La presse électronique marocaine tendrait-elle d'anticiper- le 29 octobre 1965-le scandale le meutre du mythe marocain Medhi Ben Barka?
- Le 19 octobre 1966, Ahmed Dlimi, adjoint du général Oufkir, alors ministre de l’Intérieur, se rend en France pour se constituer prisonnier dans le cadre du procès suite à l’enlèvement de Mehdi Ben Barka. Il faisait l’objet, tout comme son supérieur, d’un mandat d’arrêt international émis par les autorités françaises mais sera, par la suite, acquitté.
Le 22 janvier 1966, un mandat d'arrêt international est lancé contre le général Mohamed Oufkir et le général Ahmed Dlimi. Les deux hommes d’Etat marocain sont alors accusés d’être impliqués dans l’enlèvement, quelques mois auparavant, de Mehdi Ben Barka. Mais alors que le procès de cette affaire ne s’ouvre que le 5 septembre 1966, il sera interrompu par un «coup de théâtre». Ahmed Dlimi se présente, le 19 octobre 1966, devant l’audience pour se constituer prisonnier.
Une disparition qui fait scandale
Nous sommes le 10 janvier 1966. L'Express publiait en Une le témoignage d'un Français ayant assisté à l'enlèvement, quelques semaines auparavant, de Mehdi Ben Barka. L’opinion publique française commence alors à s’intéresser à ce scandale politique. Déjà le 2 novembre, une instruction est ouverte par le juge Louis Zollinger sur la disparition du leader de la gauche marocaine et confiée à la brigade criminelle.
Près de 12 jours après la Une de L’Express, le juge Zollinger émet donc trois mandats d'arrêt internationaux contre le général Oufkir, le commandant Dlimi et un certain Larbi Chtouki qui aurait aussi pris part à la séquestration de Ben Barka.-.
source: ya biladi
- Le 19 octobre 1966, Ahmed Dlimi, adjoint du général Oufkir, alors ministre de l’Intérieur, se rend en France pour se constituer prisonnier dans le cadre du procès suite à l’enlèvement de Mehdi Ben Barka. Il faisait l’objet, tout comme son supérieur, d’un mandat d’arrêt international émis par les autorités françaises mais sera, par la suite, acquitté.
Le 22 janvier 1966, un mandat d'arrêt international est lancé contre le général Mohamed Oufkir et le général Ahmed Dlimi. Les deux hommes d’Etat marocain sont alors accusés d’être impliqués dans l’enlèvement, quelques mois auparavant, de Mehdi Ben Barka. Mais alors que le procès de cette affaire ne s’ouvre que le 5 septembre 1966, il sera interrompu par un «coup de théâtre». Ahmed Dlimi se présente, le 19 octobre 1966, devant l’audience pour se constituer prisonnier.
Une disparition qui fait scandale
Nous sommes le 10 janvier 1966. L'Express publiait en Une le témoignage d'un Français ayant assisté à l'enlèvement, quelques semaines auparavant, de Mehdi Ben Barka. L’opinion publique française commence alors à s’intéresser à ce scandale politique. Déjà le 2 novembre, une instruction est ouverte par le juge Louis Zollinger sur la disparition du leader de la gauche marocaine et confiée à la brigade criminelle.
Près de 12 jours après la Une de L’Express, le juge Zollinger émet donc trois mandats d'arrêt internationaux contre le général Oufkir, le commandant Dlimi et un certain Larbi Chtouki qui aurait aussi pris part à la séquestration de Ben Barka.-.
source: ya biladi
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