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  • présidentielle algérienne

    avec des bribes, la situation politique en algerie s'éclaircit peu à peu, faute de dénouement. L'hyper thème est la présidentielle 2019.



    tous les indices montrent qu'il y a blocage sur le choix du candidat de la majorité pour 2019. seddik chihab a expliqué que l'alternance pose problème et ould abbès a renchérit avec son fameux : le candidat du fln est abdelaziz bouteflika. cette conjonction de tirs groupés montre combien le temps presse et la situation devient risquée.


    on peut énumérer les acteurs du rapport de forces en présence mais cela ajoutera du brouillard à la scène politique algérienne.


    pour simplifier donc, le candidat pressenti est ouyahia et ceux qui s'opposent à l'alternance sont les caciques du fln dont le dernier avatar est bouhadja qui se voyait khalife à la place du khalife.


    dans la réalité de l'algérie, jamais aucun président du pays n'a été choisi en dehors du fln ! c la première fois qu'un chef d'un autre parti peut prétendre à la magistrature du pays ! mais le fln veille au grain et chamboule tous les plans du président bouteflika dont les doublures ont été éliminées une à une depuis le 3ème mandat.


    c comme cela qu'il faut lire la proposition de ould abbès de prendre comme candidat du parti abdelaziz bouteflika. cette annonce coupe l'herbe sous le pied à tout prétendant à la présidentielle. ou bien ouyahia ou bien bis repetita.

  • #2
    On connaît depuis des lustres la préférence de certains disciples auto-proclamés de l'ex-DRS, qui voient dans le Ouyahia le fidèle serviteur qu'il a été depuis qu'il a été propulsé par le DRS en 1995. Le prétendant Poutine algérien qui a fait virer l'entourage économique d'un président en 2005, en la personne de Abdellatif Benachenhou, puis Fatiha Mentouri ainsi que feu Mohamed Salah Mentouri du CNES, en vendant un programme de dépenses irréfléchie tout azimut depuis 2005, et la règle 51/49 en 2009 au nom du patriotisme économique sic, a été l'instrument de l'oligarchie algérienne, à la chabols coréens, qui avait séduit une batterie de généraux qui pouvaient s'enrichir, et une présidence qui pouvait s'acheter une clientèle pour rivaliser avec la clientèle achetée par d'autres pôles du pouvoir. Dans cette distribution de la rente opérée depuis 2005, le pretendant Poutine algérien était de toutes les combines, a subtilisé certaines marques au profit de ses pretes noms et continue à opérer sans scrupules... son outrecuidance d'affirmer en 2008, qu'un troisième mandat de Bouteflika n'etait pas dans l'interet de l'Algerie a été une bonne lecon politique pour celui qui depuis est le plus fidele serviteur et defenseur de tout les mandats de Bouteflika, au risque de se mettre à dos certains de ses anciens mentors. C'est qu'il croit au RDV de l'homme avec son destin, celui dont la peau de crocodile permet toutes les humiliations et postures. Le pauvre apprendra à ses dépends que le serviteur qu'il est va recevoir une instruction de fin de service, et les larmes de crocodile qu'il produira n'y pourront rien...
    Dernière modification par ott, 31 octobre 2018, 09h22.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Une belle perle pour les disciples auto-proclamés de l'ex DRS...

      Les Grands Hommes de l’Ecole diplomatique d’Abdelaziz Bouteflika : Ahmed Ouyahia, où le parcours exceptionnel d’un homme d’honneur (12ème partie)
      Les Grands Hommes de l’Ecole diplomatique d’Abdelaziz Bouteflika : Ahmed Ouyahia, où le parcours exceptionnel d’un homme d’honneur (12ème partie)
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      Contribution | 24 Octobre 2018 | 21:47
      Par Mohamed Ould El Bachir

      Une brève rétrospective du parcours diplomatique et politique de M. Ahmed Ouyahia suffirait à décourager n’importe qui désireux de lui consacrer une biographie exhaustive.

      Aucune volonté de notre part de lui consacrer un portrait complet, tant sa carrière est dense et riche, reflétant grandement une grande rigueur intellectuelle et un souci constant de précision.

      Pour les diplomates, épris de valeurs nationales, le nom d’Ahmed Ouyahia dit sûrement de belles choses, puisqu’il fait partie des rares hommes de l’école diplomatique d’Abdelaziz Bouteflika, qui sont porteurs d’espérances majeures. Mais avant tout, c’est d’abord un homme, un style et des méthodes de travail rigoureuses.

      Enarque accompli, référence dans sa spécialité, ce diplomate singulier, doublé de politicien, fait partie des hommes d’Etat de la seconde génération qui allient talent et humilité.

      Né le 2 juillet 1952 dans le village de Bouadnane, commune d'Iboudraren, au sein d’une famille des plus modestes. Il fait ses études primaires à Alger de 1958 à 1965, avant d’entrer au lycée El-Idrissi où il obtient le baccalauréat ès-lettres en 1972.

      La même année, il passe le concours d'entrée à l'École nationale d'administration d'Alger, qu'il réussit avec une note très honorable et intègre ainsi la future technostructure de la Nation. Après un cursus de tronc commun, Il se spécialise alors dans la diplomatie et les sciences politiques en 1976.

      En parlant de son itinéraire, un de ses anciens amis le décrit comme « un homme d’honneur et un brillant diplomate ».

      Au ministère des Affaires étrangères, il a occupé différents postes de responsabilité, dont ceux de chargé d’études, directeurs général Afrique et secrétaire d’Etat à la Coopération et aux Affaires maghrébines.

      Secrétaire aux Affaires étrangères jusqu’en 1981 et après l’accomplissement de son service national de 1977 à 1978, sans pour autant délaisser ses préférences diplomatiques, durant cet intermède, il est affecté en poste à Abidjan, où il intègre notre ambassade comme conseiller diplomatique.

      En 1984, il est nommé à New York comme conseiller à la mission permanente auprès de l’ONU. De 1988 à 1989, il siège au Conseil de sécurité des Nations unies, en sa qualité de représentant permanent adjoint.

      En novembre 1990, il est nommé comme chargé d'études au cabinet du ministre des Affaires étrangères, avant de devenir moins d'un mois plus tard le directeur général de la division Afrique relevant du département des affaires étrangères, poste qu’il occupât jusqu’au 15 septembre 1992, lorsqu'il est nommé comme ambassadeur au Mali, avec comme feuille de route la charge des bons offices dans le conflit entre le gouvernement malien et le mouvement Azaouad. Une médiation algérienne qui a porté ses fruits avec le « Pacte national » de Bamako.

      En août 1993, Il est rappelé à Alger pour intégrer le gouvernement de feu Redha Malek, comme Secrétaire d’État à la Coopération et aux Affaires maghrébines, avant de diriger le cabinet du président Liamine Zéroual où il est chargé des affaires politiques.

      Le 31 décembre 1995, Ahmed Ouyahia est nommé chef du gouvernement. Un poste qu’il occupera quatrième fois de suite.

      Mesurant l’ampleur des défis, Ahmed Ouyahia a su représenter dignement son pays au sein des diverses instances internationales pour mobiliser le maximum de soutien possible pour régler les crises régionales dont celle du mali, pays frère et voisin.

      Prenant sienne la sagesse connue et reconnue du Président Abdelaziz Bouteflika et en totale synergie avec le Ministre Abdelkader Messahel, il a eu à gérer à l'heure de la diplomatie d'influence les différends et les conflits régionaux et internationaux les plus complexes : Mali, Libye, Syrie, Yémen, Sahara occidental, questions économiques et commerciales internationales, lutte contre le terrorisme, émigration clandestine, pour ne citer que ces questions.

      Grâce à son tact, il a su exercer une influence modératrice, se faire intelligemment l’interprète, contribuant ainsi à renforcer la compréhension et à atténuer les oppositions, tout en œuvrant à la recherche des solutions dans la sérénité et surtout d’assurer la liberté dans l’évaluation et préserver l’indépendance de la décision.

      Cet homme matinal , au temps si précieux, consacre des heures à la lecture pour rester ‘’à la page’’ et maintenir un niveau élevé des débats sur les questions de l'heure.

      Pour certains de ses amis, qui évoquent son parcours exceptionnel de grand diplomate, un autre aspect de Ahmed Ouyahia est négligé, celui de tous les jours, dans ses facettes les plus pratiques: le protocole, le sens des choses et des hommes. Enfin, la bonne humeur et l’anecdote ancestrale qui ne sont pas absentes dans un contexte informel, comme le font agréablement les Grands Hommes de l’Ecole diplomatique d’Abdelaziz Bouteflika.

      Mohamed Ould El Bachir (Universitaire)
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Une belle perle pour les les disciples auto-proclamés de l'ex DRS...

        Les Grands Hommes de l’Ecole diplomatique d’Abdelaziz Bouteflika : Ahmed Ouyahia, où le parcours exceptionnel d’un homme d’honneur (12ème partie)
        Les Grands Hommes de l’Ecole diplomatique d’Abdelaziz Bouteflika : Ahmed Ouyahia, où le parcours exceptionnel d’un homme d’honneur (12ème partie)

        Algerie1 | 24 Octobre 2018 | 21:47
        Par Mohamed Ould El Bachir

        Une brève rétrospective du parcours diplomatique et politique de M. Ahmed Ouyahia suffirait à décourager n’importe qui désireux de lui consacrer une biographie exhaustive.

        Aucune volonté de notre part de lui consacrer un portrait complet, tant sa carrière est dense et riche, reflétant grandement une grande rigueur intellectuelle et un souci constant de précision.

        Pour les diplomates, épris de valeurs nationales, le nom d’Ahmed Ouyahia dit sûrement de belles choses, puisqu’il fait partie des rares hommes de l’école diplomatique d’Abdelaziz Bouteflika, qui sont porteurs d’espérances majeures. Mais avant tout, c’est d’abord un homme, un style et des méthodes de travail rigoureuses.

        Enarque accompli, référence dans sa spécialité, ce diplomate singulier, doublé de politicien, fait partie des hommes d’Etat de la seconde génération qui allient talent et humilité.

        Né le 2 juillet 1952 dans le village de Bouadnane, commune d'Iboudraren, au sein d’une famille des plus modestes. Il fait ses études primaires à Alger de 1958 à 1965, avant d’entrer au lycée El-Idrissi où il obtient le baccalauréat ès-lettres en 1972.

        La même année, il passe le concours d'entrée à l'École nationale d'administration d'Alger, qu'il réussit avec une note très honorable et intègre ainsi la future technostructure de la Nation. Après un cursus de tronc commun, Il se spécialise alors dans la diplomatie et les sciences politiques en 1976.

        En parlant de son itinéraire, un de ses anciens amis le décrit comme « un homme d’honneur et un brillant diplomate ».

        Au ministère des Affaires étrangères, il a occupé différents postes de responsabilité, dont ceux de chargé d’études, directeurs général Afrique et secrétaire d’Etat à la Coopération et aux Affaires maghrébines.

        Secrétaire aux Affaires étrangères jusqu’en 1981 et après l’accomplissement de son service national de 1977 à 1978, sans pour autant délaisser ses préférences diplomatiques, durant cet intermède, il est affecté en poste à Abidjan, où il intègre notre ambassade comme conseiller diplomatique.

        En 1984, il est nommé à New York comme conseiller à la mission permanente auprès de l’ONU. De 1988 à 1989, il siège au Conseil de sécurité des Nations unies, en sa qualité de représentant permanent adjoint.

        En novembre 1990, il est nommé comme chargé d'études au cabinet du ministre des Affaires étrangères, avant de devenir moins d'un mois plus tard le directeur général de la division Afrique relevant du département des affaires étrangères, poste qu’il occupât jusqu’au 15 septembre 1992, lorsqu'il est nommé comme ambassadeur au Mali, avec comme feuille de route la charge des bons offices dans le conflit entre le gouvernement malien et le mouvement Azaouad. Une médiation algérienne qui a porté ses fruits avec le « Pacte national » de Bamako.

        En août 1993, Il est rappelé à Alger pour intégrer le gouvernement de feu Redha Malek, comme Secrétaire d’État à la Coopération et aux Affaires maghrébines, avant de diriger le cabinet du président Liamine Zéroual où il est chargé des affaires politiques.

        Le 31 décembre 1995, Ahmed Ouyahia est nommé chef du gouvernement. Un poste qu’il occupera quatrième fois de suite.

        Mesurant l’ampleur des défis, Ahmed Ouyahia a su représenter dignement son pays au sein des diverses instances internationales pour mobiliser le maximum de soutien possible pour régler les crises régionales dont celle du mali, pays frère et voisin.

        Prenant sienne la sagesse connue et reconnue du Président Abdelaziz Bouteflika et en totale synergie avec le Ministre Abdelkader Messahel, il a eu à gérer à l'heure de la diplomatie d'influence les différends et les conflits régionaux et internationaux les plus complexes : Mali, Libye, Syrie, Yémen, Sahara occidental, questions économiques et commerciales internationales, lutte contre le terrorisme, émigration clandestine, pour ne citer que ces questions.

        Grâce à son tact, il a su exercer une influence modératrice, se faire intelligemment l’interprète, contribuant ainsi à renforcer la compréhension et à atténuer les oppositions, tout en œuvrant à la recherche des solutions dans la sérénité et surtout d’assurer la liberté dans l’évaluation et préserver l’indépendance de la décision.

        Cet homme matinal , au temps si précieux, consacre des heures à la lecture pour rester ‘’à la page’’ et maintenir un niveau élevé des débats sur les questions de l'heure.

        Pour certains de ses amis, qui évoquent son parcours exceptionnel de grand diplomate, un autre aspect de Ahmed Ouyahia est négligé, celui de tous les jours, dans ses facettes les plus pratiques: le protocole, le sens des choses et des hommes. Enfin, la bonne humeur et l’anecdote ancestrale qui ne sont pas absentes dans un contexte informel, comme le font agréablement les Grands Hommes de l’Ecole diplomatique d’Abdelaziz Bouteflika.

        Mohamed Ould El Bachir (Universitaire)
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          Salam :

          Le disciple auto-proclamé du DRS ,ici sur ce forum il insulte les arabes et l islam et il est en méme temp pro-Ouyahia !!!!! mon dieu combien il honore le mal ce monsieur

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          • #6
            Tribalisme oblige...
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              disciples auto-proclamés de l'ex-DRS, qui voient dans le Ouyahia le fidèle serviteur qu'il a été depuis qu'il a été propulsé par le DRS en 1995.
              ya wahed disciple autoproclamé oeilfermé

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              • #8
                C'est tout ce que tu peux pondre pour la defense de ton candidat... hahaha..
                Othmane BENZAGHOU

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                • #9
                  pondre
                  c ce double je de messali el hadj qui t'a appris à parler comme ça ?oeilfermé

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                  • #10
                    c ce double je de messali el hadj qui t'a appris à parler comme ça ?
                    Non, c'est le courage de larves incapables de défendre leur candidat autrement que par la baïonnette du défunt rab edzair...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      un équilibre comme ...... XY et pourquoi pas XX mais je ne trouve pas qui ?

                      Louiza se presentera t elle ?
                      Dernière modification par m1111, 31 octobre 2018, 11h01.

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                      • #12
                        Il n'y aura pas de cinquième mandat.

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                        • #13
                          Mon pti doigt me dit que si ouyahia prend les commandes il va y avoir du monde dans les pretoires surtout des rangs du fln et pour finir envoyé ce "parti" au musée par une loi lui interdisant son sigle

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                          • #14
                            Ouyahia ne peut être président qu'en cas de dernière option si jamais les oligarques algériens n'arrivent pas à trouver un successeur.

                            Ouyahia c'est une candidature risquée, car il est globalement détesté par le peuple. Ouyahia c'est le torchon sale de Bouteflika, son rôle a toujours été de faire le sale boulot comme les politiques d'austérité.

                            Donc c'est risqué car au moindre bémol, le peuple grondera contre lui.

                            Bouteflika a réussi à faire quatre mandat sans contestation populaire massive, car Bouteflika a toujours cette image d'homme providentiel chez les algériens. Celui qui a mis fin à la guerre civile, celui qui a donné des subventions. Bouteflika qu'on le veuille ou non, a acquis une légitimité au sein du peuple qui fait que son pouvoir n'est pas contesté.

                            En revanche Ouyahia lui n'a a acquis aucune légitimité, si il devient président il partira sur de très mauvaises bases, le moindre faux pas lui sera fatale.

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                            • #15
                              Mon pti doigt me dit que si ouyahia prend les commandes il va y avoir du monde dans les pretoires surtout des rangs du fln et pour finir envoyé ce "parti" au musée par une loi lui interdisant son sigle
                              Absolument, le bébé FLN né avec des moustaches attend de pouvoir raccrocher les wagons et ramasser cette faune d'opportunistes qui ont opté pour le FLN, tête d'affiche, et qui pourront opter pour le RND ou tout appareil qui distribue la rente et les privilèges... il ne sait pas encore que lui aussi va morfler avec le départ de Bouteflika, celui qui a trahi, Zeroual, Toufik et qui n'hésitera pas à trahir Bouteflika... son porte parole, le bougre vient de l'annoncer, pas de consensus, donc candidat par défaut... le bougre ne se rend même pas compte que même ses histoires de clans, annoncé par un porte parole d'un parti au pouvoir, déclinant l'inconstitutionnalite et le pouvoir de l'ombre, tout le monde sait qu'au fond, il bosse pour son chef hiérarchique Ouyahia, qui ne peut prendre la présidence qu'avec un Bouteflika mourant par la force de la baïonnette...
                              Othmane BENZAGHOU

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