Ils devraient former une équipe de foot!
- Autoritaires, xénophobes, nationalistes, anti-écologistes : 11 dirigeants populistes décryptés
POUR COMPRENDRE – D’Erdogan à Bolsonaro en passant par Maduro, Duterte ou Orban ; comment ce terme recouvre une multitude de positionnements politiques.
Il y a eu Donald Trump et Rodrigo Duterte en 2016, l’Autrichien Sebastian Kurz et son allié du FPÖ Heinz-Christian Strache en 2017, enfin le duo italien Matteo Salvini-Luigi Di Maio et le Brésilien Jair Bolsonaro en 2018.
Tous sont qualifiés de populistes, à la fois par leurs adversaires et par la presse – et parfois revendiquent eux-mêmes le qualificatif. De quoi parle-t-on ? Le « populisme » est qualifié d’« attitude politique consistant à se réclamer du peuple », selon la définition du dictionnaire Larousse.
Tous ces dirigeants sont arrivés au pouvoir en remportant une élection à l’issue d’une campagne où ils ont opposé le peuple contre les élites politiques ou économiques. Pourtant, ces traits communs masquent d’énormes disparités entre leurs idéologies. « Le mot “populisme” mis à toutes les sauces perd toute signification et empêche tout diagnostic pertinent », disait à juste titre le sociologue Edgar Morin en avril 2013.
Jair Bolsonaro (Brésil)
Donald Trump (Etats-Unis)
Recep Tayyip Erdoğan (Turquie)
Rodrigo Duterte (Philippines)
Nicolas Maduro (Venezuela)
Viktor Orbán (Hongrie)
Luigi Di Maio (Italie)
Matteo Salvini (Italie)
Sebastian Kurz (Autriche)
Heinz-Christian Strache (Autriche)
Andrej Babiš (Rép. tchèque)-
Le Monde.fr
- Autoritaires, xénophobes, nationalistes, anti-écologistes : 11 dirigeants populistes décryptés
POUR COMPRENDRE – D’Erdogan à Bolsonaro en passant par Maduro, Duterte ou Orban ; comment ce terme recouvre une multitude de positionnements politiques.
Il y a eu Donald Trump et Rodrigo Duterte en 2016, l’Autrichien Sebastian Kurz et son allié du FPÖ Heinz-Christian Strache en 2017, enfin le duo italien Matteo Salvini-Luigi Di Maio et le Brésilien Jair Bolsonaro en 2018.
Tous sont qualifiés de populistes, à la fois par leurs adversaires et par la presse – et parfois revendiquent eux-mêmes le qualificatif. De quoi parle-t-on ? Le « populisme » est qualifié d’« attitude politique consistant à se réclamer du peuple », selon la définition du dictionnaire Larousse.
Tous ces dirigeants sont arrivés au pouvoir en remportant une élection à l’issue d’une campagne où ils ont opposé le peuple contre les élites politiques ou économiques. Pourtant, ces traits communs masquent d’énormes disparités entre leurs idéologies. « Le mot “populisme” mis à toutes les sauces perd toute signification et empêche tout diagnostic pertinent », disait à juste titre le sociologue Edgar Morin en avril 2013.
Jair Bolsonaro (Brésil)
Donald Trump (Etats-Unis)
Recep Tayyip Erdoğan (Turquie)
Rodrigo Duterte (Philippines)
Nicolas Maduro (Venezuela)
Viktor Orbán (Hongrie)
Luigi Di Maio (Italie)
Matteo Salvini (Italie)
Sebastian Kurz (Autriche)
Heinz-Christian Strache (Autriche)
Andrej Babiš (Rép. tchèque)-
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