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Sommet de l’UA : La maladie d’Ali Bongo de mauvaise augure pour le Maroc

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  • Sommet de l’UA : La maladie d’Ali Bongo de mauvaise augure pour le Maroc

    Encore une preuve de l'ingratitude viscérale du Maroc qui place ses intérêts avant la santé d'un président fusse -il même affidé du royaume!:22:

    - A une semaine du prochain sommet extraordinaire de l’Union africaine, le Maroc aborde cette échéance avec un handicap. Ali Bongo, son principal allié sur le continent, ne pourra y prendre part. Depuis le 26 octobre, le président gabonais est hospitalisé dans une clinique en Arabie saoudite.

    Son état de santé alimente les spéculations. L’opposition exige du gouvernement et des deux Chambres du Parlement de saisir la Cour constitutionnelle pour constater la «vacance du pouvoir», comme le prévoit l’article 13 de la loi fondamentale du Gabon.

    Pour le royaume, l’absence de Bongo à la réunion d’Addis-Abeba des 17 et 18 novembre est une mauvaise nouvelle, alors qu’il y est question d’introduire des réformes sur le fonctionnement de l’institution et éventuellement sur l’Acte constitutif de l’UA.

    Bongo à l’origine de la lettre réclamant la suspension de la «RASD» de l’UA

    Le Maroc a grandement besoin de l’adhésion de tous ses soutiens sur le continent en vue d’imposer sa vision lors de ce sommet. Sans conteste, Ali Bongo joue le rôle de chef de file des alliés africains du royaume.

    Le président gabonais jouit en effet d’une influence considérable en Afrique centrale. Il assure, depuis 2015, la présidence de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) dont le siège est basé à Libreville. Un groupement constitué en 1984 et qui réunit le Gabon, l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la République Centrafricaine, la République du Congo, la République démocratique du Congo, la Guinée équatoriale, le Tchad, le Rwanda et Sao Tomé-et-Principe.

    Outre ses liens personnels avec le roi Mohammed VI, Ali Bongo est un fervent défenseur de la marocanité du Sahara. Pour mémoire, vingt-quatre heures après l'annonce de la demande marocaine de réintégrer l’Union africaine le 16 juillet 2016, le président gabonais avait réussi à convaincre 28 chefs d’Etat de signer une lettre adressée à l’ancien président en exercice de l’UA, le Tchadien Idriss Déby, pour demander la suspension de la «RASD».

    Quelques semaines plus tard, le Maroc répondait à cette initiative par un message de soutien au candidat Ali Bongo lors de l’élection présidentielle du 27 août 2016. «Les appels à la violence lancés par certains candidats en vue de conditionner l'issue des recours devant la Cour constitutionnelle n'ont pas leur place dans un processus démocratique», avait mis en garde le ministère marocain des Affaires étrangères dans un communiqué-.

    Ya...bi

  • #2
    La maladie d’Ali Bongo de mauvaise augure pour le Maroc
    .

    La Françafrique et AfricaFrance ; un pays de moins ..!!!!!

    Par Hadj Omar Bango :

    L'Afrique sans la France, c'est la voiture sans le chauffeur. La France sans l'Afrique, c'est une voiture sans carburant . »
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

    Commentaire


    • #3
      Ali Bongo joue le rôle de chef de file des alliés africains du royaume.
      .

      Une vérité ,une perte capitale pour la Françafrique ?? Tant mieux
      L Afrique pour les africains ..!
      C est pour ça que le Maroc a des pressentiments et prévoit ce qui va arriver ..
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4
        Il faut savoir que la prochaine réunion de l'Union africaine (UA) n'a pas pour objet de décider que du budget de l'organisation.

        Donc, contrairement à la paranoïa marocaine, l'absence de Bongo n'aura aucune incidence sur les résolutions.

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        • #5
          Sur la fiche wiki de son papa on apprend pas mal de chose sur cette crapule bien française .


          https://fr.wikipedia.org/wiki/Omar_Bongo




          Né sous le nom d'Albert-Bernard Bongo ... Après son service militaire (de 1958 à 1960), qu'il conclut au grade de lieutenant, il rejoint l'armée de l'air, puis les services secrets français, ... il est repéré par Jean-Hilaire Aubame, ministre des Affaires étrangères, qui l'intègre à son cabinet. Le président Léon Mba le repère alors à son tour, et lui confie la direction-adjointe, puis, en octobre 1962, la direction de son cabinet. ...
          En février 1964, Albert Bongo est arrêté et interné au camp Baraka de Libreville à la suite d'un coup d'État militaire visant à placer Jean-Hilaire Aubame au pouvoir. Très rapidement libéré par les forces françaises accourues au secours de Léon Mba...
          le général de Gaulle et son éminence grise chargée des Affaires africaines, Jacques Foccart, décident, avec le soutien du président gabonais moribond, de faire d'Albert Bongo l'héritier du pouvoir.

          En 1968, il fonde le Parti démocratique gabonais, socle du monopartisme jusqu'en 1990.
          La même année, il se fait baptiser dans le seul but d'obtenir une audience avec le pape Paul VI. En 1973, il se convertit à l'islam et devient El Hadj Omar Bongo. Pour certains, cette conversion ne fut qu'un moyen de se faire bien voir des pays de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, principalement à majorité musulmane, le Gabon étant producteur de pétrole.

          Fin 1968, Omar Bongo, toujours sous l'influence de Jacques Foccart, est contraint par la France de reconnaître la pseudo-indépendance du Biafra (sud-est du Nigeria). Il doit même accepter que l'aéroport de Libreville serve de plaque tournante aux livraisons d'armes opérées en faveur du colonel Ojukwu (le dirigeant sécessionniste du Biafra).



          [La guerre que la France a provoqué au Biafra a fait plus de 2 millions de morts https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_du_Biafra ]


          Son principal opposant, Germain Mba, est assassiné en 1970 à Libreville, par deux mercenaires français. Rien, cependant, ne permet d'incriminer le président gabonais. ...

          En 1977, un nouvel opposant, le poète Ndouna Depenaud, est assassiné dans des conditions mystérieuses. Une nouvelle fois, aucune preuve ne permet d'impliquer Omar Bongo. ...

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          • #6
            Par son père

            L'Afrique sans la France, c'est la voiture sans le chauffeur. La France sans l'Afrique, c'est une voiture sans carburant . »

            Hadj Omar Bango : c était lui qui entretenait la Françafrique avec la collaboration du Roi HII
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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