Quand même ces manifestations de lycéens sont légitimes, reste à savoir s'ils ne se trompent pas de sujets autrement plus légitimes pour la Kabyle?
Je suis toujours resté sceptique envers mes compatriotes kabyles qui tout en s'arrogeant être musulmans, récusent la langue arabe. Soyez athées donc afin d'être crédibles envers votre scolastique!
N'en reste pas moins que Naima Salhi est une fasciste.
- Algérie : en Kabylie, les lycéens dans la rue pour appeler au boycott de la langue arabe
Partis dimanche 14 octobre du lycée de Beni Zmenzer, une petite commune au sud de Tizi-Ouzou, les appels au boycott des cours d'arabe se multiplient chez les lycéens de Kabylie. Un mouvement de ras-le-bol déclenché par plusieurs déclarations publiques hostiles à la langue amazigh.
Les réseaux sociaux accentuant l’effet boule de neige, plusieurs localités de Kabylie ont vu des rassemblements et des marches de collégiens brandissant le drapeau amazigh et scandant des slogans appelant au boycott pur et simple des cours d’arabe dans les écoles. Le dernier appel en date émane du Collectif des lycéens kabyles, qui convoque une marche dimanche 28 octobre à 11 heures, dans le centre-ville de Tizi-Ouzou, avec toujours le même leitmotiv.
« Cette grève des lycéens est une réaction normale aux dérives racistes de Naima Salhi, qui appelle ouvertement à boycotter l’enseignement d’une langue nationale et officielle, inscrite dans la Constitution « , s’indigne Kamira Nait Sid, représentante Algérie du Congrès mondial amazigh (CMA) – qui tiendra sa grand-messe du 26 au 28 octobre à Tunis.
Le tamazight est une langue morte qui n’est pas porteuse de science. Qu’est ce qu’on ferait avec ?
En février dernier, Naima Salhi, députée et secrétaire générale du Parti de l’équité et de la proclamation, avait déclaré : « le tamazight est une langue morte qui n’est pas porteuse de science. Qu’est ce qu’on ferait avec ? » La vidéo avait fait le buzz sur ces mêmes réseaux sociaux. Bon nombre de berbérophones avaient alors jugé ces propos « choquants, insultants et ouvertement racistes ».
Habituée aux outrances verbales, Naima Salhi est allée plus loin en promettant de tuer sa fille, qui s’était familiarisée avec la langue kabyle au contact de ses camarades de classe, si elle venait à nouveau à prononcer un seul mot dans cette langue à la maison. « Puisque c’est devenu obligatoire d’apprendre le berbère, j’ai dit à ma fille : ‘si tu prononces un seul mot en kabyle, je te tue !’ », a lâché la députée.
Jeune Afrique
Je suis toujours resté sceptique envers mes compatriotes kabyles qui tout en s'arrogeant être musulmans, récusent la langue arabe. Soyez athées donc afin d'être crédibles envers votre scolastique!
N'en reste pas moins que Naima Salhi est une fasciste.
- Algérie : en Kabylie, les lycéens dans la rue pour appeler au boycott de la langue arabe
Partis dimanche 14 octobre du lycée de Beni Zmenzer, une petite commune au sud de Tizi-Ouzou, les appels au boycott des cours d'arabe se multiplient chez les lycéens de Kabylie. Un mouvement de ras-le-bol déclenché par plusieurs déclarations publiques hostiles à la langue amazigh.
Les réseaux sociaux accentuant l’effet boule de neige, plusieurs localités de Kabylie ont vu des rassemblements et des marches de collégiens brandissant le drapeau amazigh et scandant des slogans appelant au boycott pur et simple des cours d’arabe dans les écoles. Le dernier appel en date émane du Collectif des lycéens kabyles, qui convoque une marche dimanche 28 octobre à 11 heures, dans le centre-ville de Tizi-Ouzou, avec toujours le même leitmotiv.
« Cette grève des lycéens est une réaction normale aux dérives racistes de Naima Salhi, qui appelle ouvertement à boycotter l’enseignement d’une langue nationale et officielle, inscrite dans la Constitution « , s’indigne Kamira Nait Sid, représentante Algérie du Congrès mondial amazigh (CMA) – qui tiendra sa grand-messe du 26 au 28 octobre à Tunis.
Le tamazight est une langue morte qui n’est pas porteuse de science. Qu’est ce qu’on ferait avec ?
En février dernier, Naima Salhi, députée et secrétaire générale du Parti de l’équité et de la proclamation, avait déclaré : « le tamazight est une langue morte qui n’est pas porteuse de science. Qu’est ce qu’on ferait avec ? » La vidéo avait fait le buzz sur ces mêmes réseaux sociaux. Bon nombre de berbérophones avaient alors jugé ces propos « choquants, insultants et ouvertement racistes ».
Habituée aux outrances verbales, Naima Salhi est allée plus loin en promettant de tuer sa fille, qui s’était familiarisée avec la langue kabyle au contact de ses camarades de classe, si elle venait à nouveau à prononcer un seul mot dans cette langue à la maison. « Puisque c’est devenu obligatoire d’apprendre le berbère, j’ai dit à ma fille : ‘si tu prononces un seul mot en kabyle, je te tue !’ », a lâché la députée.
Jeune Afrique
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