"Le porteur de cartable" de Akli Tadjer
« Il y a du vocabulaire en arabe » : des lycéens refusent de lire le roman d’un Franco-Algérien
Dans la commune de Péronne, dans la Somme, des lycéens ont refusé de lire les extraits du livre Le Porteur de cartable, écrit par le franco-algérien Akli Tadjer. Ce sont l’origine de l’auteur et le thème de l’ouvrage qui ont déclenché la colère des étudiants.
Le 16 novembre, l’écrivain Akli Tadjer doit rencontrer des lycéens originaires de la Somme pour leur parler de son livre, Le porteur de cartable. Un livre qui évoque notamment la Guerre d’Algérie et le Front National de Libération. Mais comme le raconte Le Parisien, la rencontre risque d’être beaucoup plus tendue que prévue.
Lors de la lecture d’extraits en classe, la professeure à l’origine de l’initiative affirme qu’il y a eu des problèmes. « Il y a eu une levée de boucliers de certains élèves car l’auteur n’est pas Français, l’histoire ne concerne pas la France et il y a du vocabulaire en Arabe » écrit-elle dans un mail adressé à Akli Tadjer. « Un élève a refusé de lire pour ne pas prononcer 'Messaoud'. J’ai dû l’exclure ».
ouest-france
« Il y a du vocabulaire en arabe » : des lycéens refusent de lire le roman d’un Franco-Algérien
Dans la commune de Péronne, dans la Somme, des lycéens ont refusé de lire les extraits du livre Le Porteur de cartable, écrit par le franco-algérien Akli Tadjer. Ce sont l’origine de l’auteur et le thème de l’ouvrage qui ont déclenché la colère des étudiants.
Le 16 novembre, l’écrivain Akli Tadjer doit rencontrer des lycéens originaires de la Somme pour leur parler de son livre, Le porteur de cartable. Un livre qui évoque notamment la Guerre d’Algérie et le Front National de Libération. Mais comme le raconte Le Parisien, la rencontre risque d’être beaucoup plus tendue que prévue.
Lors de la lecture d’extraits en classe, la professeure à l’origine de l’initiative affirme qu’il y a eu des problèmes. « Il y a eu une levée de boucliers de certains élèves car l’auteur n’est pas Français, l’histoire ne concerne pas la France et il y a du vocabulaire en Arabe » écrit-elle dans un mail adressé à Akli Tadjer. « Un élève a refusé de lire pour ne pas prononcer 'Messaoud'. J’ai dû l’exclure ».
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