A l'instar des l'affaires de Abraham Serfaty, Moumen Diouri, Malika Oufkir, etc: la France extrait des geôles marocaines quiconque qu'elle désire: Preuve indubitable du statut néocolonialiste conféré au Maroc par l'Hexagone: " L'indépendance dans l'interdépendance".
- Répondant favorablement à la demande du président français Emmanuel Macron, le Maroc a donné son feu vert pour un retour dans son pays du Français détenu à Salé.
Rabat a accepté la demande "formulée personnellement par le président français", selon les termes de l’agence officielle d’information marocaine MAP, reprise par l’Agence France presse. Le royaume a donné son accord pour que Thomas Gallay, ressortissant français, soit transféré pour purger le restant de sa peine d’emprisonnement en France. Reconnu par la justice marocaine coupable de liaisons avec un groupe terroriste, Thomas Gallay est emprisonné au Maroc depuis 2016.
En août, Béatrice Gallay, la mère de cet ingénieur en électronique de 37 ans, avait rencontré Emmanuel Macron pour évoquer le cas de son fils. "Je suis rassurée, dans le sens où, à partir du moment où [le président français] m’a dit, les yeux dans les yeux, qu’il allait s’en occuper, j’ai vu qu’il connaissait le dossier de Thomas ", avait-elle alors déclarée à la presse française. Emmanuel Macron se serait donc engagé "personnellement" à s’occuper de cette affaire-.
Jeune Afrique
- Répondant favorablement à la demande du président français Emmanuel Macron, le Maroc a donné son feu vert pour un retour dans son pays du Français détenu à Salé.
Rabat a accepté la demande "formulée personnellement par le président français", selon les termes de l’agence officielle d’information marocaine MAP, reprise par l’Agence France presse. Le royaume a donné son accord pour que Thomas Gallay, ressortissant français, soit transféré pour purger le restant de sa peine d’emprisonnement en France. Reconnu par la justice marocaine coupable de liaisons avec un groupe terroriste, Thomas Gallay est emprisonné au Maroc depuis 2016.
En août, Béatrice Gallay, la mère de cet ingénieur en électronique de 37 ans, avait rencontré Emmanuel Macron pour évoquer le cas de son fils. "Je suis rassurée, dans le sens où, à partir du moment où [le président français] m’a dit, les yeux dans les yeux, qu’il allait s’en occuper, j’ai vu qu’il connaissait le dossier de Thomas ", avait-elle alors déclarée à la presse française. Emmanuel Macron se serait donc engagé "personnellement" à s’occuper de cette affaire-.
Jeune Afrique
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