Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Yousfi aux chefs d'entreprises françaises : "Nous sommes à la recherche d'un partenariat durable"

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Yousfi aux chefs d'entreprises françaises : "Nous sommes à la recherche d'un partenariat durable"

    Yousfi aux chefs d'entreprises françaises : "Nous sommes à la recherche d'un partenariat durable"

    Algerie1 - Par Hakim Megatli | 30 Octobre 2018 | 16:34
    Le ministre de l'Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, a affirmé mardi à Paris aux chefs d'entreprises françaises que l'Algérie est à la recherche d'un partenariat "durable" dans le cadre de la diversification de son économie.

    "Nous sommes à la recherche d'un partenariat durable dans le cadre de la diversification de notre économie", a-t-il déclaré dans une rencontre avec près d'une quarantaine de chefs d'entreprises françaises organisée par le Medef International.

    Outre la délégation algérienne, la rencontre a regroupé entre autres les responsables d'Airbus Helicopters, Alstom, Decathlon, Engie, Geos, Lafarge, Total, Ratp, Suez et des cabinet de consulting.

    Dans son allocution introductive, le président du conseil de chef d'entreprises France-Algérie et DG du groupe Suez, Jean-Louis Chaussade, a expliqué que cette rencontre a été initié compte tenue des évolutions économiques, du marché pétrolier et des évolutions de l'Algérie, soulignant qu'elle s'inscrit dans le cadre de la volonté des deux pays à "accélérer" les relations bilatérales.

    Il a mis en exergue la question de la formation, pour laquelle la France, a-t-il indiqué, a une "véritable expertise" et celle de la logistique dans le domaine de la sous-traitance industrielle.

    Le ministre de l'Industrie et des Mines a dressé un tableau sur la situation économique de l'Algérie, avec ses énormes potentialités et ses perspectives à court et moyen termes.

    C'est dans cette optique qu'il a présenté, secteur par secteur, des chiffres pour montrer la dynamique particulière qui a touché l'économie algérienne, dont l'objectif principal est sa diversification.

    Il a expliqué que depuis une quinzaine d'années, une enveloppe de 60 milliards d'euros a été investie, dont 40 milliards d'euros pour le secteur de l'industrie, soulignant que l'Algérie "veut rattraper" le retard dans le secteur industriel.

    Il a ajouté qu'au cours de cette période, le montant des investissements de l'Algérie avec des entreprises étrangères s'élève à 14 milliards d'euros, relevant que 50.000 projets ont été réalisés.

    M. Yousfi a précisé que 20 milliards d'euros ont été investis en 2017, dont 10 milliards d'euros pour le secteur industriel, signalant que la France reste le premier investisseur en Algérie en matière de nombre de projets.

    Le ministre a expliqué que l'agriculture, le tourisme et l'industrie sont les trois piliers de la politique de diversification de l'économie algérienne, montrant, chiffres à l'appui, la cadence de la production algérienne, tous secteurs économiques confondus, et les perspectives d'une productivité qui encouragera l'exportation des produits algériens.

    Cependant, il a mis en exergue le retard pris par l'Algérie dans les secteurs de la chimie et des mines, soulignant aux chefs d'entreprises françaises que la "porte du partenariat est ouverte".

    Pour le secteur minier, le ministre a indiqué que le gouvernement algérien a mis 15 à 16 milliards d'euros d'investissements pour l'exploitation du phosphate.

    "L'agriculture, le tourisme et l'industrie sont les trois piliers de notre volonté de diversifier notre économie", a-t-il dit, affirmant que la France est "bien placée" pour un partenariat durable avec l'Algérie.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Malgré les efforts d'un monsieur de grande qualité et respecté, l'environnement n'est malheureusement pas propice à des investissements d'envergure, nécessitant visibilité à 10 ou 20 ans. La visibilité à 6 mois n'est pas assurée, avec un premier ministre qui déclare publiquement lors de sa visite à la foire d'Alger, que le nombre de constructeurs automobiles en Algérie a été fixé à 4, sans sourcier, ce qu'a été obligé de démentir Monsier Youssef Yousfi quelques jours plus tard, affirmant que le dossier est géré dans son ministère. L'image délétère et inquiétante que cela donne sera un frein à tout investissement d'envergure, ailleurs que dans le pétrole et les mines...
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      peut on par exemple exporter un GPL vers les pays froids ?

      on pourrait y penser , avec application de techniques innovatrices ... brevets ... recherche .... que les jeunes étudiants et professeurs reussiront cette entreprise SI il ya une OFFRE en R & D ,avec des budgets reels et aussi une infrastructure et equippement adecquat. Maintenant ou en achetant une licence innovation occidentale sous forme de Kit , ... qui frenerai ce genre de projets.

      Commentaire


      • #4
        Vieux dossier avec l'usine Kamel d'Arzew, première usine de GNL au monde. Le contrat El Paso depuis a été une autre histoire fumeuse. L'investissement tout azimut dans le gaz est très risqué au vu d'un marché incertain a sidi...
        Othmane BENZAGHOU

        Commentaire


        • #5
          Une solution miracle ?
          A en croire ses promoteurs, le GPL est le carburant alternatif le plus au point pour lutter contre la pollution atmosphérique. Ce carburant composé de gaz ne produit quasiment pas de particules fines et limite les émissions de Nox, responsables des maladies respiratoires. S'il produit des gaz à effet de serre, les spécialistes estiment que ceux-ci sont bien moindres (18%) que ceux émis par les moteurs thermiques traditionnels. Et, pour couronner le tout, le GPL est le carburant le moins cher : 0,73 euro le litre, soit 40% moins cher que l'essence et 30% de moins que le diesel.

          Le carburant parfait donc ? Sauf que les voitures à motorisation GPL représentent à peine quelques milliers de ventes des voitures neuves en France, loin, très loin des niveaux d'autres pays comme l'Italie (30% des ventes), l'Allemagne ou encore la Pologne. Chez ce dernier, le parc GPL s'élève à 2,8 millions de voitures en circulation d'après les chiffres publiés par le comité français du butane et du propane (CFBP), il est même de 4 millions de véhicules en Turquie. A titre de comparaison, le parc GPL en France est de seulement 262.000 voitures, soit une quantité tout à fait négligeable face aux 14 millions de GPL qui sillonnent les routes européennes. Et le phénomène n'est pas ancien puisque le nombre de GPL en circulation en Europe a augmenté de 40% en cinq ans.

          le GPL en France COMME en Algerie EST INSIGNIFIANT.

          Cherchons la cause ?

          Commentaire


          • #6
            Combien de miliards votre roi stagiaire voulait lever pour son gazoduc... le ventilateur est en cours d'enclenchement, et l'écran de fumée qui endort les sujets obéissants et reconnaissants va bientôt se dissiper...
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              A mon avis Notre Président Bouteflika n est pas un Roi.

              Et le gazoduc Marocain n a rien a voir dans la discussion a moins que ce ne soit une erreur schizophreniforme
              Dernière modification par m1111, 31 octobre 2018, 10h18.

              Commentaire


              • #8
                Tu parles du marchés du gaz et ses dérivées et de l'Europe. Le roi stagiaire veut faire encore son entremetteur pour le gaz nigérian en Europe... et les sujets obéissants et reconnaissants applaudissent et en redemandent... grave la fumette...

                PS : prière de ne pas poluer ce topic...
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #9
                  un oleoduc de 3000 km a crédit ressemblerait a mettre un ascensseur entre terre et lune ( projet utopique dans le passé)

                  Commentaire


                  • #10
                    Envoyé par m1111
                    ....les voitures à motorisation GPL...


                    le GPL en France COMME en Algerie EST INSIGNIFIANT.

                    Cherchons la cause ?
                    Le gouvernement algérien a lancé un programme sur 3 ans visant à transformer 500 000 véhicules essence en véhicules GPL d’ici 2020. La société de distribution Naftal renforcera ses capacités de stockage et le réseau de stations services GPL pour rendre le GPL disponible « tous les 20kms ». Le plan inclut programme de formation pour l’installation d’équipement GPL sur les véhicules essence, l’augmentation du nombre de centres de conversion des véhicules au GPL et une prise en charge par le gouvernement des coûts relatifs au matériel de conversion. De plus, pour inciter les automobilistes à la conversion de leur véhicule au GPL, les automobilistes pourront bénéficier d’une aide de l’État s’élevant à 50% du coût de la conversion en 2018. Sur les 23.000 stations-services existantes, 500 sont pourvues équipement pour GPL suivant les normes de sécurité. «Les performances devront être meilleures parce qu'il y a un réel engouement pour le gaz le pétrole liquéfié (GPL). Nous avons 25 centres et un programme d'action pour équiper les voitures en kits GPL. Nous approchons les stations-services pour réaliser ces opérations moyennant des financements.

                    Commentaire


                    • #11
                      Asseceur qui s'arrete au milieu de l'espace pour dire allahou yahfid sidna el Malik... quitte à étouffer ses utilisateurs dans leur gaz, par manque d'oxygène... haha ha...
                      Othmane BENZAGHOU

                      Commentaire


                      • #12
                        Certaines personnes usent des opiacés contre la douleur , ou pour se distraire ,...ou ..construire une pipe qui traverse la moitié du continent Africain ... avec l argent des autres ..

                        Commentaire


                        • #13
                          Le gouvernement algérien ne jure que par la France, et c'est déplorable.

                          L'Algérie devrait intensifier ses rapports économique avec des pays « neutres » comme l'Allemagne, le Brésil, l'Inde ect... et d'autres pays développés et émergeant.

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X