On sait que le Maroc et la culture ne font pas bon ménage, mais jusqu'à s'offenser envers une exposition, c'est fort en café.:22:
- Le Centre Georges-Pompidou, haut lieu de la culture contemporaine à Paris, abrite une galerie « dédiée à la lutte juste menée par le peuple sahraoui pour la liberté et l’indépendance, depuis plus de quatre décennies, contre l’occupant marocain », a annoncé, mercredi, SPS, l’agence du Polisario, abondamment commentée par l’agence algérienne APS.
Une initiative supervisée par l’écrivain franco-américain Jean Lamore, également vidéaste, qui comprend livres, brochures et photos censés témoigner de « la répression marocaine au Sahara Occidental »
« L’objectif de cette initiative est de faire connaître la réalité de la lutte du peuple sahraoui au public français et contrer la propagande marocaine (…) », a indiqué Lamore lors d’un point presse dans les locaux parisiens du Polisario qu’abrite la représentation diplomatique algérienne.
La galerie expose surtout des photos intimes récupérées sur les soldats marocains morts au combat avant le cessez-le feu de 1991, et d’autres saisies aux prisonniers de guerre détenus dans les camps de Tindouf pendant de longues années après la fin des hostilités, ce qui a été dénoncé par des sources marocaines comme « un commerce inacceptable avec la mémoire des soldats marocains morts pour la partie ».
Depuis des années, Jean Lamore est réputé pour être un des propagandistes attitrés de l’Algérie, du Polisario et du régime castriste cubain, ce qui renseigne aussi et surtout sur les desseins de cette exposition.
Dans une lettre adressée à Serge Lasvignes, président du Centre Pompidou, et dont Le Desk a reçu copie, Mehdi Qotbi, Président de Fondation Nationale des Musées, s’insurge contre ce qu’il considère comme « une initiative activiste et strictement politicienne ». « Au Maroc, c’est la consternation dans les milieux artistiques et politiques tellement le Centre est placé en haute estime. C’est une incompréhension réelle sur la motivation de votre institution à participer à la propagande d’un mouvement séparatiste financé notoirement par l’Algérie », écrit-il.
Le Desk (extraits)
- Le Centre Georges-Pompidou, haut lieu de la culture contemporaine à Paris, abrite une galerie « dédiée à la lutte juste menée par le peuple sahraoui pour la liberté et l’indépendance, depuis plus de quatre décennies, contre l’occupant marocain », a annoncé, mercredi, SPS, l’agence du Polisario, abondamment commentée par l’agence algérienne APS.
Une initiative supervisée par l’écrivain franco-américain Jean Lamore, également vidéaste, qui comprend livres, brochures et photos censés témoigner de « la répression marocaine au Sahara Occidental »
« L’objectif de cette initiative est de faire connaître la réalité de la lutte du peuple sahraoui au public français et contrer la propagande marocaine (…) », a indiqué Lamore lors d’un point presse dans les locaux parisiens du Polisario qu’abrite la représentation diplomatique algérienne.
La galerie expose surtout des photos intimes récupérées sur les soldats marocains morts au combat avant le cessez-le feu de 1991, et d’autres saisies aux prisonniers de guerre détenus dans les camps de Tindouf pendant de longues années après la fin des hostilités, ce qui a été dénoncé par des sources marocaines comme « un commerce inacceptable avec la mémoire des soldats marocains morts pour la partie ».
Depuis des années, Jean Lamore est réputé pour être un des propagandistes attitrés de l’Algérie, du Polisario et du régime castriste cubain, ce qui renseigne aussi et surtout sur les desseins de cette exposition.
Dans une lettre adressée à Serge Lasvignes, président du Centre Pompidou, et dont Le Desk a reçu copie, Mehdi Qotbi, Président de Fondation Nationale des Musées, s’insurge contre ce qu’il considère comme « une initiative activiste et strictement politicienne ». « Au Maroc, c’est la consternation dans les milieux artistiques et politiques tellement le Centre est placé en haute estime. C’est une incompréhension réelle sur la motivation de votre institution à participer à la propagande d’un mouvement séparatiste financé notoirement par l’Algérie », écrit-il.
Le Desk (extraits)
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