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Tahar Ben Jelloun compare la disparition de Jamal Khashoggi à celle de Mehdi Ben Barka

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  • Tahar Ben Jelloun compare la disparition de Jamal Khashoggi à celle de Mehdi Ben Barka

    Le devot à la dictature marocaine (Tahar Benjelloun) ne craint pas le ridicule en comparant l'illustre Medhi Ben Barka- le plus intelligent marocain de tous les temps- avec un journaliste. Ceci quand bien même l'assassinat de ce journaliste séoudien est inadmissible à l'instar du meurtre de tous ses confrères.

    En revanche, n'est-ce pas qu'une affaire semblable à celle de Khashoggi s'était perpétrée au Maroc (affaire Turki?).

    - INTERNATIONAL - Ces dernières semaines, l’affaire Jamal Khashoggi anime toutes les passions. Le sort de ce journaliste saoudien, porté disparu depuis le 2 octobre dernier, jour où il s’est rendu à l’ambassade saoudienne d’Istanbul pour ne jamais être revu, rappelle d’autres cas similaires.

    Dans une tribune publiée sur le site français Le Point, Tahar Ben Jelloun compare la disparition du journaliste saoudien à une disparition marquante du 20e siècle, celle de Mehdi Ben Barka.

    Après avoir rappelé les conditions autour de la disparition de l’opposant Marocain (“Les policiers français le conduisirent à une maison des environs de Paris, à Fontenay-le-Vicomte, pour le remettre au général Oufkir, le ministre marocain de l’Intérieur, envoyé par le roi Hassan II afin de le ramener de gré ou de force au Maroc”), Tahar Ben Jelloun prédit que celle de Jamal Khashoggi, mettra “l’Arabie saoudite dans une situation difficile”.

    “On sait que le prince héritier Mohammed ben Salmane n’avait pas supporté les critiques acerbes contre sa politique guerrière au Yémen, formulées dans plusieurs articles par le journaliste Khashoggi. De là à avoir commandité son meurtre, il y a un pas qu’on ne peut pas franchir”.

    Tahar Ben Jelloun souligne que le jeune prince est déjà “très critiqué dans le monde arabe”, pour son rapprochement avec les États-Unis et Israel.
    Le règne de Hassan II n’est pas sorti indemne de l’affaire Ben Barka, il est probable qu’il en serait de même de celui de Mohamed ben Salmane” conclut-il.

    L’auteur qui n’est pas le seul à avoir fait le lien entre les deux hommes. Il y a quelques jours, le journal espagnol El Mundo rappelait le sort de Mehdi Ben Barka dans un article dédié aux “autres” Jamal Khashoggi, soit ces opposants politiques disparus dans des circonstances inconnues-.

    All Magrheb

  • #2
    Tahar Ben Jelloun compare la disparition du journaliste saoudien à une disparition marquante du 20e siècle, celle de Mehdi Ben Barka.
    .
    Donc il a pointe du doigt le Maroc et la France au sujet de la disparition de Benbarka ..
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

    Commentaire


    • #3
      oui, il a raison. La comparaison est bonne.
      MBS et H2, deux psychopathes.

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      • #4
        Mehdi Ben Barka fait peur et hante la France et au Maroc :

        "" Ce Mort aura la vie longue ""
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #5
          Et du coup Tahar ben jelloun n'est plus un fou inféodé au makhzen.......


          Soubhanna moubadil al ahwal
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

          Commentaire


          • #6
            Intellect versatile ....Faiblesse et vertu ...???
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

            Commentaire


            • #7
              Cell

              Je dois avouer qu'il me surprend.
              Mais je n'ai pas vraiment lu attentivement ce qu'il a écrit

              Commentaire


              • #8
                Par Tahar Ben Jelloun

                “Le règne de Hassan II n’est pas sorti indemne de l’affaire Ben Barka, il est probable qu’il en serait de même de celui de Mohamed ben Salmane” conclut-il.
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire


                • #9
                  Etonnant que le suppôt de la monarchie Tahar Benjelloun se prête à une comparaison entre le mythique Ben Barka et ce malheureux journaliste séoudien?
                  Est-ce raison de la date proche de l'enlèvement-assassinat de Medhi Ben Barka? (29 octobre 196)?

                  -Mehdi Ben Barka, un homme à abattre ?

                  Affaire Ben Barka, l’histoire d’une trahison. En 1965, l’opposant à la monarchie marocaine et chef de file du mouvement tiers-mondiste était un homme très surveillé par la France.

                  "Mon père se savait en danger."

                  Cinquante-deux ans après la disparition de Mehdi Ben Barka, son fils, Bachir, garde des souvenirs très nets de cette période. Attablé dans un café parisien, il se souvient de cette année 1965. La famille s’était installée au Caire : "Les Egyptiens nous ont dit de changer de maison, par sécurité." Celui qui est devenu le gardien du combat pour la mémoire de son père l’affirme : celui-ci avait déjà fait l’objet de plusieurs tentatives d’assassinat au Maroc, mais aussi à Genève.

                  A l’époque, Mehdi Ben Barka est une figure de la gauche marocaine. Né en 1920 à Salé, près de Rabat, il s’est engagé très tôt dans la lutte contre le protectorat français. A l’indépendance en 1956, le roi Mohammed V en fait le président de l’Assemblée nationale consultative, mais Ben Barka prend rapidement des positions très critiques envers le régime. Il fonde l’Union nationale des forces populaires (UNFP) qui, avec l’Istiqlal, autre parti de l’opposition, obtient plus de 50 % des suffrages aux élections législatives de mai 1963. La répression qui s’ensuit est massive. Par deux fois, Mehdi Ben Barka est condamné à mort par contumace : en 1963, accusé de haute trahison lors de la Guerre des sables contre l’Algérie, et en 1964 pour complot contre Hassan II.

                  Ennemi numéro un de la monarchie, l’homme est étroitement surveillé par la France, comme en témoignent les documents déclassifiés du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (Sdece) dont les premières notes sur l’opposant datent de 1941 et s’étoffent à partir de 1957 : quarante pages dactylographiées où sont consignés, jour par jour, presque heure par heure, ses déplacements, ses rencontres, ses relations avec les dirigeants politiques marocains et étrangers, ses prises de position mais aussi ce qu’en disent les autorités marocaines-.

                  Le Monde.fr

                  Commentaire


                  • #10
                    Et du coup Tahar ben jelloun n'est plus un fou inféodé au makhzen.......


                    Soubhanna moubadil al ahwal

                    si natanyahou dit vive le polisario, ils seront là à l'applaudir...

                    trump et bolton sont leurs amis ces jours ci...

                    Commentaire


                    • #11
                      Il aurait été plus inspiré par Tahar Benjelloun de comparer l'assassinat de ce journaliste séoudien avec celui de l'opposant algérien Ali Mecili à moindre envergure que le mythe marocain Medhi Ben Barka.

                      - Ali Mécili, mort pour avoir aimé l’Algérie

                      Cet opposant politique, a été assassiné en 1987 à Paris. A l’automne, la justice a décidé de clore le dossier. Alors que François Hollande se rend à Alger, Annie Mécili, la femme de l’avocat franco-algérien, demande la réouverture de l’affaire.

                      Bien avant son assassinat, il écrivait ces lignes incroyablement prémonitoires dictées sans doute par la conscience qu’il risquait, un jour, de payer cher ses dénonciations du régime militaire d’Alger : "J’aurais pu mourir hier sous les balles des soldats de la colonisation, je meurs aujourd’hui sous des balles algériennes dans un pays que l’ironie de l’histoire a voulu que je connaisse après l’avoir combattu les armes à la main. Je meurs sous des balles algériennes pour avoir aimé l’Algérie."

                      C’était un temps, il est vrai, où rares étaient ceux qui osaient mettre en cause Alger haut et fort. Avec Hocine Aït-Ahmed, Ali Mécili combattait alors inlassablement pour la démocratie et le respect des droits de l’homme en Algérie.

                      Ironie de l’histoire : abattu dans le hall de son immeuble sous des balles algériennes pour avoir aimé l’Algérie, l’avocat Ali Mécili risque d’être trahi par la justice française. En effet, la juge chargée de l’instruction a décidé, en novembre, de clore ce dossier d’assassinat politique, dossier marqué dès l’origine par la raison d’Etat. Souvenons-nous : interpellé à Paris par les enquêteurs, le 12 juin 1987, soit environ deux mois après le crime, l’assassin présumé a été expulsé en urgence absolue vers l’Algérie, par le gouvernement français, dès le 14 juin suivant, sans même avoir été présenté à l’époque au magistrat instructeur. Comment peut-on alors nous opposer un non-lieu en le justifiant par "de multiples tentatives de coopération internationale demeurées vaines" ?

                      C’est insoutenable. Sur la base des éléments d’information recueillis au cours de l’instruction, des investigations à mener subsistent encore, nombreuses. Certes, les autorités algériennes ont refusé jusque-là d’y procéder. Est-ce une raison pour renoncer et reconnaître à un Etat étranger le droit de paralyser l’action judiciaire en France ? Quelle urgence soudaine y a-t-il à clore ce dossier ? Ne pouvant accepter une décision qui consacrerait l’impunité des crimes politiques en France, nous avons fait appel de l’ordonnance de non-lieu.-.

                      Libération.fr

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                      • #12
                        @overclocker

                        Tahar Ben Jelloun et Jamal Khashoggi , affire identique .

                        Torture , disparition sans sépulture ..
                        tu n as rien à justifier ..
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                        • #13
                          bonjour




                          bachi:
                          oui, il a raison. La comparaison est bonne.
                          MBS et H2, deux psychopathes.

                          mbs et hassan2 certe des psycopathes, criminels, traitres (pour hassan2 c'est dans les genes) mais ils reste tout les deux des minables imbeciles , qui executes les ordres des vrais assassins sont les commanditaires biensur
                          pour benbarka tout daboprd les français, qui sont responsable, de ramener benbarka de suisse jusqu'a paris et l'enlever, tuer, découpage,,,, de toute facon le crime de benbarka est passer en france les criminels francais depuis 1965 cache la verité et jusqu'a nos jours refuse d'en parler

                          pourtant on a vus comment ils ont reagis avec les russes , malgré que le crimes est passer en angleterre
                          المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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