constituées de sous-produits d'extraction et de transformation ! Pour les importations elles sont simplement limitées. Donc tous ces efforts ne sont pas le resultat du développement d'une base industrielle mais simple d'une evolution des cours petrolier et de décision prise ça et là !

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