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Le pétrole a chuté de 20% à New York depuis début octobre

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  • Le pétrole a chuté de 20% à New York depuis début octobre

    Touché de plein fouet par la récente montée de la production d’or noir dans plusieurs grands pays, le prix du pétrole coté à New York a perdu plus de 20% depuis début octobre.

    Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de “light sweet crude” (WTI) pour le contrat de décembre a terminé en baisse pour la neuvième séance de suite jeudi et a clôturé à 60,67 dollars, son plus bas niveau depuis mars.

    Cela représente une baisse de 1,6% par rapport à la veille, mais surtout un plongeon de 20,6% par rapport au 3 octobre.

    Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier a de son côté fini à 70,65 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 2% par rapport à mercredi et de 18,1% par rapport à son récent pic il y a un mois.

    A l’approche de la mise en oeuvre, le 4 novembre, de sanctions américaines contre le pétrole iranien, les prix des barils avaient alors grimpé à leur plus haut niveau depuis 2014.

    Réunion à Abou Dhabi
    Mais depuis, les Etats-Unis ont accordé des exemptions allégeant grandement ces sanctions et les marchés financiers ont connu un mois d’octobre difficile.

    Des interrogations sur un possible ralentissement de la demande en énergie dans les mois à venir, en raison d’un ralentissement de la croissance mondiale, ont aussi fait leur apparition.

    Surtout, plusieurs pays ont ouvert grand les vannes.

    Pour compenser les pertes iraniennes anticipées, l’Arabie saoudite et la Russie ont nettement augmenté leur production.

    Les extractions de brut au Nigeria et en Libye, régulièrement freinées par des actes de violence, n’ont rencontré aucun problème majeur ces derniers temps.

    Et la production américaine, déjà à un niveau record, devrait encore fortement progresser dans les prochains mois, selon les estimations de l’Agence d’information sur l’Energie (EIA). Les stocks du pays ont gonflé de près de 38 millions de barils lors des sept dernières semaines.

    Aussi le marché a été rattrapé par la perspective d’une offre bien plus abondante que prévu à court terme.

    “Pour tenter de renverser cette tendance, les représentants de l’Opep vont sans doute multiplier les commentaires ce week-end, voire recommander une baisse de la production”, a avancé John Kilduff, d’Again Capital.

    L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses partenaires, dont la Russie, pourraient en effet renouer avec leur politique de limitation de la production, qui a conduit à une hausse marquée des prix depuis son adoption fin 2016.

    Les pays producteurs avaient cependant assoupli cette politique en juin, alors que les prix flambaient à l’approche des sanctions américaines contre l’Iran et que le président américain, Donald Trump, critiquait l’Opep, responsable, selon lui, du coût élevé de l’essence.

    Une réunion de suivi de l’accord se tiendra dimanche à Abou Dhabi, avant une réunion plénière de l’Opep en décembre à Vienne.

    “Si l’Arabie saoudite et la Russie décident de changer de cap brutalement et de revenir à des coupes importantes, on pourrait rapidement effacer les pertes des cinq dernières semaines”, a souligné Robbie Fraser, de Schneider Electric.

    tsa algerie

  • #2
    Vivement l'après pétrole!!!
    Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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    • #3
      Et toujours aucune nouvelle perspective

      Le prix du baril joue au yo-yo et toujours aucune nouvelle perspective économique nouvelle et moderne pour l’Algérie !!!
      Archaïsme, passivité et stagnation de rigueur !!!

      https://www.elwatan.com/edition/econ...ent-08-11-2018

      http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5268781

      Ou va économiquement l’Algérie a part l'inflation et la dévaluation du Dinar ???
      Dernière modification par Fouad, 09 novembre 2018, 09h08.
      Le Sage

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      • #4
        Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier a de son côté fini à 70,65 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres,
        Pour un budget confectionné sur la base d'un baril à 50 dollars ... y a de la marge.

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        • #5
          Envoyé par jawzia
          Pour un budget confectionné sur la base d'un baril à 50 dollars ... y a de la marge.

          les étrangers qui font sortir le pétrole dans le sud , ne travaillent pas gratuitement , si je me souviens bien c’est 30 $ sur le baril dans leur poches ...alors si mes calcules sont juste nous somme loin de 50 dollars

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          • #6
            Le pétrole est passé ã moins 70$ le baril mais ne tardera pas à dépasser les 80 $ une fois l'OPEP décidera la diminution de sa production à la prochaine réunion

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            • #7
              les étrangers qui font sortir le pétrole dans le sud , ne travaillent pas gratuitement , si je me souviens bien c’est 30 $ sur le baril dans leur poches ..
              D'abord, tu ne te souviens pas bien et ensuite, c'est la fiscalité pétrolière qui est calculée sur la base des 50 dollars pour alimenter les recettes budgétaires.

              A moins que tu ne penses aussi que les étrangers sont éxonérés de fiscalité

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              • #8
                Allez je vois bien un brent a 66.50 dollars ... wait and see

                avec 11.6 m B/J usa dépasse la Russie et l Arabie saoudite

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                • #9
                  et il est de combien le deficit budgetaire avec un baril à 50$?

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