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Abdou Semmar libre: "Nous ne nous arrêterons jamais d'écrire..."

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  • Abdou Semmar libre: "Nous ne nous arrêterons jamais d'écrire..."

    Curriculum vitæ : "Je suis né et depuis... j'improvise !!"

  • #2
    L'habilité des grands journalistes est de pouvoir faire dire à l'imbécile qui les lit : "C'est tout juste ce que je pensais !"
    André Gide

    ...
    « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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    • #3
      Bravo à ces courageux journalistes et qu'ils continuent à dénoncer les corrompus et les imposteurs !


      Collectif d'avocats pour la défense des deux journalistes Abdou Semmar et Merouane Boudiab


      Dernière modification par Pomaria, 09 novembre 2018, 11h02.
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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      • #4
        les khorotoves dimistrakis est sortie zigou et cie ya pas de photos
        "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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        • #5
          La justice a rendu son verdict dans l’affaire Abdou Semmar Merouane Boudiab. Les deux journalistes détenus durant 17 jours à la prison d’El Harrach ont été libérés. Un collectif impressionnant d’avocats, parmi lesquels des ténors du barreau les ont défendus dans un procès qualifié de kafkaïen !

          Le juge a ordonné, hier jeudi tard dans la soirée, la libération des journalistes Abderahamn Semmar et son collaborateur Merouane Boudiab. La justice a, néanmoins, demandé un complément d’enquête dans cette affaire aux contours burlesques.

          Le 23 octobre 2018, Abdou Semmar a été convoqué par la gendarmerie de Bab Jdid. Une fois sur place, on le place en grade à vue. Ce qui est le plus surprenant c’est qu’il a fallu attendre 17H pour qu’une plainte soit déposée à son encontre !

          L’histoire est encore plus surprenante concernant son collaborateur Merouane Boudiab. Ce dernier a été convoqué pour remettre le téléphone qu’Abdou Semmar lui avait confié avant de se rendre à la brigade de Bab Jdid. Coup de théâtre, Boudiabe finit dans une geôle, et ce, sans qu’aucune plainte ne soit déposée contre lui jusqu’à ce jour.

          Beaucoup d’informations imprécises et des fois tout à fait orientées ont circulé à propos de cette affaire. Des fois, il nous a été très difficile de discerner le vrai du faux notamment après la campagne très agressive menée par le groupe Ennahar TV pour diaboliser les deux journalistes, ainsi que Adlene Mellah et les artistes toujours en prison.

          Après le plaidoyer du collectif d’avocats qui s’est constitué pour défendre les deux journalistes, tout est devenu clair concernant les charges retenues contre eux. Abdou Semmar est en gros, accusé d'avoir repris, dans un article publié sur son site internet Algérie Part, un post Facebook d'une militante qui a promis de foudroyer un directeur de groupe de média. Il va sans dire que ce n’est, ni plus ni moins qu’une figure de style, une hyperbole utilisée pour imager un sentiment de colère. Le journaliste n’a fait que relayer !

          La deuxième plainte a, quant à elle, été déposée par le wali d’Alger pour violation de la vie privée. Le problème c’est que l’article publié par Algérie Part et qui a fait l’objet de la plainte, se base sur un courrier officiel comportant une instruction du wali.

          Le groupe Ennahar a réclamé deux millions de dinars de réparation au préjudice présumé. La défense du wali a réclamé 50 millions de dinars (cinq milliards de centimes), alors que le ministère public a réclamé une peine d’un an de prison ferme ou un complément d’enquête.
          Algerie focus
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Une fois sur place, on le place en grade à vue. Ce qui est le plus surprenant c’est qu’il a fallu attendre 17H pour qu’une plainte soit déposée à son encontre !
            arreté avant le dépôt de la plainte
            "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

            Commentaire


            • #7
              arreté avant le dépôt de la plainte
              ha ha ha

              On l'arrête bien avant de déposer la plainte ! waooo !

              Du jamais vu dans les annales de la justice dans le monde entier !

              Au fait, notre pseudo justice cherche des arguments pour les incarcérer sur ce qu'ils ont pu publier dans leurs journaux, mais sans risquer de s'enfoncer en divulguant le fond des affaires divulguées par ces journalistes .... ha ha ha !

              C'est ce qu'on appelle une justice aux ordres pour BAILLONER la parole libre ! C'est clair, net et précis.
              Dernière modification par Pomaria, 09 novembre 2018, 13h41.
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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              • #8
                Abdou Semmar est en gros, accusé d'avoir repris, dans un article publié sur son site internet Algérie Part, un post Facebook d'une militante qui a promis de foudroyer un directeur de groupe de média.
                Et qui est cette dame qui comptait foudroyer le directeur d'Ennahar, Mohammed Al Maqadem, (Alias Anis Rahmani) ?
                Dernière modification par Pomaria, 09 novembre 2018, 13h38.
                Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                Commentaire


                • #9
                  Et voici l'article en question :

                  Amira Bouraoui défie Anis Rahmani : « Je vais vous foudroyer ! »

                  La militante et membre du mouvement de l’opposition Amira Bouraoui a lancé un défi à Anis Rahmani, le patron de la chaîne de télévision privée Ennahar TV. « Je vais vous foudroyer », a-t-elle écrit sur sa page Facebook où elle réagit officiellement à la plainte déposée contre elle par Anis Rahmani.
                  « Anis Rahmani vous déposez plainte contre moi ? Je vais vous foudroyer avec ce que vous avez écrit contre moi en 2014 et qui a causé la maladie de mes parents qui n’ont pas supporté ce que je peux supporter jusqu’à vous mettre au trou ! Vous tirez la hache de guerre ? Contre vous ! Je suis la guerre en personne Anis ! », c’est avec ces mots que la militante et activiste célèbre pour son combat à la tête du mouvement Barakat en 2014 a répondu à un Anis Rahmani très actif ces jours-ci sur Twitter pour annoncer des poursuites judiciaires à l’encontre de plusieurs personnalités opposantes.
                  « Vous déposez plainte contre moi alors que je trouvais qu’il n’était pas nécessaire de déposer plainte contre votre diffamation car vous n’êtes qu’un plouc instrumentalisé ? », a ironisé encore une fois une Amira Bouraoui déterminée à affronter le patron d’Ennahar TV, cible de plusieurs sévères critiques lancées par des intellectuels et journalistes sur les réseaux sociaux.


                  Algérie Part
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                  Commentaire


                  • #10
                    Amira Bouraoui = Pomaria + ..... un peu d humour en cette grisaille du Mois de Novembre

                    Commentaire


                    • #11
                      L’histoire est encore plus surprenante concernant son collaborateur Merouane Boudiab. Ce dernier a été convoqué pour remettre le téléphone qu’Abdou Semmar lui avait confié avant de se rendre à la brigade de Bab Jdid. Coup de théâtre, Boudiabe finit dans une geôle, et ce, sans qu’aucune plainte ne soit déposée contre lui jusqu’à ce jour.

                      Non Monsieur normal ... fi bled el hogra haja 3adia .... il y a encore des con qui croient que Algerie est un pays de droit ... sans blague

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                      • #12
                        Pomaria

                        Du jamais vu dans les annales de la justice dans le monde entier !

                        Au fait, notre pseudo justice cherche des arguments pour les incarcérer sur ce qu'ils ont pu publier dans leurs journaux, mais sans risquer de s'enfoncer en divulguant le fond des affaires divulguées par ces journalistes .... ha ha ha !

                        Bien sur que si, on a vu pire, il y a quelques années on n'aurait même pas su qu'ils étaient incarcérés. Mais ça existe encore en Arabie Saoudite et en Turquie où la justice a incarcéré des journalistes alors qu'il n'y a aucune plainte déposée.
                        Dernière modification par zwina, 09 novembre 2018, 15h42.
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #13
                          Algérie – S’exprimant ce vendredi, le directeur du groupe médiatique Ennahar est revenu sur le procès intenté contre Abderrahmane Semmar, dit Abdou Semmar, directeur d’Algérie Part.
                          D’emblée, Anis Rahmani a tenu à exprimer sa position suite à la décision du juge de remettre provisoirement en liberté Abdou Semmar et Merouane Boudiab. A ce sujet, le patron du premier groupe médiatique algérien a affiché sa confiance totale en la décision de la justice. « J’ai accueilli la décision avec satisfaction », a-t-il affirmé.

                          Dans ce sens, Anis Rahmani a indiqué être la victime d’attaques d’une « minorité » qui ne veut aucun bien à l’Algérie. Cette minorité, selon lui, use de tous les moyens scabreux pour arriver à leur fin ; à savoir « déstabiliser le pays ». « Les Algériens peuvent circuler aujourd’hui en toute sécurité de Maghnia (Tlemcen) Jusqu’à Dréan (El Tarf) », a-t-il souligné. Et de pointer « cette stabilité dérange des états (étrangers), mais surtout des parties établies ici en Algérie ».
                          ce sont toujours les pires des gredins qui se prétendent plus patriotes

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                          • #14
                            Yahasra 3la les grands journalistes qu'a connu l'Algérie. Ce pouvoir a le don de donner de la stature à de petit journalistes.
                            La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                            • #15
                              sekrouf
                              Yahasra 3la les grands journalistes qu'a connu l'Algérie. Ce pouvoir a le don de donner de la stature à de petit journalistes.
                              p'tits journalistes dis-tu ?


                              Aya chiche sekrouf !
                              Liste-nous tes GRANDS journalistes qui dénoncent au minimum autant d'affaires de corruption et de malversations que ces 2 petits minuscules journalistes !

                              chiche ! ha ha ha
                              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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