Tweet
Qu’est-ce qui a poussé le comédien Kamel Bouakaz à la délinquance ?
La vie d’un Algérien généralement est précaire. Du moins, la vie de 90% des Algériens. Très précaire avec son salaire calculé sur la base d’un SMIG de 90 €.
Dans cette logique la vie d’un artiste l’est tout autant. Aussi célèbre qu’il puisse être, cela ne garantie pas, une situation économique qui permet de vivre dignement.
Hier lundi 22 octobre, le populaire comédien Kamel Bouakkaz s’est fait embarqué par Groupement de la Gendarmerie de Bab-Jdid à Alger. La raison ? Le site Ennahar rapporte ce mardi 23 octobre l’incroyable raison qui a fait basculer Kamel Bouakkaz.
Trop célèbre pour être pauvre… Pas assez riche pour se loger… il se retrouve à la rue !
Kamel Bouakaz. Un artiste plutôt célèbre parmi les jeunes et moins jeunes en Algérie, mais qui évolue dans un pays qui méprise les artistes. D’ailleurs, tous les artistes et sportifs Algériens de talents, de Zidane, à Idir, à l’ensemble de l’équipe qui forme le 11 algériens de football, évoluent et font leurs carrières en France. Une règle toute aussi valable pour les compétences et les savoir-faire : Medecins, Physiciens, Mathématiciens, Informaticiens et tous les autres.
Bref, un mépris devenu une marque de fabrique de l’Algérie envers le peuple Algérien. Ce qui explique les 500.000 demandes de visas d’Algériens pour la France. Les milliers de barques de fortunes qui traversent la méditerranée chaque année pour rejoindre le France… La France.
Non ce n’est pas un fantasme que de dire que Kamel Bouakaz a été poussé vers la délinquance par ce pays. Par son mépris. Par sa justice à deux vitesses. Par la corruption de son personnel. Par sa tutelle, le Ministère de la Culture…
Ainsi, c’est suite à une plainte du maire d’Alger, Abdelhakim Bettache, que Kamel Bouakaz a été interpellé, rapporte le quotidien Ennahar. « Kamel Bouakaz a instrumentalisé Amir DZ contre moi, parce que j’ai refusé de lui octroyer un logement et un local commercial », a déclaré le P/APC d’Alger, Abdelhakim Bettache au quotidien Ennahar.
Alors qu’à travers le pays des familles qui n’ont jamais travaillé de leur vie, qui n’ont jamais payé le moindre dinars à la communauté, bénéficient d’appartements dans le cadre du programme de logement Social (Un programme largement financé avec le manque à gagner des salaires des salariés Algériens -90€ le SMIG-). Et parmi cet argent celui des artistes. Le comédien le plus populaire n’y a pas droit parce que .. trop célèbre. Et donc pour le personnel qui gère ce pays, il a forcément les moyens de se loger ! Selon les normes Algériennes.
Impuissant, abandonné de tous, Kamel Bouakaz, le père de famille humillié, a agis comme aurait agi n’importe qui à sa place en essayant de se venger de ce mépris sans nom. Il a révélé à Amir Boukhors, alias Amir DZ des dossiers compromettant contre le maire d’Alger. Parmi ce qui a été publié sur la page AMIRDZ : l’attribution par le maire d’Alger de 12 logements à un ancien haut responsable de la police. (Le nom de ce responsable n’est pas révélé).
Le comédien Kamel Bouakaz est ainsi poursuivi pour chantage, diffamation et menaces. Il sera présenté, ce mardi 23 octobre, devant le Procureur de la République près le tribunal de Sidi M’hamed.
Un gâchis… un autre…
marevuedepressedz
Dans cette logique la vie d’un artiste l’est tout autant. Aussi célèbre qu’il puisse être, cela ne garantie pas, une situation économique qui permet de vivre dignement.
Hier lundi 22 octobre, le populaire comédien Kamel Bouakkaz s’est fait embarqué par Groupement de la Gendarmerie de Bab-Jdid à Alger. La raison ? Le site Ennahar rapporte ce mardi 23 octobre l’incroyable raison qui a fait basculer Kamel Bouakkaz.
Trop célèbre pour être pauvre… Pas assez riche pour se loger… il se retrouve à la rue !
Kamel Bouakaz. Un artiste plutôt célèbre parmi les jeunes et moins jeunes en Algérie, mais qui évolue dans un pays qui méprise les artistes. D’ailleurs, tous les artistes et sportifs Algériens de talents, de Zidane, à Idir, à l’ensemble de l’équipe qui forme le 11 algériens de football, évoluent et font leurs carrières en France. Une règle toute aussi valable pour les compétences et les savoir-faire : Medecins, Physiciens, Mathématiciens, Informaticiens et tous les autres.
Bref, un mépris devenu une marque de fabrique de l’Algérie envers le peuple Algérien. Ce qui explique les 500.000 demandes de visas d’Algériens pour la France. Les milliers de barques de fortunes qui traversent la méditerranée chaque année pour rejoindre le France… La France.
Non ce n’est pas un fantasme que de dire que Kamel Bouakaz a été poussé vers la délinquance par ce pays. Par son mépris. Par sa justice à deux vitesses. Par la corruption de son personnel. Par sa tutelle, le Ministère de la Culture…
Ainsi, c’est suite à une plainte du maire d’Alger, Abdelhakim Bettache, que Kamel Bouakaz a été interpellé, rapporte le quotidien Ennahar. « Kamel Bouakaz a instrumentalisé Amir DZ contre moi, parce que j’ai refusé de lui octroyer un logement et un local commercial », a déclaré le P/APC d’Alger, Abdelhakim Bettache au quotidien Ennahar.
Alors qu’à travers le pays des familles qui n’ont jamais travaillé de leur vie, qui n’ont jamais payé le moindre dinars à la communauté, bénéficient d’appartements dans le cadre du programme de logement Social (Un programme largement financé avec le manque à gagner des salaires des salariés Algériens -90€ le SMIG-). Et parmi cet argent celui des artistes. Le comédien le plus populaire n’y a pas droit parce que .. trop célèbre. Et donc pour le personnel qui gère ce pays, il a forcément les moyens de se loger ! Selon les normes Algériennes.
Impuissant, abandonné de tous, Kamel Bouakaz, le père de famille humillié, a agis comme aurait agi n’importe qui à sa place en essayant de se venger de ce mépris sans nom. Il a révélé à Amir Boukhors, alias Amir DZ des dossiers compromettant contre le maire d’Alger. Parmi ce qui a été publié sur la page AMIRDZ : l’attribution par le maire d’Alger de 12 logements à un ancien haut responsable de la police. (Le nom de ce responsable n’est pas révélé).
Le comédien Kamel Bouakaz est ainsi poursuivi pour chantage, diffamation et menaces. Il sera présenté, ce mardi 23 octobre, devant le Procureur de la République près le tribunal de Sidi M’hamed.
Un gâchis… un autre…
marevuedepressedz
Commentaire