Le Conseil de sécurité a reporté l’adoption d’une nouvelle résolution sur la question du Sahara, initialement prévue le lundi prochain, au 31 octobre. Une modification, désormais, inscrite sur le programme des Quinze du 29 octobre.
Ce changement de dernière minute pourrait s’expliquer par le désaccord apparent portant sur la durée de la prolongation du mandat de la MINURSO. Sous l’impulsion de John Bolton, Washington ne cache plus sa volonté d’une prorogation de la mission de seulement six mois supplémentaire. En revanche les autres membres du «Club des amis du Sahara occidental» et la Chine se prononcent plutôt en faveur d’une année, comme proposé par le secrétaire général dans son rapport remis début octobre au Conseil de sécurité.
Depuis la semaine dernière, les Etats-Unis ont initié une série de rencontres avec les principales parties directement concernées par le différend régional en vue de les convaincre d'adopter sa thèse. Successivement David Hale, le n°3 de la diplomatie américaine, s’est réuni avec l’ambassadeur algérien, Majid Bouguerra, l’ambassadrice marocaine, Lalla Joumala Alaoui et le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.
Ce report au 31 octobre offre aux différents acteurs une opportunité en vue de parvenir à un compromis.
Ya biladi
Ce changement de dernière minute pourrait s’expliquer par le désaccord apparent portant sur la durée de la prolongation du mandat de la MINURSO. Sous l’impulsion de John Bolton, Washington ne cache plus sa volonté d’une prorogation de la mission de seulement six mois supplémentaire. En revanche les autres membres du «Club des amis du Sahara occidental» et la Chine se prononcent plutôt en faveur d’une année, comme proposé par le secrétaire général dans son rapport remis début octobre au Conseil de sécurité.
Depuis la semaine dernière, les Etats-Unis ont initié une série de rencontres avec les principales parties directement concernées par le différend régional en vue de les convaincre d'adopter sa thèse. Successivement David Hale, le n°3 de la diplomatie américaine, s’est réuni avec l’ambassadeur algérien, Majid Bouguerra, l’ambassadrice marocaine, Lalla Joumala Alaoui et le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.
Ce report au 31 octobre offre aux différents acteurs une opportunité en vue de parvenir à un compromis.
Ya biladi
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